Lucien Jerphagnon

EMPIRE ROMAIN — — La religion romaine », dans Encyclopédie Universalis, [s.d], consulté le 1 octobre 2015, http:// universalis-edu.com HOWATSON, M. C., dans Dictionnaire de l’Antiquité, sous « guerres puniques », Éditions Robert Laffont, 1993. JERPHAGNON, Lucien, Histoire de la Rome antique. Les armes et les mots, Paris, Éditions Tallandier, 1987. LANCEL, Serge, HANNIBAL. Paris, Éditions Fayard, 1992, p. 153-157. MOATTI, Claudia, Les Guerres puniques. Préface de Claudia Moatti, Éditions Gaillimard

orthodoxie/hérésie, voir Hérésie Références 1. ↑ Dictionnaire des mots de la foi chrétienne, publ. sous la dir. d'Olivier de La Brosse, Antonin-Marie Henry et Philippe Rouillard, Éd. du Cerf, Paris, 1989 (nouvelle édition), page 235. 2. ↑ Lucien Jerphagnon, « Arius sème la zizanie », dans Historia-thématique, mars-avril 2003, Les hérétiques. 3. ↑ Voir saint Thomas d'Aquin réfutant la validité des arguments d'autorité : II Sent., q. 27, t. 1 ; II Sent., q. 53, t. 2. Pour lui, un argument d'autorité

Grégoire de Nysse ou Grégoire de Nazianze Dieu est très transcendant c'est-à-dire bien au-dessus des hommes. Les théologiens de l'Église d'Occident - à l'exception d'Augustin d'Hippone- ont une optique différente et tentent selon l'expression de Lucien Jerphagnon de « donner de Dieu et de ses volontés l'idée claire et distincte s'imposant à tout le monde » 78, bref les desseins de Dieu sont relativement accessibles à la pensée humaine. Au contraire, Augustin insiste sur le mystère de Dieu, sur la part

gens assez naïfs pour s'y laisser piéger ! Ainsi se manifeste l'assurance de l'Homo sapiens sapiens, celui qui est donc censément capable de distinguer le vrai du faux, le réel de l'onirique, le sérieux du délire ou de la simple plaisanterie.(Lucien Jerphagnon, Les dieux ne sont jamais loin, Desclée de Brouwer 2002) Le mythe est donc bien un discursus qui n'est pas toujours « littérarisé » (expression d'André Siganos, Le Minotaure et Ses mythes, Éditions PUF, 1993) et peut-être comme chez

de Raymond Sebond, de Michel de Montaigne, reste sans équivalent sur le scepticisme de cette époque. Athéisme 8 On parlait alors d'incroyance pour désigner toute forme de dissidence face à la religion dans sa forme officielle comme en témoigne Lucien Febvre[43] . Athéisme entre le XVIIe et le XIXe siècle La Renaissance et la Réforme permettent d'assister à une résurgence de la ferveur religieuse, comme en témoigne la prolifération de nouveaux ordres religieux, confréries, les dévotions populaires

Seconds Analytiques, trad. Tricot, Paris, Vrin, 1966 Cicéron, Tusculanes, Collection des Université de France, Les Belles Lettres, 1970 Saint Augustin, Le Maître, trad. sous la direction de A. Jerphagnon, Bibliothèque de la Pléiade, vol. 1, Paris 1998, La Trinité, trad. sous la direction de A. Jerphagnon, Bibliothèque de la Pléiade, vol. 3, Paris 2002 Thomas d’Aquin, Le Maître, Paris, Vrin Henri de Gand, Somme des questions ordinaires Robert Grosseteste, Commentaire des Seconds Analytiques Jean

inconvénients en nous concentrant sur les institutions. De Rome, nous restent « des vestiges aussi grandioses que les ruines des métropoles mortes, textes patinés ou brisés par les siècles… [et qui] se cachent dans les recoins des bibliothèques » (Jerphagnon, Le Divin César, p. 17). Quelle histoire nous raconte ces vestiges ? L’histoire de Rome est celui d’une cité, une civitas, donc un état territorial restreint qui est devenu un empire universel. Comment les institutions de cette cité sont devenues

Demangeon, aussi bien que celles qu’il a exprimées sur l’avenir du Pacifique et de l’Asie, ont eu l’honneur d’être, quelques années plus tard, largement réaffirmées par Y. M. Goblet, dans un ouvrage publié à Londres 499. Dans le même sens, l’historien Lucien Febvre, qui avait rédigé un ouvrage de géohistoire pour la collection de synthèse historique d’Henri Berr (La Terre et l’évolution humaine, Paris, 1922), et publié avec Albert Demangeon une étude critique sur le Rhin en 1935, rejeta lui aussi «

La Cité de Dieu, Seuil, Points Essais, 1994. Œuvres, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 4 tomes, 1998-2004. Ouvrages introductifs Peter BROWN, La vie de saint Augustin, Paris, Seuil, 1971. Jean-Claude FRAISSE, Saint Augustin, PUF, 1968. Lucien JERPHAGNON, Saint Augustin. Le pédagogue de Dieu. Paris, Gallimard, 2002. Henri-Irénée MARROU, Saint Augustin et l’augustinisme, Paris, Seuil, 1955. 171 © Groupe Eyrolles Chapitr e 10 Saint Augustin : l’intelligence au service de la foi Études

be/concordances/vitruve_de_architect_04/ Saint Jérôme, Vulgate, Prophétie de Jonas http://agoraclass.fltr.ucl.ac.be/concordances/vulgate_proph_jonas/ Signalons aussi une lecture centrée sur les structures de la République romaine, à partir de l'ouvrage de Lucien Jerphagnon intitulé Histoire de la Rome antique. http://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/itinera/actualites/nouvelles.cfm?num=332 Hodoi Elektronikai Les nouveaux environnements hypertextes concernent notamment: Aristote, La Politique, livre V http://mercure.fltr