Lucas Courbe Phillips

spéculation, demande de monnaie infinie. La politique monétaire depuis 1929 a été contra cyclique. Lorsque la croissance économique ralentie, les autorités monétaires ont une politique expansionniste afin de réduire le taux d’intérêt. La courbe de Phillips : Relation entre taux d’inflation et taux de chômage. Quand le chômage augmente, il existe d’avantage de concurrence entre les salariés, et donc les salaires baissent. Si le chômage baisse, les salaires montent, et il y aura inflation.

(déflation, qui n’est pas à confondre avec la désinflation qui correspond à un ralentissement de la hausse des prix et non pas à leur diminution), plus le chômage augmente. C’est ce que l’économiste néo-zélandais Alban William Phillips a mis en évidence, en 1958, dans une courbe à laquelle on a donné à tort son nom. Dans ce graphique, il a observé une relation empirique négative (relation décroissante) entre le taux de chômage et l’inflation. Ainsi, Philips observa une relation négative entre la hausse

mesures de politique économique. La relation prix salaires est analysée à partir du modèle WS-PS qui propose une analyse du fonctionnement du marché du travail sensible aux aspects institutionnels et des différentes formulations de la relation de Phillips qui seront particulièrement utiles pour comprendre le modèle AS-AD qui apporte un nouvel éclairage du fonctionnement de l’économie à moyen terme. Il s’agit d’établir un pont entre le fonctionnement de l’économie à long terme qui sert de référence

financière profonde qui remet en cause le système monétaire international établie en 1944. A partir du milieu des années 1970 en particulier, la théorie néo-keynésienne selon laquelle le chômage et l’inflation évoluent dans des sens opposés (« Courbe de Phillips ») fut clairement infirmée par l’expérience de la stagflation. Sous l’impulsion de M. Friedman, les économistes monétaristes furent entendus des principales autorités gouvernementales et des grandes banques centrales : aux Etats-Unis, la

entre les deux  taux (Courbe de Phillips). Sur l’ensemble de cette période, la croissance du PIB a d’abord baissé, puis augmenté. Dans un premier temps la Balance Courante s’est détériorée ce qui est égal à un déficit, mais à partir de 1993, il y a eu un excédent, le solde est donc devenu légèrement positif càd excédentaire. A partir du carré magique se dégagent deux relations importantes en macroéconomie: * La relation entre l’inflation et le chômage (courbe de Phillips vue plus haut). Si le

penser, la stabilité des prix étant un préalable à une activité économique soutenue. Cependant, si on admet qu'il n'existe pas d'arbitrage à long terme entre stabilité des prix et activité économique car la monnaie est neutre à long terme (la « Courbe de Phillips » de long terme est verticale), l'unique objectif de long terme de la banque centrale doit être le maintien de la stabilité des prix. Dans cette hypothèse le niveau de croissance potentiel dépendant de facteurs multiples (productivité, stock

des modèles et à la dynamique de création et de maintien d'institutions essentielles, comme les marchés, la monnaie. Partie de relations très simples, à l'image du modèle IS/LM reliant le marché des capitaux et celui de la monnaie ou de la courbe de Phillips reliant inflation et chômage, la macroéconomie a évolué vers la construction de modèles économiques complexes incluant à la fois des relations supposées entre variables et des relations comptables servant à définir les agrégats. Très utilisés

années I.3.b évolution du taux d’inflation dans les dix dernières années I.3.c Le type d’inflation du Sénégal II. INFLATION ET CHOMAGE II.1 La courbe de PHILLIPS II.1.a la courbe de Phillips initiale II.1.b La courbe de Phillips augmentée II.1.c Les critiques de la courbe de Phillips II.1.d Friedman et la courbe de Phillips II.1.e Courbe de Phillips et anticipations : Friedman et les nouveaux classiques II. 2Relation entre inflation et chômage au Sénégal II.2.1 Le chômage au Sénégal II.2

l'intervention de l'État est donc légitime pour résoudre ce problème. Pour Keynes, il faut maintenir un salaire minimum pour favoriser la consommation. Cela va à l'encontre des néoclassiques, pour lesquels le salaire minimal crée du chômage. COURBE DE PHILLIPS Plus le chômage est élevé, plus la pression à la baisse des salaires est importante. Lipsey ajoute que le chômage est faible en situation de forte inflation et fort en situation de faible inflation. Il faut choisir : soit baisser le chômage

Les nombreuses vies de la courbe de Phillips Introduction La relation salaires-chômage se pose comme problème structurant de la pensée économique. L’intuition d’une relation entre les deux variables remonte aux économistes classiques, qui interprétèrent le chômage comme le résultat de salaires trop élevés ne permettant pas à tous ceux qui souhaitent travailler de trouver un emploi. La solution consistait donc pour eux à diminuer les salaires jusqu’à l’obtention d’un équilibre de plein emploi