Lucas Courbe Phillips

Mise en évidence en 1958, la courbe de Phillips est une courbe illustrant une relation empirique négative (relation décroissante) entre le taux de chômage et l'inflation ou taux de croissance des salaires nominaux. Cette relation s'explique par le fait qu'au-delà d'un certain niveau de chômage, les salariés ne sont plus en position de force pour exiger une hausse de salaire; le partage des gains de productivité s'effectue alors en faveur de l'entreprise. Elle dérive des travaux de l'économiste

=> remboursements stables * Effet de levier améliore la rentabilité de l’investissement (Tx intérêt < Tx de rentabilité économique, l’inflation réduisant le taux d’intérêt réel) * Phillips : Progression de l’inflation a pour contrepartie la diminution du chômage selon la courbe de Phillips B] Qui nécessite une autorégulation * Laisser faire, marché proche de la concurrence pure et parfaite (atomicité, libre entrée/sortie, transparence, homogénéité, parfaite mobilité des facteurs

la demande augmente alors, il y a une effet inflationnisme au moins à court terme car les entreprises doivent adapter leurs capacités de production pour accroître leur offre. B. Répercussions de l’inflation • Chômage - courbe phillips : court terme 1958 : Phillips met en évidence une relation décroissante : si taux de chômage bas, hausse des salaires importante. Samuelson et Slow : relation inverse, lorsque l’inflation est haute, le taux de chômage est bas (et inversement). Keynésiens

(wage-setting, price-setting) introduit par Layard-Nickell-Jackman (1991) constitue une référence pour fonder un taux de chômage d’équilibre. Celui-ci résulte de la confrontation entre une courbe W S (wage setting), représentant la fixation des salaires comme résultat d’une négociation entre employeurs et syndicats, et une courbe P S (price setting) résumant le côté demande de travail et le processus de détermination des prix . Le modèle WS-PS constitue aussi un outil précieux pour l’étude des politiques

plus sur la base de leur pouvoir d'achat que sur leur salaire nominal qu'ils forment leurs revendications salariales. C'est la raison pour laquelle on spécifie généralement une courbe de Phillips augmentée des anticipations de prix, en mesurant l'impact de l'évolution des prix sur l'évolution des salaires. Les travaux de Phillips en 1958 ont mis en évidence une liaison entre le taux de croissance des salaires et le niveau du chômage. La stagnation des revenus du travail, la hausse des prix conduisent

Université Catholique de Louvain | Atelier d’Economie Internationale | Table des matières 1. Introduction 2. Bilan macroéconomique A. Croissance économique et emploi B. Inflation i. La courbe de Phillips ii. La productivité du travail iii. Le coût salarial C. Finances publiques D. Commerce extérieur 3. Politiques économiques A. Analyse de l’orientation des politiques économiques B. Analyse en profondeur de la politique budgétaire 4. Marché du

literature, Vol 28, No. 4 (1990). L’auteur explique que la macroéconomie a beaucoup évolué ces 20 dernières années, mais que ces changements théoriques n’ont pas eu d’impact sur la macroéconomie appliquée. En effet, le modèle IS-LM augmenté de la courbe de Phillips reste le plus utilisé dans la presse et par les dirigeants pour interpréter les questions de politique économique. Le fait que les évolutions des modèles soient si peu utilisées dans la pratique permet de supposer qu’elles n’ont qu’une faible

l’économie si la politique est trop sévère Donc soit on accepte un certain taux d’inflation, soit on refuse l’inflation avec une économie de récession ou d’expansion faible : c’est une impasse. Ce choix va être analysé par la courbe de Phillips. Courbe de Phillips : elle représente la variation du taux de salaire en relation avec la variation du taux de chômage. Ca se limite à une droite de régression à travers un nuage de point (fascicule p.24). l’augmentation de salaire, l’activité économique

globale/quasi-demande globale La macroéconomie keynésienne est une macro à prix fixe. On a fait juste qu’à maintenant comme si les prix étaient fixes et du coup comme si l’offre globale infiniment élastique aux sollicitations de la demande globale. La courbe d’O est donc horizontale. Une augmentation de la demande globale par des politiques conjoncturelles monétaire ou budgétaire expansionniste se traduit par une augmentation du produit globale =>O dans la même proportion sans incidence sur les prix

prix évoqués à partir du modèle que nous avons vu l'hypothèse que les prix ne soit plus les paramètres. Dans ces conditions on pourra parler de l'inflation est notamment des diverses interprétations concernant la relation inflation, chômage ( courbe de Phillips). On pourra en particulier étudié l'impact de politique économique sur le niveau général des prix. Toute fois comme nous allons voir l'effet des la dépense publique est variable sur le chômage où l'inflation selon les hypothèses que l'on pose