Louis II de Flandre

pour mieux se faire comprendre de leurs fidèles. En 842, le 1er témoignage en roman (donc encore proche du latin) est un document officiel “les serments de Strasbourg” relatif à l’alliance des deux petits-fils de Charlemagne, Charles le Chauve et Louis le Germanique, contre leur frère Lothaire. En 881, apparaît le 1er texte littéraire “la Séquence de Sainte Eulalie”, un poème à la gloire de la sainte martyre. La langue du Moyen Age n’a pas d’unité : les dialectes se multiplient. On distingue

mort de Charlemagne Mort de Charlemagne : ( les trois fils se disputent la fortune ; ils se réunissent à Verdun pour un partage officiel : le partage de Verdun : « ils vont défendre leur territoire et leur roi parmis ces roi : Louis le Germanique (Lodewijk de Duiters ; Charles le Chauve (Karel de Kale) Les trois frères établissement des textes en lingua romana (les serments de Strasbourg) et en lingua teudisca (dialectes en gaulois). Donc premier texte écrit en roman, le

Les croisades Sommaire : - Qu’est ce qu’une croisade ? - En route pour la première croisade * Urbain II, l’initiateur des croisades. * Qui mena la 1ère croisade ? - La deuxième croisade (1147-1149) - La troisième croisade « La croisade des trois rois » (1189-1192) - La quatrième croisade «la croisade Des Vénitiens » (1202-1204) - La cinquième croisade (1217-1221) - La sixième croisade (1248-1254) - La huitième croisade - Que nous ont apporté les croisades ? - Conséquences

de Charlemagne que Louis Ier le Pieux (ou le Débonnaire) obtient le titre d'empereur d'Occident en 814. L'empire ne sera donc pas découpé, comme il était coutume de le faire à l'époque. Pendant quelques temps encore, la machine crée par Charlemagne va continuer de fonctionner. Mais Louis Ier qui se fait appelé « le Débonnaire » en raison de sa faiblesse de caractère n'est pas l'homme apte à conserver l'unité. Jusqu'à sa mort, il va lutter contre ses trois premiers fils ( Pépin, Louis, Lothaire), jaloux

Belgique au sud » de la « Hollande au nord ». C’est comme cela qu’en 1830, les patriotes, les nationaux révolutionnaires revendiqueront le terme de « Belgique ». « Flamand » et « Flandre » : Deux courants d’explication pour le mot « Flamand ». 1 : Les Frisons (peuple et langue du nord des Pays-Bas) seraient l’origine de « Flandre » « Vlam » gens qui auraient fuit des difficultés pour se réfugier sur les territoires proches de la mer. 2 : Moyen-anglais : « Flemme » « courants » près de la mer. => Caractère

Macintosh. Mise en page sur papier format LETTRE (US letter), 8.5’’ x 11’’) Édition complétée le 5 mai 2005 à Chicoutimi, Ville de Saguenay, Québec. Jacques Bainville, Histoire de France (1924) Table des matières Avant-propos Chapitre I. Chapitre II. Chapitre III. Chapitre IV. Chapitre V. Chapitre VI. Chapitre VII. Chapitre VIII. Chapitre IX. Chapitre X. Chapitre XI. Chapitre XII. Chapitre XIII. Chapitre XIV. Chapitre XV. Chapitre XVI. Chapitre XVII. Chapitre XVIII. Chapitre XIX. Chapitre XX. Chapitre

société est dominée par l’idéal royal et aristocratique. Il écrit ses Chroniques car pour lui, l’existence humaine est en péril (il est témoin de la Peste et des conflits). Récit très largement diffusé. - Il fait le récit du conflit qui oppose Louis de Flandre à ses sujets de Gand. Il est au cœur des émeutes et des insurrections populaires en France et en Angleterre. - Résumé : Froissart retranscrit le récit d’un soldat, qui raconte ses exploits militaires de façon exagérée. - Problématique : Comment

Testament" -Pierre Seghers, "Octobre" -René Guy Cadou, "les fusillés de Châteaubriant" -Emmanuel d'Astier de La Vigerie, "Complainte du Partisan" -René Tavernier, "Il y en a qui prient, il y en a qui fuient" -Pierre Emmanuel, "Les dents serrées" -Louis Aragon, "Le musée Grévin" (vers 1 à 56) -Marianne Cohn, "Je Trahirai Demain" -Robert Desnos, "Le Veilleur du Pont-au-Change" -Maurice Druon et Joseph Kessel ,"Le chant des partisans" Conclusion PREFACE La deuxième Guerre Mondiale et l'occupation

va »). Cette phrase courte est isolée en tête de vers et fonctionne un peu comme une conclusion (première partie). Ensuite, Ruy Blas énumère les pertes de l'Espagne et ses problèmes de politique international (de « nous avons » jusqu'à « perd les Flandres », deuxième partie). Enfin, troisième partie, Ruy Blas fait le portrait pathétique de l'Espagne en pleine décadence (de « quel remède à cela » jusqu'à la fin de l'extrait). Cette tirade très bien structurée laisse percevoir une argumentation.

Féodalité Jean II adoubant des chevaliers,enluminure des xive / xve siècle, BNF. La féodalité est un système politique ayant notamment existé en Europe entre le xe siècle et le xiie siècle, dans lequel l'autorité centrale s'associe avec les seigneurs locaux et ceux-ci avec leur population selon un système complet d'obligations et de services. Le termeféodalité est issu du latin médiéval1 feodum, « fief », qui vient probablement lui-même du francique fehu, « bétail », et/ou du gotiquefaihu, « argent