Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau

forçaient les blocus en cas d'épidémie de peste. Adoption de la guillotine Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. Selon l'article 3 du Code pénal de 1791, « Tout condamné

n'est utilisé que pour les régicides (le Roi étant le père de la Nation) Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée la méthode

la roue pour les bandits de grands chemins. Adoption de la guillotine Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort, mais elle supprime la torture. C'est également avec cette

roue pour les crimes violents l'huile bouillante : pour les faux monnayeurs Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre . Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort, mais elle supprime la torture. C'est également avec cette

 Domaine: Art du visuel Classe: 3eme Présenter l'œuvre Artiste: Nom: DAVID Prénom: Jacques Louis Titre à souligner: La mort de Marat Année de réalisation: 1793 Technique: Huile sur toile Dimensions: 165cm par 128cm Thème abordés: L 'assassinat de Marat Situer l'œuvre dans son contexte Marat, que l’on surnommait à l’époque « l’ami du peuple » fut assassiné le 13 Juillet 1793 et ce crime fut considéré par les révolutionnaires comme un attentat contre la nouvelle Constitution

mort de Marat le 13 juillet 1793, le député Guiraut réclame à David de faire pour Marat ce qu’il avait fait pour Lepeletier de Saint-Fargeau, à savoir, représenter la mort du conventionnel par ses pinceaux. Le14 novembre 1793, David offre à la Convention le portrait de Marat, dès lors exposé avec son autre et précédent tableau (aujourd’hui disparu) : La Mort de Lepeletier de Saint-Fargeau. En février 1795, le principe de restitution des deux œuvres au peintre est acquis : il les récupère quelques mois

Les difficultés d’application de la personnalité des lois Professio legis Agobard (816-840) Endogamie Louis le Pieux (814-840) 8 §2) L’insuffisance de la législation mérovingienne A) La personnalisation du pouvoir des rois mérovingiens a) Un pouvoir royal entre une tradition germanique et des emprunts romano-chrétiens Pavois Bannum / Ban Leudesanium Théodebert Leudes Saint Chrême Mundium Rex francorum b) La patrimonialité du pouvoir Res publica Charles Martel Maire du palais

d'emprisonnement pouvait aussi être commuée en obligation d'effectuer un pèlerinage, le plus souvent en Terre Sainte, ou en condamnation à une amende11. Il existait toutefois une aggravation du mur étroit, le carcer strictissimus, où le condamné était enchainé dans un cachot et privé de tout contact jusqu'à sa mort12. Une peine préventive dans l'attente du jugement Prison de La Force, rue Saint-Antoine à Paris. L'ayant visité en 1783, le réformateur anglais John Howard déclara alors : « Les débiteurs

d'un long combat mené depuis le XVIIIème siècle par des écrivains, des juristes, des parlementaires. Lorsque Robert Badinter s'exprime à la tribune de l'Assemblée nationale le 17 septembre 1981, cent quatre vingt-dix ans après Le Pelletier de Saint-Fargeau devant la Convention, le moment est historique, solennel : "Monsieur le président, mesdames, messieurs les députés, j'ai l'honneur au nom du Gouvernement de la République, de demander à l'Assemblée nationale l'abolition de la peine de mort en France

de décès 31 juillet 1914 (à 54 ans) Lieu de décès Paris Nationalité Française Parti politique Parti opportuniste Socialistes indépendants Parti socialiste français Section française de l'Internationale ouvrière Conjoint Louise Bois Enfant(s) Madeleine Jaurès, Louis Paul Jaurès Diplômé de ENS Paris Profession Professeur agrégé Maître de conférences Journaliste modifier Consultez la documentation du modèle Jean Jaurès est un homme politique français, né à Castres (Tarn) le 3 septembre