Louis Le Gros Suger

cela montre que la tradition du partage était plus forte que le renouveau de la « respublica ». Ce fils, Louis le pieux, a cherché à maintenir l’indivisibilité de l’empire. Cet empereur était entouré d’évêques qui lui rappelaient la conception ministérielle du pouvoir, le pouvoir impérial était pour eux une institution qu’il fallait transmettre et surtout pas diviser. À la suite d’un accident, Louis le pieux échappa à la mort et se montra pressé de régler sa succession et sous la pression de l’église

théoriciens parmi lesquels Suger et Abbon De Fleury . Ce dernier propose une réflexion dans laquelle il rappel au grands vassaux royaux le contrat qui les lient au roi et les obligations qui en découlent. Ils doivent au roi l'aide et le conseil. 1 siècle plus tard, Suger imagine une hiérarchie féodale dans laquelle le roi serait à la tête des grands féodaux considérés comme les vassaux du roi lui devant hommage et service noble. L'élément fort de la théorie de Suger porte sur le fief, c'est à

raison de la mort de ses deux fils ainé avant lui, le partage de l’Empire ne se posa pas à la mort de Charlemagne. En 814, le seul fils héritier survivant fut Louis I le Pieux. Or, Louis le Pieux qui était très religieux cherchait à préserver l’unité de l’empire. 1) L’ordinatio imperi ou l’essai d’une unité impériale (817) Louis le Pieux chercha à sauvegarder l’unité de l’Empire c'est à dire à ne pas le diviser. Cet empereur était monté et influencé par des évêques qui lui rappelaient la

débute avec Pépin le Bref (règne 751 à 768). il institue le sacre royal qui renforce l'alliance avec l'Église. Le fils de Pépin c'est Charlemagne (règne de 768 à 814), il conquiert d'immenses territoires, et en 800 il restaure l'empire, et son fils Louis le Pieux (814 840) redécouvre un concept oublié, la notion d'État. Ces deux dynasties ont cependant connu l'échec politique et toutes les deux s'enlisent ds des temps obscures. Malgré tout leur héritage est capital ds le domaine du pouvoir comme ds

Manuscrits de la BNF. 3 I Au port 4 Accastillage Au premier abord, l’histoire de France n’est pas facile à raconter. Et pour cause : c’est toujours la même chose. Des rois, encore des rois, une bonne centaine de rois qui s’appellent presque tous Louis. Alors, plutôt que de prendre cette histoire comme un pensum, prenons-la comme un voyage. Embarquons sur un beau trois-mâts fin comme un oiseau, et descendons le fleuve du temps en braquant nos jumelles sur les rives des siècles. Une croisière demande

est bordé au sud par le fleuve St-Laurent et le lac St-Louis et au nord par la Rivière des Prairies et le lac des deux Montagnes. L’île se situe dans une région de forêt mixte appelée région forestière du haut St-Laurent. C’est le climat naturel de l’érable à caryer, mais une forêt naturelle serrait dominée par l’érable à sucre, le hêtre à grande feuille, l’érable rouge, le bouleau jaune, le tilleul américain, le caryer à noix, le chêne à gros fruit[7], le frêne blanc et rouge, l’orme d’Amérique,

Bref (751 – 768) ; ce dernier ajoute à la monarchie en se faisant sacrer ; il institue le sacre royal. Son fils Charlemagne (768-814) est un roi conquérant, si bien que pour gouverner cet ensemble territorial, il devient empereur à Noël 800. Son fils Louis le Pieu (814-840) redécouvre le concept d’Etat des romains ; après ces périodes, les deux dynasties connaissent les échecs politiques ; néanmoins, ces deux dynasties vont beaucoup léguer à la dynastie Capétienne puisque l’héritage en matière de pouvoir

système seigneurial se fragilise. C'est le siècle où de grands ensembles se reconstituent progressivement. Les princes et le roi parviennent enfin à s'imposer face aux seigneuries qui avaient assurer leur autonomie dans leur château. Le roi comme Louis VI (règne de 1108 à 1137) va transposer le système féodal à l'échelle du royaume : ils va désormais les traités comme des vassaux. Par conséquent, le règne de Philippe Auguste à la fin du XIIème siècle marque un tournant dans la royauté capétienne

ne jouait aucun rôle dans la vie sociale ou religieuse ; elle avait même mauvaise réputation : avoir les yeux bleus rendait les hommes ridicules et témoignait des mœurs légères des femmes - après, le bleu fut un enjeu religieux et royal : l’abbé Suger, homme de science, pense que la couleur est lumière donc relève du divin ; quand il fit reconstruire l’abbatiale de Saint Denis en 1140 avec des couleurs partout, il n’oublia pas le bleu. > symbole religieux : Un changement profond dans la symbolique

monarques carolingiens à tel point qu’on parle de théocratie, et pousse vers une union du droit qui mènerait à l’union de la chrétienté. Ex : Texte du 9e s après JC de l’archevêque de Lyon Agobard qui ne rêvait à l’unification des droits adresse à Louis le Pieux (fils de Charlemagne) un texte où pour résumer est dit : « comment unit dans le corps du christ peut-on être diviser dans le droit ». A partir du 9e s, les droits barbares sont de moins en moins allégués en justice due à une évolution des