Louise de La Fayette

générale : Son nom d'usage est Sévigné et son nom de jeune fille est Marie Rabutin-Chantal. Elle est née à Paris en 1626 le 5 février. Elle décède le 17 avril 1696 au château de Grignan. Elle vécu au 17eme siècle sous le règne de Louis XIV Château de Grignan II- Sa vie Dans son enfance Mme de Sévigné a perdu son père en 1633 ( à l'âge de 7 ans). Sa mère l'éleva seule jusqu'à son décès en 1663 ; son grand père s’en occupa alors à son tour

déchéance de Louis XVI en s’opposant aux principaux dirigeants girondins de la Convention (1793). Il meurt guillotiné le 27 juillet 1794 avec ses partisans : Saint Just, Couthon et son frère Augustin. . FORMATIONS : Révolutionnaire Français il fit ses études à Paris pour devenir avocat. Il devient avocat à Arras. Il est élu député du Tiers-Etat aux Etats-Généraux (1789), cet orateur influent deviendra un principal animateur du Jacobin surnommé« L’Incorruptible » en 1791. Il attaque La Fayette qu’il soupçonne

DEVOIR TYPE BAC - Objet d'étude : le personnage de roman CORPUS : 1. Mme DE LA FAYETTE, La Princesse de Clèves, 1678. 2. ABBÉ PRÉVOST, Manon Lescaut, 1731. 3. HONORE DE BALZAC, Le Lys dans la vallée, 1835. 4. GUSTAVE FLAUBERT, L'Éducation sentimentale, 1869. 5. LOUIS ARAGON, Aurélien, 1945. Texte 1 : Madame DE LA FAYETTE, La Princesse de Clèves (1678) La princesse de Clèves, jeune épouse du prince de Clèves, rencontre pour la première fois le duc de Nemours, lors d'un bal à la cour d'Henri II. 1

9 - Les sources p. 10 Introduction C’est au cours du mineur des Grands Auteurs que j’ai été attiré par le sujet de la préciosité. On a étudié en classe le roman ‘’ La princesse de Clèves ‘’de Marie-Madeleine de La Fayette, aussi nommée Madame de La Fayette. C’est dans ce cours que la préciosité a été introduite. Dans ce mineur, on a étudié le roman mais on a également retiré les caractères précieux présents dans cet ouvrage. J’ai trouvé ce sujet très intéressant et c’est pour cela

faisant de l'Histoire le récit d'un combat pour la liberté, Musset nous donne un reflet caricatural de la révolution avortée après les Trois Glorieuses : Cosme, c'est Louis-Philippe, l'homme de la situation, celui qui a permis d'éviter la République. La mascarade du couronnement (V, 8) rappelle cette scène au cours de laquelle La Fayette embrasse le nouveau roi dans les plis du drapeau tricolore. Quant aux manœuvres du cardinal, elles correspondent à celles des députés modérés qui appelleront à leur

Epouse de Louis XVI, Marie-Antoinette reste l’une des plus célèbres reines de France. Par son comportement léger et irréfléchi, par son indifférence à la souffrance du peuple, elle a suscité la haine et l’a sans cesse alimentée. Contre-révolutionnaire convaincue, elle n’a cédé en rien aux insurgés, avec une force et un courage qu’on ne lui soupçonnait pas. Celle que le peuple appelait "l’Autrichienne" ou "Madame Déficit" semble avoir elle-même tracé son chemin vers l’échafaud. Marie-Antoinette

Epouse de Louis XVI, Marie-Antoinette reste l’une des plus célèbres reines de France. Par son comportement léger et irréfléchi, par son indifférence à la souffrance du peuple, elle a suscité la haine et l’a sans cesse alimentée. Contre-révolutionnaire convaincue, elle n’a cédé en rien aux insurgés, avec une force et un courage qu’on ne lui soupçonnait pas. Celle que le peuple appelait "l’Autrichienne" ou "Madame Déficit" semble avoir elle-même tracé son chemin vers l’échafaud. Marie-Antoinette

La politique extérieure de Louis XVI En avril 1777, à Vienne, Joseph II était empereur, mais c’est sa mère, l’impératrice Marie-Thérèse, qui gouvernait, laissant à son fils le temps d’entretenir ses rêves de conquête – et de faire des voyages. C’est ainsi qu’il se rendit à Paris, sous une identité d’emprunt, d’abord pour voir sa sœur Marie-Antoinette, mariée depuis sept ans, et reine de France depuis trois ans, et aussi pour observer discrètement la vie politique et les mœurs de la société parisienne

province à l'autre) Les privilèges sont en principe des garanties de liberté contre les abus du pouvoir mais dans la pratique, ils gênent l'établissement d'une politique générale, entravent les volontés de réforme du gouvernement (notamment sous Louis XV), ralentissent les échanges (il y a des péages d'une province à l'autre, voire d'une ville à l'autre). Ils figent la société. Au XVIIIe siècle, l'essor de nouvelles catégories sociales dans les villes et dans les gros bourgs est indéniable. Parmi

occidentale : Le modèle italien : Pétrarque et Boccace. Séance 3 : Maurice Scève ; L’école Lyonnaise. Séance 4 : La pléiade : Défense et illustration de la mangue française. Séance 5 : La poésie Politique (Agrippa d'Aubigné), les figures féminines (Louise Labé, Margueritte de Navarre) [Leur apport à l’humanisme]. Séance 6 : Le récit de François Rabelais ; L’essai (Montaigne, Jean Calvin) Séance7 : Suite et fin du « récit de François Rabelais ; L’essai (Montaigne, Jean Calvin) » Le théâtre : La