Lucien Clergue

Willink6 ou Escher7. La revue Planète met par ailleurs en avant plusieurs artistes qu'elle assimile au mouvement du réalisme fantastique, comme Soulages, Pierre-Yves Trémois et Pierre Clayette ainsi que des photographes comme Édouard Boubat ou Lucien Clergue. En mai 1964, le peintre Mathieu publie dans la revue un article intitulé « Je vous rejoins ». En 1973, les éditions OPTA publient un livre d’art consacré aux peintres du réalisme fantastique8 et en 1980, Jean-Louis M. Monod fait paraître Du surréel

(il traduit cependant certains romans d'Erich Maria Remarque) puis participe à des émissions culturelles à la radio (ORTF et Europe 1) et anime une émission télévisée mensuelle intitulée Chambre Noire sur la photographie. Il se lie alors avec Lucien Clergue avec qui il crée en 1968 les Rencontres photographiques d'Arles. À cette date, il a déjà commencé à écrire : après plusieurs textes qu'il juge trop médiocres, il publie en 1967, à 42 ans, son premier roman Vendredi ou les Limbes du Pacifique

détail, on distingue une femme et des stores seulement par les lignes et les volumes qui sont créé par la lumière et l’ombre. De plus, le fait que l’illustration soit présenté en noir et blanc accentue l’effet escompter. 
 7
 Nu zébré, Lucien Clergue, 2007 
 8
 La jeune fille à la perle, Vermeer, 1665 
 Contraste chaud-froid. 9
 Le contraste chaud – froid est un contraste qui, de part leur nature, nous donne une sensation de chaud ou de froid. Il est possible de donner

qu’elle le sauva du désespoir absolu et de ses tentations suicidaires après la mort de Nusch ; c’est elle qui lui inspirera les poèmes à l’érotisme incandescent de Corps mémorable, dont une édition est « illustrée » d’admirables photographies de Lucien Clergue. Pour Éluard, fidèle à l’Amour, un amour ne fait pas oublier le précédent, il le prolonge, tissant un lien ténu entre les femmes aimées qui chacune à leur façon, le remettent au monde. L’amour, « poésie ininterrompue », pour reprendre le titre

littérature s'y est illustrée avec des auteurs comme Frédéric Mistral, Jean Giono ou René Char. La lumière du ciel provençal a inspiré les plus grands peintres de Paul Cézanne à Auguste Renoir, de Vincent Van Gogh à Pablo Picasso, des photographes comme Lucien Clergue, Bernard Faucon, Willy Ronis ou Hans Silvester. La première salle de cinéma y fut ouverte, et celui-ci s'illustra avec des réalisateurs comme les frères Lumière ou Marcel Pagnol, des acteurs comme Raimu ou Fernandel et trouve son apogée chaque

photographie En 1969 commence donc la constitution de la collection de photographies de la BNF, qui, par sa richesse inépuisable, a vocation à constituer une référence centrale dans toute connaissance de la photographie. En 1970 le photographe arlésien Lucien Clergue, l'écrivain Michel Tournier et l'historien Jean-Maurice Rouquette créent les rencontres d’Arles, premier festival photographique français, qui rencontre toujours du succès actuellement. En 1972 ouvre le musée Nicéphore Niepce à Châlon sur Saône

furieuse et cosmique ____________________________________________________________ ______________________ Passionné par la photographie, Michel Tournier, qui avait été le producteur de l’émission de télévision “Chambre noire”, fonda avec Lucien Clergue, en 1968, les “Rencontres internationales de la photographie” en Arles. Il publia : ____________________________________________________________ ______________________ “Le roi des aulnes” (1970) Roman de 380 pages En France, dans

galerie privée. C’est d’ailleurs en 1966 que fut montée la première exposition sur l’histoire de la photographie à New York par John Szarkowski On peu ajouté la création d’Arles grand festival de la photographie mis en place par le photographe Lucien Clergue, l'écrivain Michel Tournier et l'historien Jean-Maurice en 1970 également en 1970, la photographie de mode fit sa place dans l’art bien qu’elle existe déjà depuis les années 50. La photographie de mode et le modernisme qui vit le jour par l’exposition

Transactions.indbDE LA PHOTOLITTÉRATURE Jean-Pierre Montier Les articles que le lecteur trouvera ici exposés à sa sagacité sont le fruit d’un travail qui n’aurait pas tout son sens s’il ne cherchait à innover, et qui ne saurait non plus produire quelque nouveauté sans être lui-même en évolution. C’est pourquoi il faut commencer par situer ces travaux d’une part au regard de la continuité qu’ils assument avec les précédentes recherches, et d’autre part en fonction des innovations qu’ils tentent

séjournèrent, avec Georges Hugnet, à Poitiers, chez Louis Parrot. D'octobre à février 1944, Éluard et Nusch se cachèrent, avec de nombreux juifs et résistants, à l'hôpital psychiatrique de Saint-Alban-en-Margeride (Lozère), dirigé par le docteur Lucien Bonnafé. Il publia, sous le pseudonyme de Jean du Haut : _________________________________________________________________________________ “Les sept poèmes d’amour en guerre” (décembre 1943) Recueil de poèmes --------------------------