Lymphocyte B

transformation blastique des lymphocytes T a été mesuré dans des milieux contenant différentes concentrations de glutathion (GSH) et de diéthylmaléate (DEM). De même, les effets de l’immunosuppresseur Cyclosporine A(CyA) sur l’activation des lymphocytes T ont également été mesurés. Les mesures ont été effectuées par rapport à l’activité métabolique des cellules grâce à un test MTS/PMS et une analyse spectrophotométrique. Les résultats montrent que l’Anti-CD3 est un stimulateur de lymphocyte T plus efficace que

contamination. Ils sont peu spécifiques. B. STADE ASYMPTOMATIQUE Il précède l’apparition du stade SIDA et peut durer plusieurs années. À ce stade, la charge virale est détectable, avec des taux variables, les lymphocytes T sont revenus à un taux acceptable. Le système immunitaire contrôle la maladie. Signes cliniques observables (pouvant témoigner d’une évolution) : C. STADE SIDA Il est caractérisé par un déficit immunitaire profond : baisse des lymphocytes T CD4 et montée de la charge virale.

souches de la moelle osseuse qui génèrent un problème au niveau de la différenciation des lymphocytes T et des lymphocytes NK ou une anomalie dans la synthèse de cytokines. Ils sont de ce fait très vulnérables à toute forme d'infection, même aux micro-organismes normalement inoffensifs pour une personne non atteinte par cette déficience. Le risque de développer un cancer est également plus élevé. lymphocytes T: Ils sont responsables de l'immunité cellulaire : les cellules infectées par un virus par

Liquide aqueux, clair et de composition semblable au plasma. Transporte des protéines, des bactéries, des débris cellulaire provenant de tissus endommagés qui vont être ensuite détruits par les ganglions lymphatiques. Transporte surtout des lymphocytes qui peuvent atteindre toutes les parties du corps : défenseurs de l’organisme. Les différents vaisseaux lymphatiques : Les capillaires lymphatiques : Même structure que les capillaires sanguins (une seule couche de cellule). Les vaisseaux lymphatiques :

• • • • • • Propriétés générales des cytokines stimulant inhibition Les cytokines sont synthétisées par une cellule activée et se lient à des récepteurs membranaires spécifiques. inhibition Nécessité d’ contrôle efficace de l’activité b l é é d’un ôl ff d l’ é biologique des cytokines afin de limiter leurs effets dans le temps et dans l espace. l’espace inhibition cytokines inhibition récepteur • Une même cytokine peut être produite par plusieurs types cellulaires • U même

spécificité grâce aux Lymphocytes Ly TISSUS Arrivée du pathogène et contact avec l’immunité innée Ag migre par la lymphe vers organes lymphoïdes secondaires directement ou par le biais de cellules dendritiques ORGANES LYMPHOIDES SECONDAIRES Cellules dendritiques présentent Ag (épitope) aux cellules immunocompétentes = les Lymphocytes T naïfs ORGANES LYMPHOIDES SECONDAIRES Reconnaissance de l'Ag par cellules immunocompétentes = les Ly, Ly T via cellules dendritiques et Ly B directement Reconnaissance

le système immunitaire B- Quel est son rôle ? C-En quoi est-il important au niveau de l’organisme ? II- Qu’est ce que la vaccination ? A- L’origine du vaccin B- Le principe de la vaccination C-Le vaccin antitétanique : un vaccin efficace contre le tétanos III- Les limites de la vaccination A. Le vaccin du VIH - Les caractéristiques du VIH - Les limites B. Le vaccin de la grippe A/ H1N1

L'INFECTION (3) L'ACTIVATION DES CELLULES B ET LES FONCTIONS EFFECTRICES A - RAPPELS SUR L'ARCHITECTURE DES ORGANES LYMPHOÏDES Les organes lymphoïdes périphériques sont des systèmes de percolation qui favorisent les rencontres entre cellules B et T circulantes et les contacts avec des cellules dendritiques et des macrophages. 1 - La rate ? Contient une vaste zone de destruction des globules rouges ? Est irriguée par le sang. Les antigènes et les lymphocytes arrivent par le sang. ? Trois zones dans

un scientifique nommé David Ho a découvert que 1 à 2 % séropositifs n’attrapaient pas le sida. Selon le magazine Sciences, ceux-ci ont dans leurs lymphocytes de petites protéines, les défensives, qui bloquent le virus de l’immunodéficience humaine. Elles empêchent notamment le VIH de se reproduire dans leur système immunitaire à l’aide de la protéine HLA-B (Human Leucocyte Antigen B27). Pour ceux qui veulent prendre un traitement pour prévenir la maladie, il y a le PPE-VIH (prophylaxie post-exposition

prostaglandines) et en molécules effectrices (Complément) du maintien de l’intégrité de l’organisme. Une migration de leucocytes, surtout phagocytaires, essentiellement attirés par chimiotactisme qui permettront l’élimination de l’agent infectieux. B. Le déroulement de la réaction inflammatoire Activité IB : A la découverte des étapes de la RII. TD en tâches complexes. Bilan IB : La RII est présente dès la naissance et est déterminée génétiquement. Mise en route de façon stéréotypée et ne nécessitant