Lubitsch

cinématographiques majeures peuvent illustrer les formes diverses de ce cinéma engagé : J’accuse d’Abel Gance (1919-1938), La vie est à nous de Jean Renoir (1936), Le Dictateur de Charlie Chaplin (1940), To be or not to be (Jeux dangereux titre français) de Ernst Lubitsch (1942) La vie est à nous (1936), produit par le parti communiste, est l'un des premiers films militants français  Tout d’abord, nous examinerons les diverses raisons ayant favorisé l’émergence d’un cinéma engagé au cours de cette période. Puis

janvier 1902 et mort le 2 aout 1985 en France. Il montre un talent précoce envers la peinture et rentre à 13 ans à l'école des Beaux Arts de Varsovie, en dépit de son jeune âge et du numerus clausus à l'encontre des Juifs.  Il y est engagé par Ernst Lubitsch à l’Alliance européenne comme peintre, maquettiste et décorateur de studio. Déporté vers Auschwitz, l’artiste fut membre du Sonderkommando chargé de brûler les cadavres et de les sortir des chambres à gaz. Après la guerre, David fit des toiles où

envers la peinture et entre à 13 ans à l'école des Beaux Arts de Varsovie, en dépit de son jeune âge et du numerus clausus à l'encontre des Juifs. Il obtient une bourse et quitte la Pologne pour Berlin, trois ans plus tard. Il y est engagé par Ernst Lubitsch à l'Europäische Film Allianz (Alliance européenne du Film) comme peintre, maquettiste et décorateur de studio. En 1923, il émigre à Paris, s'installe à Montparnasse, fréquente de nombreux artistes, travaille comme affichiste à Paramount Pictures et

envers la peinture et entre à 13 ans à l'école des Beaux Arts de Varsovie, en dépit de son jeune âge et du numerus clausus à l'encontre des Juifs. Il obtient une bourse et quitte la Pologne pour Berlin, trois ans plus tard. Il y est engagé par Ernst Lubitsch à l'Europäische Film Allianz (Alliance européenne du Film) comme peintre, maquettiste et décorateur de studio. En 1923, il émigre à Paris, s'installe à Montparnasse, fréquente de nombreux artistes, travaille comme affichiste à Paramount Pictures

Stanley Donen et Gene Kelly. 7e  : Vertigo, Alfred Hitchcock. 8e ex aequo : Les Enfants du paradis, Marcel Carné ; La Prisonnière du désert, John Ford ; Les Rapaces, Eric von Stroheim. 9e ex aequo : Rio Bravo, Howard Hawks ; To be or not to be, Ernst Lubitsch . 10e : Voyages à Tokyo, Yasujiro Ozu. 11e : Le Mépris, Jean-Luc Godard. 12e ex aequo : Les Contes de la lune vague, Kenji Mizoguchi ; Les Lumières de la ville, Charles Chaplin ; Le Mécano de la Général, Buster Keaton ; Nosferatu le vampire, Friedrich

film réaliser en 1942 propose aux americains un show jubilatoire tout aux long des scenes. "To be or not to be" renommé "Jeux dangereux" en France est avant tout une comédie hollywoodienne sur un sujet grave, l'extermination des juifs par Hitler. Lubitsch prend un grand risque en réalisant cette oeuvre, il ose des choses trés politiquement incorrectes et à la limite du burelesque et du satire parfois. Néamoins ce film politique reste comme une revanche, en mettant en avant le rire, plutot que le désespoir

et mort le 2 aout 1985 en France. Il montre un talent précoce envers la peinture et rentre à l'école des Beaux-Arts de Varsovie à seulement 13 ans, en dépit de son jeune âge et du numerus clausus à l'encontre des Juifs.  Il y est engagé par Ernst Lubitsch à l’Alliance européenne comme peintre, maquettiste et décorateur de studio. Il est ensuite déporté vers Auschwitz, où il fut membre du Sonderkommando chargé de brûler les cadavres et de les sortir des chambres à gaz. C’est après la guerre, qu’Olère

les communautés juives d'Europe, pour l'humanité entière et pour la démocratie. Cette première satire a marqué la satire anti-hitlérienne postérieure qui se réfère toujours, plus ou moins directement, au film de Chaplin, de Jeux dangereux d'Ernst Lubitsch en 1942 à La Vie est belle de Roberto Benigni en 1997.

envers la peinture et entre à 13 ans à l'école des Beaux Arts de Varsovie, en dépit de son jeune âge et du numerus clausus à l'encontre des Juifs. Il obtient une bourse et quitte la Pologne pour Berlin, trois ans plus tard. Il y est engagé par Ernst Lubitsch à l'Europäische Film Allianz (Alliance européenne du Film) comme peintre,maquettiste et décorateur de studio. En 1923, il émigre à Paris, s'installe à Montparnasse, fréquente de nombreux artistes, travaille comme affichiste à Paramount Pictures et

contentant de traduire, ou de faire traduire, les scripts qu'il avait écrits en Europe, Wilder ronge son frein. Sa rencontre avec Charles Brackett s'avère déterminante. Le duo de scénaristes-dialoguistes délivre quelques joyaux de la comédie, pour Ernst Lubitsch (La Huitieme Femme de Barbe-Bleue, Ninotchka) ou encore Howard Hawks (Boule de feu, et son remake Si bemol et fa diese). Sous contrat avec la Paramount, il reprend sa place derrière la caméra. Il impose dès son troisième film américain un univers