Louis-Auguste Boileau

des braguettes, Des Pois au lard cum commento : titres d’œuvres totalement imaginaires. 5 Symboles pythagoriciens : c.-à-d. d’une manière volontairement un peu obscure, comme Pythagore. ARGUMENTATION : LES POLÉMIQUES LITTÉRAIRES (II) Nicolas BOILEAU, Art poétique (1674) DES EXEMPLES À SUIVRE OU À ÉVITER 1 Durant les premiers ans du Parnasse françois, Le caprice tout seul faisait toutes les lois. La rime, au bout des mots assemblés sans mesure, Tenait lieu d’ornements, de nombre et de césure.

langues du Nord et du Sud, car les gens de l'époque considéraient qu'il s'agissait davantage de variétés linguistiques mutuellement compréhensibles que de langues distinctes. 1.1. L'avènement des Capétiens Hugues Capet (987-996) En mai 987, Louis V, le roi carolingien de la Francie occidentale était décédé subitement dans un accident de chasse en ne laissant aucun héritier direct. Le 1er juin, les grands seigneurs du royaume se réunir а Senlis pour élire un successeur au trône de la Francie

soient connues de tous facilite la procédure. Préoccupation de rendre Droit accessible au Moyen-âge. Mais comme majorité analphabète, pas simple. Mais dans but de faire comprendre lois à populations, au milieu du XIIIème siècle sous le roi Saint-Louis, on met sous formes d'Adages, de proverbes populaires, un certain nombre de règles de Droit. On prend des images très concrètes, des comparaisons, pour faire comprendre sens de la règle de Droit. Exemple: "Le mort saisi le vif, son plus prochain hoire

BÉRÉNICE de Jean Racine Mise en scène Jean-Louis Martinelli DOSSIER PÉDAGOGIQUE réalisé par Emanuela Pace Du 13 septembre au 19 novembre 2006 Salle Transformable Hélas ! en guerre avec moi-même, Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n’accomplis jamais. Je veux mais, ô misère extrême ! Je ne fais pas le bien que j’aime, Et je fais le mal que je hais. Jean Racine, Cantiques spirituels, 3, 1694 Voici le temps enfin qu’il

donna lieu à la querelle du Cid en 1636 ( Corneille) mais aussi à un rejet de Tartuffe (1669) ou Dom Juan de Molière , pièce plus baroque que classique. Tout semble calculé pour ne pas heurter la cour . Règles du théâtre classique selon Boileau : Nicolas Boileau 1636-1711, Art poétique (chant III), les règles de la tragédie classique : Vos froids raisonnements ne feront qu'attiédir Un spectateur toujours paresseux d'applaudir, Et qui, des vains efforts de votre rhétorique Justement

dérision et de prendre une connotation négative). Dès 1661, le règne personnel de Louis XIV entraîne la centralisation politique qui va de pair avec une centralisation des arts. Reflet de l’absolutisme dans l’art. Des académies sont créées : elles fixent un cadre mais les artistes y trouvent l’avantage des subventions, de la protection royale, un meilleur statut. Il y a plus d’arts poétiques que de poèmes(Boileau) ou satires comme Horace. Lafontaine : poésie narrative, didactique, utile, conforme

____________________________________________________________ _____________________ “Cinna ou la clémence d’Auguste” (1640) Tragi-comédie en cinq actes et en vers Émilie, élevée et protégée par Auguste, n'a pourtant pas pardonné à l'empereur d'avoir, alors qu’il n’était qu’Octave, proscrit et fait mourir son père. Devenu l’empereur Auguste, il la comble de ses bienfaits, ainsi que le jeune Cinna, fils d’une fille de Pompée. Elle veut se venger et Cinna, qui l'aime, sera l'instrument de sa vengeance. La conspiration

_________________________________________________________________________________ “Cinna ou la clémence d’Auguste” (1640) Tragi-comédie en cinq actes et en vers Émilie, élevée et protégée par Auguste, n'a pourtant pas pardonné à l'empereur d'avoir, alors qu’il n’était qu’Octave, proscrit et fait mourir son père. Devenu l’empereur Auguste, il la comble de ses bienfaits, ainsi que le jeune Cinna, fils d’une fille de Pompée. Elle veut se venger et Cinna, qui l'aime, sera l'instrument de sa vengeance. La conspiration

ne s’agissant pas d’un rayon, mais d’un faisceau, les Lumières[8]. » LITTERATURE FRANÇAISE DU XVIIIe SIECLE La littérature française du XVIIIe siècle s’inscrit dans une période le plus souvent définie par deux dates repères : 1715 et la mort de Louis XIV, et d’autre part, 1799, date du coup d’État de Bonaparte qui instaure le Consulat et met d’une certaine façon fin à la période révolutionnaire. Ce siècle de transformations économique, sociale, intellectuelle et politique est riche d’une multiplicité

moins de 98 éditions de ses œuvres entre 1621 et 1695 alors que pour la même période, Malherbe ne fut réédité que quinze fois. Son unique tragédie, Pyrame et Thisbé, obtint un véritable triomphe et elle resta si célèbre que cinquante ans plus tard, Boileau jugea bon de la condamner. C’est que le souvenir du poète était resté vivant et qu’il passait encore à l’époque pour un véritable représentant du clan des Modernes. Jean-Pierre Chauveau, à qui nous devons un très utile et très agréable recueil d’œuvres