Louise de La Fayette

fragments, incomplets, obscurs et profonds, d'une inépuisable richesse de pensée et d'une beauté de forme incomparable, fourniront le livre des Pensées. Deuxième période (1660-1715) Un grand changement se fait voir après 1660, vers le temps où Louis XIV commence à gouverner par lui-même. Par l'adoration qu'il excite, il absorbe le patriotisme dans le sentiment monarchique, et, par son despotisme jaloux, il éteint l'esprit politique. L'inspiration chrétienne domine et oblige le libertinage à se

Par exemple, il pousse à l'élection de PETION ( montagnard engagé – donc pas favorable au roi ) à Paris ?. Au mois de décembre 1791, le roi est favorable à la Guerre car il espère perdre la guerre et être remis sur le trône par les prussiens. LA FAYETTE aussi ! Robespierre : MAGISTER MORAL. Il dit : il ne faut pas juger le roi, il est coupable, il faut l'exécuter. Or bcp de gens – notamment paysans – aiment le roi ! On va au Louvre et on ouvre l'armoire de fer : on trouve des papiers de correspondance

explosifs lui est attribuée. Il eut un fils : Etienne Fargeau Choderlos de Laclos, auteur des Carnets de marche du commandant Choderlos de Laclos (An XIV- 1814), suivis de lettres inédites de Mme Pourrat, publiés avec une préface et des notes par Louis de Chauvigny (Payot, 1912), né le 1er mai 1784 à La Rochelle et mort à la bataille de Berry-au-Bac le 18 mars 1814 lors de la campagne de France sous les ordres du Maréchal Marmont. Les Liaisons dangereuses En 1779, il est envoyé en mission dans

Caractères La Bruyère Les fausses dévotes Les Caractères La Bruyère Dialogues des morts Fénelon Les lettres portugaises Guilleragues Les lettres portugaises Lettre V Guilleragues La princesse de Clèves Mme de La Fayette La princesse de Clèves Mlle de Chartres Mme de La Fayette Préface au traité sur le vide Blaise Pascal Les deux infinis Blaise Pascal Lettres, 203 Mme de Sévigné Lettre de Mme de Sévigné à Mr de Coulanges Mme de Sévigné Le XVIIIème siècle Synthèse Torture Voltaire

drapeau national plus pittoresque voire poétique car nombre d'hommes illustres se sont, dit-on, penchés sur son berceau pour le parer de ses couleurs. Avant d'être drapeau, le tricolore fut cocarde. La Fayette, raconte dans ses Mémoires que, trois jours après la prise de la Bastille, il obligea Louis XVI se rendant à l'hôtel de ville de Paris, à porter la cocarde tricolore, le blanc représentant la monarchie, le bleu et le rouge, la ville de Paris, signe de « l'alliance auguste et éternelle entre le

Lafayette à partir de 1672, et publié sans nom d’auteur en 1678, tout comme le roman « La Princesse de Montpensier » en 1662. En effet, Mme de Lafayette de crainte que son nom diminue le succès de son livre, n’a pu se résoudre à se déclarer. A l’époque de Louis XIV, on condamnait quelques fois les ouvrages sur la médiocre opinion que l’on avait de l’auteur, parallèlement, la réputation de l’auteur donnait souvent du prix aux ouvrages. Le roman raconte l’histoire de Mademoiselle de Chartres, qui rencontre

le classicisme à lieu de 1660 à 1700 environ, uniquement en France. - Le contexte : au baroque on a une Contre-réforme catholique, les Guerres de Religion au XVIème siècle, et des troubles politiques au XVIIème siècle. Durant l'époque classique, Louis XIV règne et instaure une monarchie absolue, il y a le jansénisme (=doctrine de la prédestination et des rapports du libre arbitre et de la grâce). Le terme classicus désigne en latin la classe la plus fortunée de la société. Par glissements successifs

de la France En 1777, le marquis de La Fayette (1757-1834) — répondant au nom de Marie Joseph Paul Yves Roch Gilbert MOTIER, marquis de La Fayette — prit une part active à la guerre de l'Indépendance américaine aux côtés des insurgés; il contribua même à la victoire décisive de Yorktown (6-19 octobre 1781). C'est la bataille de Yorktown, qui marqua la fin des hostilités et constitua une étape décisive pour l'indépendance des Treize Colonies. La Fayette avait auparavant équipé à ses frais un vaisseau

Jean Gilbert Victor Fialin est né le 11 janvier 1808 à Saint-Germain-Lespinasse. Il est le fils de Antoine Henri Louis Marie Fialin et de Anne Marie Girard de Charbonnières. Son père, ayant fait de mauvaises affaires, abandonne sa femme et ses deux enfants pour s'engager dans les armées impériales qui envahissent l'Espagne[1]. Devenu Maréchal-des-logis-chef, il est admis à l'hôpital royal de Salamanque où il décède le 12 décembre 1810, par suite de fièvres. Le jeune Fialin, orphelin de père, est

mars 1968 et le second recueil de ses fables 1678et 1679 , en deux volumes . 2) Il fréquente plusieurs salons : celui de la Duchesse de Bouillon, une des nièces de Mazarin, et celui de l'hôtel de Nevers. Il rencontre Mesdames de Sévigné et de La Fayette, ainsi que La Rochefoucauld. Publication des deux premiers contes : Joconde et Le Cocu battu et content . 3) Jean de La Fontaine appartient au milieu social de la bourgeoisie . La Fontaine est présenté à Nicolas Fouquet, surintendant des Finances