Louis de Broglie

car il a uni les soldats de différentes nations, des intellectuels, des artistes, des diplomates, qui importent cette mobilisation dans leur propre pays. En France, à Louis XVIII, symbole de la défaite et de la réaction, succède Charles X, qui met à bas toutes les libertés. Les Trois Glorieuses, les 26, 27, 28 juillet 1830 amènent Louis Philippe et les orléanistes au pouvoir, ce que Metternich félicite puisque la monarchie se maintient, quoiqu’elle soit constitutionnelle, et étouffe la République. Mais

justiciable et administrés, mais cette indépendance engendre de la désobéissance et on se rend compte que les officiers entendent servir le roi mais à leur façon, ils appliquent les ordres du roi bon leur semblent. Durant la séance de flagellation louis 16 est obligé de se déplacer au parlement pour rappeler qu’il détient la souveraineté, mais l’autorité royale ne peut pas véritabelent compter sur ses officiers car ils échappent à son autorité et vont même à faire de l’obstruction, le seul moyen est

Montesquieu : reprise de la philosophie de Locke Montesquieu n'admet pas non plus une séparation, mais une simple distinction ou distribution des pouvoirs entre les puissances. L'œuvre de Charles Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu (1689-1755) récuse l'absolutisme de Louis XIV, qui consiste en la centralisation et la concentration de tous les pouvoirs dans les mains d'un seul. Au contraire, son analyse l'amène à justifier un modèle de société où les nobles, comme lui (il

régimes parlementaires, par la pratique institutionnelle (volonté des chefs de l'état) > En lisant la Charte de 1814, qui rétablit la monarchie, le texte est laconique entre les pouvoirs = celle-ci parle simplement d'un roi et d'un parlement. Or, Louis XVIII développe deux pratiques, illustratives du modèle parlementaire : - Il prend l'habitude de révoquer les ministres, lorsque le parlement ne le soutient plus (responsabilité politique) - Lorsque la situation est délicate, il dissout la chambre

mutuellement pour éviter l'arbitraire, c'est à dire, les abus de pouvoirs. Cette idée de la limitation du pouvoir existe en réalité durant tout le moyen âge. Le roi, même durant l'âge d'or de la monarchie absolue, c'est à dire, durant le règne de Louis XIV au XVIIe siècle, a toujours eu face à lui des contre-pouvoirs puissants, en particulier, les cours de justice et les pouvoirs locaux. Il convient de comprendre précisément la théorie de la séparation des pouvoirs, avant d'observer comment la théorie

en rapports étroits avec d'autres concepts: - le temps: Large différence de perception entre les sociétés occidentales et orientales (car le rapport au temps n'est pas le même): En Inde, il n'y a pas cette idée d'un âge d'or situé dans l'avenir (Louis Dumont) - Le concept de nature humaine: 17e siècle, les savants considéraient leurs inventions (progrès) comme potentiellement dangereuses selon l'utilisation pouvant en être faite par les Hommes, caractérisés par leur penchant au mal: conception pessimiste

Jusqu’en 1789 la magistrature a conquis un pouvoir considérable sur la monarchie surtout sous Louis XV. Ce pouvoir se manifeste par deux instruments : l’exercice du droit de remontrance, c’est-à-dire la possibilité des magistrats de faire observer au roi que la décision qu’il va prendre est une mauvaise décision. Deuxième moyen le refus d’écrire les ordonnances royales. Ils ont le droit depuis la mort de Louis XIV considèrent qu’ils ont le devoir de lire les ordonnances et si elles sont contraires aux

comte de Chambord qui est le descendant le plus direct de la famille royale traditionnelle capétienne (Petit fils de Charles XX, le dernier roi de la famille de Louis 16, le dernier frère de Louis 16 à avoir régné sur la France). Les orléanistes ne soutiennent pas Le comte de Chambord mais le comte de Paris qui est le petit fils de Louis Philippe d’Orléans (Dernier roi à avoir régné sur la France). Les orléanistes sont un peu plus nombreux à l’assemblée nationale. C’est deux clans n’arrivent pas

1GM1(2009-2010) "On voulait que ce soit Depardieu dans sa nudité" LE MONDE | 20.04.10 | 16h58 Piliers de "Groland Magzine", l'émission à l'humour vitriolé sur Canal+, Benoît Delépine et Gustave Kervern ont réalisé quatre films ensemble : Avida, Aaltra, Louise Michel, et Mammuth. Nous les avons rencontrés à la Halle Saint-Pierre, à Paris, où sont exposées les oeuvres de Lucas Braastad, visibles dans le film. Comment s'est fait "Mammuth" ? Benoît Delépine : C'était un pari inouï, ce film. On fait des

Monarchistes mais elles existent également entre les Monarchistes eux mêmes car ceux ci sont divisés en deux branches. La première étant les Légitimistes qui sont les partisans du compte de Chambord (petit fils de Charles X, frère de Louis XVIII qui était le père de de Louis XVI). Ils regroupent 180 députés. Et l'autre branche étant les Orléanistes, les partisans du Duc d' Orléans (la branche cadette des Bourbons). Ils sont des partisans de la Monarchie libérale , ils souhaitent une alliance entre la