Lys

île. Cette île est paradisiaque par les espèces naturelles qui peuvent y pousser, comme le « lys » qui désigne ici une fleur rare, exotique, et donc fort précieuse et sans doute imaginaire. On distingue de nombreuses références à des pays arabes ou du Moyen-Orient, comme la Turquie ou l’ « Iran ». On trouve aussi des évocations à des plantes de ces pays orientaux, comme par exemples le tuba ou le lys. Mais cette Nature a beaucoup souffert de la guerre. L’île n’est plus qu’un « sombre écueil

maîtres incontestés du roman français dont il a abordé plusieurs genres : le roman historique / politique, avec Les Chouans, le roman philosophique avec le Le Chef-d'œuvre inconnu, le roman fantastique avec La Peau de chagrin, le roman poétique avec Le Lys dans la vallée. Mais ses romans réalistes et psychologiques les plus célèbres comme Le Père Goriot ou Eugénie Grandet, qui constituent une part très importante de son œuvre, ont induit, à tort7, une classification réductrice d'« auteur réaliste»8.

processus * Positionnement professionnel Conclusion Introduction : L’objet de ce travail est de mettre en exergue l’analyse de mes pratiques professionnelles repérées lors de ma période de stage à la mission locale de Tourcoing - Vallée de la Lys. Ce travail est d’autant plus intéressant à observer dans un contexte où les chiffres de l’emploi se dégradent à nouveau en novembre 2011 (+ 28 800 demandeurs d’emploi en France) avec notamment une forte accélération de la demande d’emploi chez les

région Nord - Pas - De – Calais. La commune s’étend sur 6,3 Km² et compte près de 26 000 habitants depuis le dernier recensement de la population. Armentières est entourée par les communes de La Chapelle d’Armentières, Houplines, Erquinghem – Lys et Nieppe. La ville est desservie par la gare routière, par le réseau suburbain Transpole ainsi que par l’autoroute A25 (Lille – Dunkerque). Histoire Au cours du 19ème siècle, la ville devient la capitale du lin et emploie jusqu’à 12 000 ouvriers

comme une créature divine de la nature en utilisant les mots tels que «ta beauté», «ta clarté». Les contemplations Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans.Ton regard dit : Matin, et ton front dit : Printemps.Il semble que ta main porte un lys invisible.Don Juan te voit passer et murmure : Impossible ! Sois belle. Sois bénie, enfant, dans ta beauté.La nature s’égaie à toute ta clarté ;Tu fais une lueur sous les arbres ; la guêpeTouche ta joue en fleur de son aile de crêpe ;La mouche à tes

calme et de richesse qui régnait sur cette île. Elle est paradisiaque avec les arbres symboliques comme le tuba, arbre du paradis mahométan, ou les fleurs qu’elle abrite, ainsi le « lys » qui désigne ici une fleur rare, exotique. On trouve aussi des allusions à des plantes de ces pays orientaux, le tuba ou le lys, par exemple. Mais cette Nature a beaucoup souffert de la guerre : tant la flore, la faune que les habitants de l’île ont été massacrés.  L’île n’est plus qu’un « sombre écueil » sur

histoires romanesques inspirées de faits divers. En effet, la description des personnages et des lieux, contribuant à l'effet de réel, place le lecteur dans une structure spatio-temporelle précise. La fonction symbolique de la description dans le Le lys dans la vallée (1836) d'Honoré de Balzac peint un tableau somptueux du buste de Madame de Mortsauf « la peau satinée éclatait à la lumière » (l.11), « comme un tissu de soie » (l....) à travers Félix, personnage focalisateur. Le schéma narratif structure

phonèmes : « quand je brodais des lys sur une banderole ». Il y a 2 phonèmes qui sont utilisés de manière croisée, le phonème « be » et « de » dans une espèce d’alternance qui rappelle les points de broderie. La broderie des lys évoque le dauphin du vers 4, dans la mesure où le lys était l’emblème de la royauté en France. De sorte que par-delà les effets de rupture temporelle par exemple, on observe une continuité : la danse évoquée au vers 2 et 6, le dauphin au vers 4 et les lys au vers 7. On a encore le

rappelle le « fond de mon cœur/le fond d'un bordel » et qui présente ici le seul espace d'évasion du poète mais qui est une fois de plus au fond, dans les profondeurs. Cet espace d'évasion semble donc illusoire. La strophe se conclut par « un doux lys d'argent, la fleur du poète », la jeune fille n'est donc qu'un objet, objet du poète. Ce premier mouvement introduit donc un passage introspectif et en présente les enjeux. Le poète renverse également les lieux communs de la rencontre en opposant le

Le jardin d'antan Rien n'est plus doux aussi que de s'en revenir Comme après de longs ans d'absence, Que de s'en revenir Par le chemin du souvenir Fleuri de lys d'innocence Au jardin de l'Enfance. Au jardin clos, scellé, dans le jardin muet D'où s'enfuirent les gaîtés franches, Notre jardin muet, Et la danse du menuet Qu'autrefois menaient sous branches Nos soeurs en robes blanches. Aux soirs d'Avrils anciens, jetant des cris joyeux Entremêlés de ritournelles, Avec des lieds joyeux