Lumière Sourde

répliques des personnages : « - Il y a un silence extraordinaire.». Il y a une répétition au niveau des répliques, mais également au niveau des actions : par exemple, ils ouvrent et ferment la fenêtre à plusieurs reprises. De plus, on observe que la lumière finit par s’éteindre, ce qui créé de l’anxiété chez les personnages, avec une opposition obscurité / clarté : « Est-ce qu’il fait très noir dans la chambre ? – Il n’y fait pas très clair. » 2. On rem arque que les personnages sont de plus en plus

Banque de mots pour décrire une image, un paysage Ce que l’on voit : les formes, la lumière, les emplacements, les mouvements La situation du lieu : une maison dans une rue, une cabane au fond d'un jardin, un château en ruine au milieu d'un parc, une grotte dans une falaise, une pièce dans une maison, une clairière dans une forêt... • Son aspect général : une rue longue et étroite, des champs à perte de vue, une grotte profonde, une pièce spacieuse, une forêt dense, un château imposant.

Plans
larges
:
ils
situent
le
contexte,
le
décor
et
l’atmosphère.
 Page 2 sur 7
 Couleurs



 • Camaïeu
gris/
bleu
=
nuit,
nuit
de
la
mémoire,
trouble
intérieur,
tonalité
onirique
....
 • Jaune
ocre
lumineux,
mais
lumière
artificielle,
électrique
‐‐
pour
les
yeux
et
les
dents
des
 chiens,
les
reflets
au
sol
dans
les
flaques
d'eau
=
lumières
meurtrières.
Elles
viennent
des
 chiens,
 des
 fusées
 lumineuses
 embrasées
 lancées
 dans
 le
 ciel.
 Elles
 sont
 annoncées
 par
 les
lettres
du
générique,
couleur
symbole.
 Bande
son




sont perceptibles, y compris en transparence. Après 1979, ses tableaux font beaucoup appel à des reliefs, des entailles, des sillons dans la matière noire qui créent à la fois des jeux de lumière et de... couleurs. Car ce n’est pas la valeur noire elle-même qui est le sujet de son travail, mais bien la lumière qu’elle révèle et organise : il s'agit donc d'atteindre un au-delà du noir, d'où le terme d'outre-noir utilisé pour qualifier ses tableaux depuis la fin des années 1970 ; d'où aussi l'utilisation

salle est remplie d'un grand nombre de chaises, l'Orateur après une longue attente arrive. Les Vieux vont alors décider de se suicider car ils peuvent enfin mourir en paix. Ils sautent par dessus la fenêtre. Cependant, l'Orateur s'avère être muet et sourd et n'est par conséquent pas capable de transmettre le message du Vieux. La pièce décrite de cette façon peut paraître étrange et on voit ainsi le rôle que Ionesco accorde à l'intrigue dans sa pièce: à l'image de la majorité de ses pièces, l'intrigue

comme ils peuvent, tandis que chacun espère une résolution rapide du conflit. 3. Analyse de l’oeuvre : le tableau qui est fait de la situation est complexe, et sont mêlés ici le sentiment d’embourbement dans lequel se trouvent les soldats, la menace sourde de la mort partout présente, et un espoir diffus de voir le bout du tunnel et la fin des combats. Ainsi, l’observateur du dessin est plongé au coeur d’une tranchée de poilus (soldats français) : le point de vue est celui d’un homme assis au fond de

et pour finir, le jaune, beige, presque orange, pour la lumière, le feu, le soleil… Ces teintes sont de plus en plus claires vers le centre, c’est pourquoi il y a comme un esprit sacré, religieux et puis surtout musical. Je m’imagine que le sombre tout autour représente un passage noir, obscur, mais avec quand même un espoir, la lumière du milieu. Le contour doit représenter la nuit où les ténèbres, alors que la lumière, le contraire : le jour, le paradis, la vie… L’organisation

La forêt se garnit peu à peu De bruits éparses et variés, Entraînant avec elle Tout être vivant En mal de méditation. Les écureuils se hâtent De récolter la nourriture Et les hiboux se précipitent Pour retrouver leur domaine. Alors que la lumière devient diffuse, J’entends le jet d’eau De façon plus claire et nette Accompagnant les chants de la nuit. La fraîcheur du vent Ralentit les ébats Et la chaleur du cœur Calme les tourments. -Hélène Roy, poésies givrées L'heure du

l’originalité de cette description à la sensibilité romantique. I/1) une description Il s’agit donc d’une description. Nous avons la présence d’un narrateur qui surplombe le paysage : « la rivière qui coulait à mes pieds ». La mention de la source de lumière introduit le champ lexical de la vision : « le jour bleuâtre et velouté de la lune ». Enfin le personnage-narrateur décrit lui-même ce paysage comme « une scène » et un « tableau ». La vision procède de haut en bas. Il a commencé par décrire le ciel

La Femme Squelette Image de départ. Un corbillard éclairé. Début de l'ambiance sonore macabre. La lumière baisse, on a l'impression que le corbillard flotte dans le brouillard. Dans la pénombre, 2 personnages s'avancent, à peu de distance l'un de l'autre. Une Jeune Fille avec un voile blanc qui lui cache son visage, et un homme vétu d'une large cape avec une capuche. La Jeune Fille serre des fleurs contre son ventre, tétanisée devant l'objet funèbre qu'elle vient de découvrir, elle attend