Luzerne cultivée

plaine, vers Chartres, s’étendait. Sous le ciel vaste, un ciel couvert de la fin d’octobre, dix lieues de cultures étalaient en cette saison les terres nues, jaunes et fortes, des grands carrés de labour, qui alternaient avec les nappes vertes des luzernes et des trèfles ; et cela sans un coteau, sans un arbre, à perte de vue, se confondant, s’abaissant, derrière la ligne d’horizon, nette et ronde comme sur une mer. Du côté de l’ouest, un petit bois bordait seul le ciel d’une bande roussie. Au milieu

1998). On peut d’ailleurs constater une baisse des superficies consacrées au pâturage au profit d’une hausse importante des cultures de céréales telles que le maïs, le blé et l’orge (Rondeau, 1996). Avec une augmentation de 400% en superficie cultivée en vingt ans, de 1971 à 1991, la culture du maïs représente bien le développement démesuré de certaines productions. Cette prédominance des monocultures a créé un milieu propice à la prolifération des insectes nuisibles et des mauvaises herbes

 peut  nourrir  ses  populations  avec  ses  fortes  potentialités  agricoles.    En  effet,  selon  la   FAO  seules  27%  des  superficies  cultivables  sont  effectivement  cultivées  et  sur  un  potentiel  d’irrigation  de   42.5  millions  d’hectares,  à  peine  un  tiers  est  utilisé.     Pour   réaliser   les   6%   de   croissance   agricole   recommandée

elle peint bien les moeurs américaines. «Le pays que j'ai parcouru dans ces quinze milles ressemble beaucoup à la Normandie entre Pont-d'Ouilly et Condé-sur-Noireau; il est très-couvert, très-montueux et coupé de nombreux ruisseaux. Les terres cultivées que l'on y rencontre sont entourées de murs de pierres que l'on a posées les unes sur les autres, ou de palissades de bois. «Le 9 au matin je suis parti de mon gîte pour me rendre à Newport. Le pays m'a paru moins couvert, mais aussi peu cultivé

êtres humains dont je ne sais pas le nom.» (page 302) : «sagittaires» (page 25) - «ajoncs» (page 49) - «chiendent» (pages 49, 293) - «empêtre» (page 321) - «fléole» (page 49) - «frétillaire» (page 373) - «genêts» (page 49) - «grémil» (page 230) - «luzerne» (page 294) - «marrube»  (page 246) - «orobranche» (page 294) - «plantain» (page 302) - «rue puante» (page 302) - «saxifrage ombreuse» (page 207). «L’évolution des espèces» est survolée : «L’homme s’est développé à partir d’un protozoaire. On ne

agricole au Maroc en ce sens que l’insuffisance et la mauvaise répartition des précipitations limitent l’impact des actions visant l’amélioration de celle-ci, en particulier en zones d’agriculture pluviale, qui couvrent l’essentiel des superficies cultivées. 111. Les précipitations sont marquées par une grande variabilité inter-régionale, interannuelle et intra-annuelle. Le Maroc connaît également des sécheresses plus ou moins prolongées et de plus en plus récurrentes, surtout depuis le début des années

organiques) ou de synthèse. activité 4.  La couleur d’un pigment peut être modifiée par la température ou le degré d’hydratation. 5. a.  Le pigment bleu produit dans «  le pays de Cocagne » était l’indigo. Il était extrait d’une plante cultivée dans la région d’Albi, Carcassonne, Toulouse, connue sous le nom de « pastel des teinturiers » ou guède. b.  La production du pastel a décliné avec l’arrivée des premières synthèses chimiques, notamment de l’indigo lui-même. 2. La chimie de

VEGETALE CHOISIR ? Certaines espèces, comme les graminées à enracinement puissant, favorisent la porosité et l'agencement vertical du sol (les racines peuvent s'ancrer jusqu'à 2 m de profondeur). En revanche, dans le cas de légumineuses (trèfle, luzerne…), les racines partent en angle droit (développement horizontal) et engendrent une discontinuité dans le profil du sol : milieu aéré au-dessus et compact en dessous. En outre, les légumineuses sont supports de nématodes. Dans le cas d'infection par

amélioration profite au seul paysan ainsi incité à investir et innover. Jusqu'au XVIIIème, les techniques ancestrales dominent. On pratique l'assolement avec repos triennal : la sole laissée en jachère reste improductive, les deux autres sont cultivées en céréales (l'une en blé, l'autre en orge ou avoine). L'élevage est extensif, peu productif, il utilise les champs communaux. La polyculture vivrière est la règle, elle nourrit, et permet (difficilement) de s'acquitter des redevances dues au propriétaire

chiffonnés. — La veste est chiffonnée. — Les manches sont chiffonnées. — Les populations sont vaccinées. — Yohan est vacciné. — Alizée est vaccinée. — Les nourrissons sont vaccinés. — Le champ sera cultivé. — La région sera cultivée. — Les terrains seront cultivés. — Les friches seront cultivées. 24 Leçon e  Le participe passé employé Page 62 avec l’auxiliaire être Pour l’accord du participe passé employé avec l’auxiliaire être, la notion de nombre est assez facile à apprécier sauf dans certains