Louis-Chrysostome Michel

périodes révolutionnaires, la peine de mort a suscité, dans les assemblées parlementaires, quantité de débats et de propositions qui n'ont jamais abouti avant 1981 à son abolition effective. 1) La peine de mort de la Révolution à l’Empire Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau, un membre du Comité de Jurisprudence Criminelle, auquel on doit aussi une proposition de loi sur l’abolition de la peine de mort pour les délits de droit commun ainsi qu’une autre sur l’Education Nationale, présente

exposition des restes aux quatre portes de la cité : pour la haute trahison, pour les régicides  Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée

pratique, il n'est utilisé que pour les régicides (le Roi étant le père de la Nation) Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée

L'inégalité est donc la première caractéristique de la peine de mort dans le monde médiéval. Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 Mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. C'est également avec cette loi qu'est unifié

les civils qui forçaient les blocus en cas d'épidémie de peste. Adoption de la guillotine Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. Selon l'article 3 du Code pénal de 1791, « Tout

incendiaires la roue pour les crimes violents l'huile bouillante : pour les faux monnayeurs Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre . Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort, mais elle supprime la torture. C'est également

pour les hérétiques, la roue pour les bandits de grands chemins. Adoption de la guillotine Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort, mais elle supprime la torture. C'est également

étranglait l'homme avant de le fracasser l'huile bouillante: pour les faux monnayeurs Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre . Cependant, l'Assemblée national constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée

les civils qui forçaient les blocus en cas d'épidémie de peste. Adoption de la guillotine Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée

 Domaine: Art du visuel Classe: 3eme Présenter l'œuvre Artiste: Nom: DAVID Prénom: Jacques Louis Titre à souligner: La mort de Marat Année de réalisation: 1793 Technique: Huile sur toile Dimensions: 165cm par 128cm Thème abordés: L 'assassinat de Marat Situer l'œuvre dans son contexte Marat, que l’on surnommait à l’époque « l’ami du peuple » fut assassiné le 13 Juillet 1793 et ce crime fut considéré par les révolutionnaires comme un attentat contre la nouvelle Constitution