Louis de Loménie

sur les lois et les institutions françaises. Dans l'Esprit des lois, Montesquieu se livre à l'analyse de ce qui constitue le droit et à une réflexion sur ce qui pourrait être la meilleure forme de gouvernement. Très critique sur l'absolutisme de Louis XIV, il va se faire l'apôtre d'un gouvernement modéré c'est-à-dire d'une monarchie tempérée par des corps intermédiaires : la noblesse et les parlements. Il met aussi en avant un modèle étranger : la constitution anglaise, qu'il décrit comme fondée

Au début du XVIIème siècle (1610) à la mort d'Henri IV, Louis XIII et Richelieu vont mettre en place une politique d'absolutisme. Les seigneurs vont tenter d'entraver cette marche vers l'absolutisme mais ils seront confrontés à la régence d'Anne d'Autriche et de son ministre Mazarin. La rebellion de la noblesse durant la période de la fronde et la guerre avec l'Espagne (mauvaise pour l'opinion publique) seront les empreintes du règne de Louis XIV qui prend la couronne dés 1654, il neutralisera la

La Révolution 1787 22 février Réunion de l'Assemblée des notables. 8 avril Renvoi du ministre Calonne remplacé par Loménie de Brienne. 16 juillet Le parlement de Paris en appelle aux états généraux. 14 août Exil du parlement, puis son rappel (4 septembre). Constitution américaine 1788 Mai le chancelier Lamoignon vire le parlement de Paris (à Troyes) et le remplace par une autre cour => Paris se

général des finances se succèdent et sont à chaque fois contraints à la démission car ils ne parviennent pas à imposer une réforme fiscale suite aux oppositions parlementaires. Le dernier contrôleur général des finances en date, Étienne-Charles de Loménie de Brienne (1727 à 1794) va alors être obligé de demander au roi de tenir un lit de justice pour faire passer sa réforme fiscale. Les parlementaires parisiens continuèrent leur technique de l’obstruction et refusèrent d’enregistrer. Le 8 Mai 1788

seul le souverain peut faire la loi Dès 1560 : monarchomaques critiquent absolutisme 1614 : dernière convocation des états généraux à la mort de henry 4 Catherine de Médicis demande la régence (louis 13 est un enfant) 1685 : révocation de l’édit de Nantes par louis XIV 1715 : mort de Louis 14 Juillet 1717 : arrêt du conseil de régence : impossibilité de modifier les lois fondamentales 1730-1750 : réaction nobiliaire, la noblesse se ferme sur elle-même : les bourgeois ne peuvent y

château de Fontainebleau 1540 : Pierre Lescot architecte entreprend la rénovation du Louvre (palais médiéval) IV- Remise en cause de l’Ancien Régime et de l’Absolutisme Monarchique : XVIIème siècle : Imposition de l’Absolutisme monarchique par Louis XIV XVIIIème siècle : Révolution de la pensée en France avec Les Lumières 1766 : Séance de la flagellation des parlements, roi réaffirme son autorité 1215 : L’Angleterre adopte la Grande Charte et devient une monarchie constitutionnelle. 1640 –

édition). * Histoire des institutions de l’époque franque à la Révolution, Jean-Louis Harouel, Jean Barbey, Eric Bournazel… * Histoire des institutions publiques depuis la révolution française Jean Louis Harouel, Gérard Sautel… Introduction * D’un césarisme à l’autre : * 1715 (1er septembre) : mort du roi Louis XIV, monarque absolu. * 1815 : derniers soubresauts de l’Empire Napoléonien

Année 1788 [modifier] Article détaillé : 1788 en France. 7 au 14 juin : journée des Tuiles à Grenoble. 21 juillet : réunion des états-généraux du Dauphiné. 8 août : décision de convoquer les États généraux prise par Loménie de Brienne pour le 1er mai. Les modalités de cette convocation doivent être discutées. 25 août : Brienne démissionne. Il est remplacé par Necker. 27 décembre : Necker, préparant les États généraux, accepte un règlement doublant la représentation du tiers état, qui compte

bourgeois La loi « Le Chapellier » La fuite de Louis XVI Une nouvelle Constitution La guerre contre l'Autriche Danton et le 10 Août 1792 La lutte entre Girondistes et Jacobins La guerre civile La Terreur Le 9 Thermidor et le Directoire Un été sec qui brûle la récolte, un pays entier traversé d'une incroyable émotion politique, le haut clergé annonçant qu'il se refuserait à tout sacrifice, un Trésor vide qui ne paye plus les fonctionnaires ; Louis XVI a essayé de retarder la date de réunion

n'y eut au total que 99 jureurs à l'Assemblée. La journée du serment national de tous les autres ecclésiastiques, prévue le dimanche 9 janvier 1791, s'annonçait donc mal. Les évêques refusèrent de prêter serment (excepté 4 d'entre eux Talleyrand, Loménie de Brienne, Jarente et Lafont de Savine. Une petite moitié seulement des curés jurèrent mais pour se rétracter en partie lorsque Pie VI eut fait paraître la condamnation prononcée contre la constitution civile. Le clergé était coupé en deux. La proportion