Louis de Bonald

essayé le principe de tradition et le principe de constitution, de partage de pouvoir, cette première fois au début de la Révolution entre le 20 juin 1789 (Date du jeu de Paume) et le 10 août 1792, jours de la chute de la royauté et de la déchéance de Louis XVI, échec rapide La seconde dure 33 ans, elle dure durant la restauration et la monarchie de juillet cela s'explique par les concession fait par les protagoniste chacun des adversaire, car les français en 1815 sont fatiguer des guerre, étranger mais

principes de 1789. C’est une monarchie forte et tutélaire avec une société corporatiste avec la famille et la religion. Cette droite vient de 1815 avec les bourbons et une tradition royaliste et catholique qui se réclame de Joseph de Maistre et de Louis de Bonald. En effet, lors de la restauration, les ultras forment le noyau initial de cette droite. Pendant la monarchie de Juillet, de 1830 à 1848, ces ultras se constituent en un parti légitimiste qui refuse tous compromis avec les Orléans et avec Napoléon

Hegel ont pillé dans les structures de la W.L. [la Wissenschaftslehre ou « doctrine de la science », soit la philosophie de Fichte] ». II. QUELQUES PHILOSOPHES PREPONDERANTS DE LA PHILOSOPHIE MODERNE Montesquieu Montesquieu, de son vrai nom Charles Louis de Secondat de La Brède, est un penseur politique, précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain français des Lumières, né le 18 janvier 1689 à La Brède (Guyenne, près de Bordeaux) et mort le 10 février 1755 à Paris. Montesquieu ne s'accommode

politiques successifs mais il a une dimension politique qui tend aussi à être consacré SECTION 1: Le Libéralisme français Libéralisme largement tributaire des événements du siècle car marqué par les crises et révolutions successives Sous le règne de Louis 18 et Charles 10, libéraux plutôt dans l'opposition. Puis lorsqu'arrive la Monarchie de juillet, libéraux accèdent au pouvoir puis sont chassés par la Révolution de 1848. Ils n'ont pas le temps de s'installer avant le proclamation du 2eme Empire

modernité qui ne sait plus ou elle en est mais se rassure. Par ailleurs, il convient d’éviter de tomber dans le panneau des critiques de la modernité qui sombre dans la mélancolie au risque de renouer avec une logique contre révolutionnaire d’un Louis de Bonald, d’un Joseph de Maistre ou du Romantisme Allemand. Au final, cette ouevre de refondation ne prétend pas penser la totalité. Le projet encyclopédique définissant l’homme des Lumières est hors de portée. Notre temps est celui du savoir éclaté

concurrencer le pouvoir royal et qui apparaissent comme la traduction d’un certain libéralisme politique. Il existe sous ce régime un décalage important entre la théorie et la réalité. On revient à une monarchie semblable à celle qui existait à l’époque de Louis XIV. Le nouveau régime intègre certain des acquis de la révolution, mais également la plupart des lègues des régimes napoléoniens. La situation de la restauration est exactement l’inverse de celle qui existait à l’époque napoléonienne. Bonaparte avait

RELIGIEUSES LA SCIENCE SACREE En réaction à la philosophie des Lumières, considérées comme responsable des désastres humains occasionnés lors de la RF, une pensée contre-révolutionnaire illustrée par les écrits de Joseph de Maistre et de Louis de Bonald se développe d’abord en Allemagne puis en France. Elle rappelle que la religion, la langue et la société préexistent à l’homme et que les individus s’enracinent dans une tradition culturelle séculaire. Félicité de Lamennais transpose la doctrine

dans ses Souvenirs de s’être asservi aux intérêts de la classe moyenne et d’ "avoir pris sur la fin les allures d’une compagnie industrielle où toutes les opérations se font en vue du bénéfice que les sociétaires peuvent en retirer". Loin d’excepter Louis-Philippe de ses critiques, il estime que les défauts de ce Prince, dont il dresse une impitoyable liste, sont le fidèle reflet des vices de cette époque que son influence ne fait qu’aggraver. Tocqueville envisage depuis longtemps d'embrasser une

l’anatomie comparée. Sur le plan institutionnel, l’anthropologie se développe d’abord en dehors du cadre universitaire, au sein de sociétés savantes, fruits d’initiatives privées. En France, l’éphémère Société des observateurs de l'homme, présidée par Louis-François Jauffret, se fixe pour tâche l’étude de « l'homme sous ses aspects physique, moral et intellectuel », projetant d’établir une classification des races sur des bases anatomiques. La Société ethnologique de Paris, fondée en 1838 par William

été taxée de réactionnaire et de liberticide très tôt -et que la réhabilitation libérale de l’Ancien Régime ait été reléguée au siècle suivant (cf. supra). Aux origines de cette pensée marginale se trouvent Edmund Burke, Joseph de Maistre, et Louis de Bonald. Aux développements se trouveront ensuite Hyppolyte Taine, Pierre Gaxotte et Augustin Cochin. Selon notre whig, l’impuissance de la démocratie portée par la révolution n’a d’égale que l’extravagance de sa Déclaration des droits. Cette déclaration