Lumière Sourde

l’intérieur, on peut très bien s’en servir à l’extérieur, dans une véranda ou un camping à l’aide d’une rallonge un soir d’été, selon le besoin et l’imagination. S’il fait sombre et que vous manquez de lumière, si vous êtes fatigué ou que vous souffrez de migraine, n’hésitez pas à ajouter à votre espace de la lumière de façon ciblée pour votre confort et votre santé grâce à ce type de lampe idéal. C’est une lampe stable et solide mais il faut tout de même faire attention à l’abat-jour, l’ampoule et la base

visions. Les cadrages serrés servirons à accentuer la sensation d'oppression du public, ils ne lui permettrons pas de voir les actions hors-champ donc cela va l'intriguer et le force à se concentrer sur l'action qui se déroule dans le champ. La lumière qui varie selon les moments du film, pendant la journée le contraste est très clair et l'image presque blanche, puis lorsqu'il quitte son travail le contraste s'assombrit et l'image devient plus sombre. Ce qui traduit l'état d'esprit dans lequel le

Francisco de GOYA ( 1746 - † 1828 ) Format de l’œuvre : 266 x 345 Lieu d’exposition : Musée du Prado (Madrid – Espagne) Lieu de création ESPAGNE Naissance de GOYA Il devient sourd Evènements des 2 mai et 3 mai « El 3 de Mayo » Départ pour la France Mort de GOYA 1746 1793 1808

Corps silencieux et victorieux dans tes rayons Steingrau me rappelant la brise Qui me relie au potentiel d’absence par d’invisibles soupirs Nous serons de lumière Mon étrangère matière Sous un nuage qui change D’or sourd de vert clair de blanc bleuté De gris changeant d’une fontaine. Mes paumes se pénètrent du baume des lois La lumière indestructible s’exaspérant sur ses faces retrouve mon immensité inhumaine et translucide. PIERRE PIERRE PIERRE POUSSIERE

précéda le meurtre. Et, chaque nuit, vers minuit, je tournais le loquet de sa porte, et je l’ouvrais, — oh ! si doucement ! Et alors, quand je l’avais suffisamment entrebâillée pour ma tête, j’introduisais une lanterne sourde, bien fermée, bien fermée, ne laissant filtrer aucune lumière ; puis je passais la tête. Oh ! vous auriez ri de voir avec quelle adresse je passais ma tête ! Je la mouvais lentement, — très, très lentement, — de manière à ne pas troubler le sommeil du vieillard. Il me fallait bien

cause des « poussières volantes du charbon » et de la « suie de dix hivers » ; si l’air est « alourdi », c’est à cause des « gaz ». Il fait aussi allusion à un phénomène optique, celui du « reflet de cristal » que lance le charbon qui joue avec la lumière « en se détachant ». • Enfin, Zola a le souci scientifique de fournir des données chiffrées précises, que ce soit la température (« jusqu’à trente-cinq degrés ») ou la durée (« au bout d’un quart d’heure », « la suie de dix hivers »). Il donne des

l’impressionnisme puisqu’il est constitué de petites touches descriptives. - horizontalité : étang, eau, nénuphar - verticalité : allusion à la saulaie et aux roseaux Lumière rasante d’une profonde intensité « dardait, suprême » et teintes blanches « blême » vers 2, « laiteux » vers 8. Les sons sont de plus en plus sourds comme une sorte d’étouffement par le brouillard ce qui traduit le malaise du poète II-Un poète malheureux, obsédé par le néant 1- Intrusion d’un malaise On remarque

qui précéda le meurtre. Et, chaque nuit, vers minuit, je tournais le loquet de sa porte, et je l’ouvrais, – oh ! si doucement ! Et alors, quand je l’avais sûrement entrebâillée pour ma tête, j’introduisais une lanterne sourde, bien fermée, bien fermée, ne laissant filtrer aucune lumière ; puis je passais la tête. Oh ! vous auriez ri de voir avec quelle adresse je passais ma tête ! Je la mouvais lentement, – très, très-lentement, – de manière à ne pas troubler le sommeil du vieillard. Il me fallait bien

du document iconographique, vous répondrez d’abord aux questions suivantes : 1. Précisez l’intention argumentative de chacun de ces textes et du document iconographique. 2. En quoi chacun de ces auteurs s’inscrit-il dans le mouvement des Lumières ? 1. Le texte extrait de l’Encyclopédie, du chevalier de Jaucourt, vise à démontrer l’égalité des hommes «  chacun doit estimer et traiter les autres comme autant d’êtres qui lui sont naturellement égaux ». Par contre le document iconographique

appelé cet endroit une pièce, où nous sommes conviés, nous entendons des bruits sourds, une sorte de bombardement il me semble que cette scène fait partie des souvenirs de guerre. En entrant dans la salle nous sentons aussi une odeur qui doit être de l'encens, puis nous nous rendons compte que c'est l'odeur du narguilé que fume le vieux monsieur. La première scène se termine dans un grand fracas avec des éclats de lumière et un grand bruit qui résonne dans toute la pièce, comme un immense tonnerre qui