Lucas Courbe Phillips

* il existe un taux de chômage naturel en dessous duquel l'économie ne peut pas descendre durablement. La courbe de Phillips est une constatation empirique d'une corrélation entre le chômage et l'inflation à court terme uniquement. Le taux de chômage est en abscisse et l'inflation en ordonnée, cette courbe est monotone convexe décroissante. Friedman va modifier la lecture de cette courbe de la manière suivante : « en augmentant la masse monétaire, les autorités font croire aux travailleurs que

observation statistique ayant une répercussion jusqu’à l’heure actuelle : La courbe de Phillips : corrélation inverse entre la variation du salaire nominal et de l’inflation d’un coté, et de l’autre le chômage. ( Il y a un arbitrage entre l’emploi et l’inflation. ( Cette courbe de Phillips identifiée au début des années 1950 va donner lieu à un usage de la politique monétaire et budgétaire qui est réglée sur cette courbe :On a donc un Fine tuning (réglage fin) de la politique éco pour ralentir

La relation inflation – chômage et l’élaboration d’une théorie de l’offre globale 1. LA COURBE DE PHILLIPS ET LA SYNTHESE NEOCLASSIQUE Le paradigme keynésien qui prévaut jusqu'à la seconde moitié des année 60 et qui est connu sous le vocable de “ synthèse néoclassique ” reprend les éléments d'analyse suivants: a) Le modèle IS-LM conduit à construire une fonction de demande agrégée qui lie P et le revenu réel y. b)Les prix et les salaires rigides et les imperfections de marché un changement de

en une nouvelle conception de long terme illustrant une indépendance des taux de chômage et d'inflation. I. Le dilemme inflation / chômage : la vision keynésienne de la dépendance des taux d'inflation et de chômage A. Le mécanisme de la courbe de Phillips : une relation négative entre inflation et chômage B. L'arbitrage entre taux de chômage et taux d'inflation effectué par les pouvoirs publics II. L'interprétation monétariste de la relation des taux de chômage et d'inflation : une évolution

des ménages puis sur C (= débouchés). Pas sûr que les ménages dépensent toute la baisse d’impôts. 2.1.1.3) Les effets d’une politique budgétaire expansive : analyse au travers du modèle IS-LM Politique budgétaire : agit sur la courbe IS (B&S) : Augmentation G ou baisse T et donc augmentation Y augmentation L augmentation r. Graphiquement : Augmentation G ou baisse T déplacement vers la droite Taux intérêt (r) Δ+ G ou Δ T LM PIB (Y)

La courbe de demande globale, AD, lie la production d'equilibre de court terme au niveau general des prix : lorsque les prix s'elevent, les agents du secteur prive demandent plus de monnaie pour realiser leurs transactions sur le marche des biens, et l'exces de demande de monnaie qui s'ensuit, nous venons de le voir en decrivant l'eet d'eviction, s'accompagne d'une baisse de la production. La courbe d'ore globale, AS, est habituellement deduite de la courbe de Phillips augmentee

l’offre de biens en fonction du niveau des prix. On pourra noter a′ = ln(A). 6) Représentez et interprétez cette fonction d’offre globale dans le cas où γ ∈ (0, 1) et dans le cas où γ = 1. Exercice 3 - Equilibre Offre Globale - Demande Globale et courbe de Phillips En forme réduite, la fonction d’offre et de demande agrégées peuvent s’écrire respectivement: y d = A − αp y s = B + (1 − γ)p avec γ ∈ (0, 1]. 1) Dans un premier temps nous considérerons que γ = 1. Calculez le niveau du produit y ∗ et des prix

la théorie établie indiquait que, avec une légère hausse de l’inflation, il était possible de baisser de manière permanente le chômage et d’augmenter le niveau réel de l’activité économique. Cette théorie a été exposée dans la « Courbe de Phillips » (A.W. Phillips, 1958), qui montrait une relation négative et supposée stable entre le taux de chômage et le taux d’inflation. La relation entre l’inflation et l’emploi se fait à travers du pas intermédiaire des salaires. La hausse des prix incite

perspective). Les plans de relance apres 2008 cherche de la même façon a atteindre un même niveau de stabilité. Pol monétaires permettent de relancer la croissance (USA 2011 , GB 2011) C. Epusiement des recettes keynesiennes (70’s) Inversion de la courbe de phillips, stagflation marquent la fin de la regulation keynesienne ds le contexte de l’internationalisation. Le contexte impose des politiques d’offre. Plus grande mobilite des capitaux pour assurer l’efficience au niveau mondial. Le dev des pays emergnts

de conséquences majeures. Cette hausse de salaire va donc provoquer le début d’une réaction en chaine dont le premier pallier et la formation de pression à la hausse sur les coûts. Comme vu ci-dessus la courbe de Phillips et relativement courbée. Avec cette pression à la hausse des coûts, la courbe va se déplacer plus ou moins vite vers la droite. Le chômage va alors commencer à grimper, notamment à cause du refus du gouvernement de valider les nouveaux coûts qui sont dorénavant plus élevés. Les