Lyrisme Surrealisme

3 II. La Pléiade 4 III. Le Romantisme 7 IV. Le Parnasse 12 V. La Modernité 14 VI. Le Symbolisme 18 VII. L’Avant-Garde 22 VIII. Le Surréalisme 25 II. LA PLEIADE La Pléiade se développe de 1549 aux années 1570 environ. Les écrivains de la Pléiade veulent retrouver l’inspiration qui a fait la grandeur de la culture antique

figure du vitrier ou du vieux saltimbanque. Buts : défier une tradition poétique, s’attacher au monde sensible le plus modeste, le plus douloureux ou le plus laid, car « tout bruit, tout est plein d’âmes » (V.Hugo) ; rechercher un « lyrisme de la réalité » (Reverdy), se résoudre au Parti pris des choses (Ponge) mais toujours Compte-tenu des mots. - De nouvelles formes d’écriture poétique associées à cette démarche : l’écriture poétique défie les conventions en adoptant

Baudelaire, Madame Bovary de Flaubert). Réalisme : 1830 à 1880 = Courant artistique, littéraire ou culturel (VS Mouvement : groupe de gens autour d’un texte fondateur) Un courant à la différence d’un mouvement n’est pas une « Ecole ». Un mouvement (le surréalisme par exemple) comprend un chef. Ex : Le Romantisme, avec Hugo comme chef. - Déterminer le thème dominant du texte, ce qui fait l’originalité du texte Qu’est ce qui fait sa singularité ? Exemplaire d’une esthétique / Opposé à la mode de son

réel, la vie, les choses, le monde, les expose d’autant plus crûment. Il semble depuis la naissance même de la poésie, naturel d’attribuer à la poésie des pouvoirs magiques et de lui prêter une puissance d’embellissement du réel. Après tout, le lyrisme d’un Orphée n’est-il pas né d’un manque initial que la Beauté a voulu par la suite apaiser et guérir ? Depuis, on s’est faits à l’idée que la poésie avait, pour se faire alchimiste du réel, des moyens et des prétentions que les autres gens n’avaient

l’arrivée du froid, la neige. Il peut évoquer la mort, la perte d’un être cher et le chagrin. J’ai choisi ce thème car les saisons illustrent la nature qui est inspiratrice de sentiments ou d’émotions divers, la nature est d’ailleurs au centre du lyrisme par ses manifestations (orages et intempéries par exemple). Les saisons, couleurs multiples de la saison des vents, nous informent du temps qui passe, des années qui s'écoulent. Certains auteurs sont de la même époque, XIXe et XXe siècle. Il s'agit

DIONYSOS : Dieu du vin et de l’ivresse qui suscitait les excès des Bacchantes, femmes déchaînées et lubriques qui vivaient dans des forêts sauvages. atteindre l’inconnu, créer, provoquer|Poésie sacrée, essentielle, inspirée et magique Orphée et le lyrisme :- thèmes du regret, de l’émoi amoureux, de la joie, de la douleur…- formes : ode, élégie…Apollon et l’élucidation du monde- thèmes de la nature, des apparences trompeuses, du mystère, de la création- formes : langue souvent obscure et mystérieuseDionysos

d'abord la découverte du lien naturel qui existe entre le rêve et les manifestations de la poésie, la découverte des engrenages de l'automatisme, le recours aux collages. Dès 1917, il correspondit avec Apollinaire chez qui il trouva la notion de «surréalisme», et, revenu à Paris, il fit au Val-de-Grâce la connaissance d'Aragon, qui fut longtemps son presque double, et, simultanément, de Soupault, que lui présenta Apollinaire. «Les trois mousquetaires», comme les appelait Valéry, auxquels se joignit

poème Oh ! je fus comme fou du livre IV des Contemplations de Victor Hugo. En effet, on remarque que le champ lexical de la souffrance ainsi que celui de l’horreur sont très présents. Cela montre que le registre de ce poème est bien lyrique. Mais le lyrisme n’est pas que dans l’émotion. Dans le texte on remarque particulièrement « Tout ce que j’éprouvais, l’avez-vous éprouvé ? ». Hugo s’adresse directement au lecteur et veut que celui-ci comprenne ce qu’il ressent. Il rapproche le lecteur de lui-même

Y. Bonnefoy a développé parallèlement à son oe poétique une réflexion sur la poésie conduite notamment dans les cours donnés au Collège de France et dont témoignent les textes réunis dans ses Entretiens sur la poésie. S’est détaché très tôt du surréalisme, « dont l’erreur fut au total de ne pas avoir foi dans les formes simples de la vie, préférant le déploiement de l’imaginaire au resserrement de l’évidence, la roue de paon aux pierres du seuil. » // Tx : ← Dans les années 1960-1980, le

Paul Eluard, Ma Morte Vivante Introduction : Paul Eluard : Poète français, Surréalisme, 20eS Publication de son 1er recueil en 1926 Poème : Recueil Le temps déborde, 1947 «  Ma morte vivante » extrait du recueil Ecrit dans des conditions douleurs -> Mort de sa femme L’immense douleur par l’être aimée -> Ma morte vivante = bel exemple En quoi le poème de Paul Eluard exprime t’il l’horreur de la perte de l’être aimée ? Plan : I. La douleur de la disparition de l’être aimée