Lucarne

son rôle dans son ménage. (p.82, paragraphe 2), (p.84, paragraphe 3), (p.91-92, dernière phrase)  changement dans la tête Emma. Vision de la belle-mère  p.94, paragraphe 1. Résumé de sa vie  p.96 « sa vie était froide comme un grenier dont la lucarne est au nord, et l’ennui, araignée silencieuse, filait sa toile dans l’ombre à tous les coins de son cœur. » La maternité est aussi une contrainte pour Emma, car contrairement aux autres femmes de son rang, Emma va mettre sa fille en nourrice (149)

Texte 2 Hugo_MathieuTexte 2 : Notre-Dame de Paris, Victor Hugo (1831) Introduction : Le romantisme est apparu au milieu du XVIIème siècle en Grande-Bretagne et n’apparait en France qu’au début du XIX siècle. Ce nouveau genre se caractérise par l’expression des tourments de cœur et de l’âme. Victor Hugo, écrivain du XIX siècle connu pour ses romans tels que Les Misérables et Notre-Dame de Paris, est le chef de file de ce mouvement. Notre-Dame de Paris parut en 1831. Cet extrait se situe au début

l’entremise de ces trois stores qui sont hissés, tel un rideau de théâtre, par on ne sait quelle magie et doigts experts. On observe alors à loisir par un mouvement souverain et discret une façade constellée d’appartements où se joue derrière chaque lucarne l’humble ronde des existences privées (et sentimentales) de chacun. La canicule qui sévit en cette saison pousse les habitants à laisser ouvertes leurs fenêtres et offrir ainsi le libre champ aux regards indiscrets pour s’y poser. Au cœur de ce dispositif

télévisées et se produit également sur scène. PPD et ses invités, qui se trouvent derrière la banque, sont manipulés par deux marionnettistes, dont l’un s'occupe des bras tandis que l'autre s'occupe de la bouche et des yeux des personnages.  Dans la lucarne, les marionnettes en position debout sont manipulées par deux autres marionnettistes, l'un s'occupant d'un bras et de la bouche, et l'autre des yeux et de l'autre bras.  4 La réalisation A l’origine, l'émission était hebdomadaire. En 1988-1989

l’excitant destinée de ses anciennes camarades du couvent vivant en ville, Le narrateur de Flaubert écrit : <<elles avaient des existences où le cœur se dilate, où les sens s’épanouissent. Mais elle sa vie était froide comme un grenier dont la lucarne est au nord, et l’ennui, araignée silencieuse, Filait sa toile dans l’ombre, à tous les coins de son cœur.>> (page 42). Flaubert utilise aussi le discours indirect libre pour ressortir l’esthétique. Ce type de discours rapporté

la poésie une enfance restée vierge pour avoir été tôt perdue: « Le petit trot des gauchos me façonne, les oreilles fixes de mon cheval m'aident à me situer. Je retrouve dans sa plénitude ce que je n'osais plus envisager, même par une petite lucarne, toute la pampa étendue à mes pieds comme il y a sept ans. » Le poète dessine alors son autoportrait en « gaucho », équivalent terrestre du marin, libre, barbare et brusque, dionysiaque, exténué, « hors venu », homme de pistes et de foulées,

installer . Jerome sur de lui me demande de tenir le mètre en haut de la seul échelle dont nous disposons et que lui va traverse entre les deux pignon en équilibre sur le mur construit la semaine d'avant . Mais il as essaye de contourner un poteau de lucarne en brique en se tenant dessus mais ce dernier n'étais pas encore sec et donc pas solide . Le poteau a cédez en emmenant avec lui Jerome qui dans sa chute l'a pousser pour ne pas tomber dessus .Il n'as donc pas pu pensée a se réceptionne de sa chute

cependant ce qui deviendra le classique de cette architecture, le quadrillage, créé par les pilastres, autour des croisées, confrontés aux moulures horizontales, entre les étages. Ce quadrillage doit mener le regard vers le haut, attirer par les lucarnes, richement sculptées. Pourtant, ici, on note une imposante corniche, qui gâche cette élévation, c’est là aussi le signe de choix curieux et encore expérimentaux pour la Renaissance. Elle s’interrompt d’ailleurs pas pour le gigantesque et célèbre

télévision est un enjeu de pouvoir. En effet dès 1958, 10.6 millions de récepteurs diffusent en France, les journaux télévisés, émissions, films et sont susceptibles de touchés autant de Français, voire plus étant donné que l’on regarde la petite lucarne en famille mais aussi au bar, au bistrot et même dans la rue. Les années entre 1958 et 1968 constituent un tournant, le taux d’équipement passe de 5 à 62 %, une seconde chaine apparaît en 1964. En 1963, de Gaulle dira que la télévision est un « instrument

bibliothèque entourant de ses trois côtés un large bureau de bois noir. Les deux panneaux en retour disparaissaient sous des dessins à la plume, des paysages à la gouache et des gravures d'Audran, souvenirs d'un temps meilleur et d'un luxe évanoui. Une lucarne, au second étage, éclairait la chambre de Félicité, ayant vue sur les prairies. Elle se levait dès l'aube, pour ne pas manquer la messe, et travaillait jusqu'au soir sans interruption ; puis le dîner étant fini, la vaisselle en ordre et la porte