Lubitsch

gueules cassées Les Fragments d'Antonin de Gabriel le Bornin, 2006 – Les traumatismes de la guerre Cheval de Guerre de Steven Spielberg, 2011 – Les chevaux sacrifiés de la guerre Seconde guerre mondiale To be or not to be (Jeux dangereux) d’Ernst Lubitsch, 1942 – Comédie sur les artistes pendant la guerre L'Armée des ombres de Jean-Pierre Melville, 1969 – La résistance Lacombe Lucien de Louis Malle, 1974 – La collaboration Le Choix de Sophie d’Allan J. Pakula, 1979 – Le retour des camps Au Revoir

- • Frankenstein (1931) de James Whale • Dracula (1931), Freaks (1932) de Tod Bowning • Dr Jekyll & Mr Hyde (1932) de Rouben Mamoulian • King Kong (1933) de Ernest B. Schoedsack et Meriam C. Cooper. E – La comédie américaine - Films d'Ernest Lubitsch et de Franck Capra. Comédies sur des horreurs comme Jeux Dangereux en 1942. II – Le cinéma pendant la guerre : cinéma comme objet de propagande - • Les films sont sous l'égide de la Continentale Société de production allemande donc les films réalisés

portée subversive : c'est une bonne tribune pour y exprimer sa révolte, créant une catharsis pour le public (exemple : extrait de Les Bonnes avec Claire & Solange de Genet, 1947) tout en présentant cela comme un jeu (exemple : To be or not be, Lubitsch, 1942).

c'est que Fritz Lang quitte l'Allemagne peu de temps après. Il s'exile à Paris, où il retrouve Erich Pommer pour qui il réalise Liliom en 1934. Le 6 juin 1934, il part pour les États-Unis, afin de marcher sur les traces de Friedrich Murnau, Ernst Lubitsch, Josef von Sternberg et Erich von Stroheim, autres cinéastes allemands et viennois, exilés à Hollywood.

Lubitsh, en tant qu'auteur, affirme sa présence dans la séparation assumée entre le cadrage et son objet, qui ne sont plus relié par une relation de nécessité sémentique mais par un jeu drectif qui incite le spectateur a endosser un rôle créatif. Lubitsch lui donne des éléments de narration jusque la sans rapport avec la situation et le laisse échaffauder des hypothèses , faisant de lui son complice pour mieux le surprendre. Ansi la troupe qui a élaboré son plan loinb de la scène à laquelle on vient

l'oeuvre : celle-ci amuse & permet également de critiquer, mais tout rentre dans l'ordre à la fin. On peut retrouver ce principe de mise en abyme dans plusieurs œuvres que nous avons étudiées, comme spécialement le film To Be Or Not To Be de Lubitsch (1942), ou encore un extrait de Les Bonnes de Genet (1947).

les communautés juives d'Europe, pour l'humanité entière et pour la démocratie. Cette première satire a marqué la satire anti-hitlérienne postérieure qui se réfère toujours, plus ou moins directement, au film de Chaplin, de Jeux dangereux d'Ernst Lubitsch en 1942 à La Vie est belle de Roberto Benigni en 19973. Synopsis Lors de la Première Guerre mondiale, dans un pays imaginaire nommé la Tomanie et ressemblant beaucoup à l'Allemagne, un soldat maladroit sauve la vie d'un pilote de chasse nommé

système nazi, et qui dénonce à l’avance bien des crimes de guerre hitlériens. Il est repris en Belgique en 1945 avec ajouts de scènes tirés des camps de concentration. Il faut attendre 2008 pour que la chaîne Histoire le redécouvre et l’exploite. LUBITSCH Ernst To be or not to be – Jeux dangereux ÉU Fiction. Satire du nazisme, comédie dramatique. Cette parodie cynique a été mal comprise lors de sa sortie. Le cadre est censé être Varsovie occupée. L’humour noir est un moyen de survie, de résistance

les communautés juives d'Europe, pour l'humanité entière et pour la démocratie. Cette première satire a marqué la satire anti-hitlérienne postérieure qui se réfère toujours, plus ou moins directement, au film de Chaplin, de Jeux dangereux d'Ernst Lubitsch en 1942 à La Vie est belle de Roberto Benigni en 1997 Mis à part la fin du film, très émouvante, celui-ci présente une suite de gags visuels ou de situations drôles. On peut citer notamment les scènes lorsque le dictateur Hynkel joue avec un globe

survivre (instinct de survie=sens animal), et obéit sans réfléchir, comme une machine (sens de la bêtise). Parallèles prévus : - C'était la guerre des tranchées, Jacques Tardi. - Les joueurs de Skat, Otto Dix. - L'homme que j'ai tué, film de Ernst Lubitsch. IV) Résumé : Paul Bäumer est un jeune Allemand de 19 ans, Après avoir été soumis à un bourrage de crâne patriotique par leur professeur, Kantorek, tous ses camarades de classe et lui-même s'engagent volontairement dans l'armée allemande3.