Lyrisme Universel

des contraintes formelles. Le poème « La courbe de tes yeux… » est un des plus célèbres d’Eluard, il est dédié à Gala, dont il est éperdument amoureux à cette époque. On y sent à la fois l’influence de la tradition du lyrisme amoureux et du surréalisme. I. ENTRE LYRISME TRADITIONNEL ET SURREALISME. 1. En quoi ce poème est-il lyrique ?  Le poète nous donne accès à son intimité : Pronoms « je » et « tu » + Présent à valeur immédiate.  Evocation du sentiment amoureux et éloge de

l'épanouissement d’une nature vivante reine. L'abord entre la “fée” et l’auteur L'entrelacement du “je” et du “elle
Deux personnage sont présent: “elle” qui deviendra “tu” et le “je” représentant le poète. Puis aussi le “nous” qui symbolise l’amour universel “Quand nous triomphons”. (v.6) L'abord se fait avec une spontanéité totale.L’auteur utilise même le: *tutoiement: manière non civilise qui accentue le cote sauvage de la scène. -L’auteur est d’ailleurs très direct: “Veux-tu t’en venir

associée à la figure d’Orphée. Aux XVII et XVIIIème siècles, la poésie est dite classique, elle est largement codifiée, l’alexandrin devient une obligation. Au XIXème S., le genre poétique cherche à s’émanciper avec le romantisme ou renouant avec le lyrisme, créant un genre tel que le symbolisme, mais aussi exprimant des observations à caractère social. Au XXème S., la poésie se fait novatrice avec la période surréaliste, l’engagement dans des causes à défendre est plus présent, notamment pendant les

Favorisé par : la découverte de l’imprimerie, les récits de voyages des explorateurs, et la redécouverte des auteurs grecs et latins de l’Antiquité. Auteurs d’origines diverses : Thomas More, Erasme, Rabelais, Montaigne… Importance d’une langue universelle de communication : le latin. HUMANISTE  celui qui étudie les Humanités (= la langue et les textes de l’Antiquité greco-latine). => Au XVIème siècle, la connaissance des auteurs grecs et latins est le moyen d’accès indispensable au savoir car

poème revient sur ce qui est fondamental dans la pensée de Victor Hugo. On distingue cinq parties, chacune d’entre elle pourrait porter un nom car chaque partie renvoie à un thème particulier, la première partie correspond à La réconciliation universelle, la deuxième à une réelle harmonie retrouvée, enfin la troisième renvoie à la question de dieu essentiellement, puis les deux dernières parties s’attardent sur l’avenir, l’espoir. Or, nous ne pouvons pas traiter ce poème en fonction de

pouvoir féminin (pouvoir de vie ou de mort) .Garce au pouvoir de la création et de la transformation poétique le poètes va pouvoir atteindre une nouvelle dimension lui permettent de dépasser sa douleur et sa souffrance afin d’en faire un thème universelle. II Tableau parisien 1) La fonction de la ville C’est un Paris au mois de « juin » (vers 1), un « dimanche » (vers 6) avec « des cafés » (vers 16) et des « cours » (vers 8). Ce sont des lieux propices aux promenades à la « rêverie » (vers 4)

« Lac » une élégie : la douceur du rythme et des sonorités calme la douleur. En poésie le « je » domine. Pourtant, romantisme ne rime pas avec narcissisme. Quand le poète dit « je », il énonce une expérience humaine vraie, à la fois intime et universelle. Ex : Dans « Melancholia » de Hugo, la prière est récitée par les enfants mais écrite par l'auteur. Les deux voies se mêlent. Le poète devient « prophète » au sens étymologique : il parle pour tous. L'engagement pour les autres : Le poète romantique

L'idée que les morts survivent un peu dans l'amour que nous portons pouvait cependant apporter une certaine consolation. En revanche, lorsque le poète envisage sa propre mort, c'est avec l'idée d'un effacement total. Si le problème de la mort est universel, Hugo a tenu a lui donner, par l'emploi du "je", un caractère personnel et un accent poignant. A la joie de l'univers ("soleil joyeux", "au milieu de la tête", "radieux"), s'opposent la tristesse et la sensation de froid (au propre et au figuré)

tonalité et son style, puis comment cette progression en fait un lieu non pas géographique mais symbolique. Intro première partie : Le texte présente clairement une évolution, il débute avec un écriture réaliste, pour peu à peu se plonger dans un lyrisme caractéristique du romantisme. Cette progression se fait d’abord par la présence d’un narrateur de plus en plus subjectif, qui nous fait assister à une renaissance du jardin. Première sous-partie : L’extrait témoigne bien d’une opposition de construction

une chronique au jour le jour où l’expérience autobiographique et l’expression lyrique sont transfigurées par le modèle épique. Comment Rimbaud dissout-il le sujet romantique en le plaçant entre deux postures énonciatives antagonistes ? Comment le lyrisme rimbaldien s’actualise-t-il dans un temps mythique, propre au récit épique ? Après avoir envisagé les fluctuations du sujet dans Une saison en enfer, nous verrons comment se rencontrent lyrique et épique. Enfin, nous tenterons de comprendre le sens