Lysis Platon

Dissertation 1 Le malheur est-il injuste ? Le malheur est l’opposé du bonheur. C’est une perte d’intégrité comme par exemple à cause d’un accident ou d’une maladie grave provoquant une perte d’un membre ou une perte de mobilité. Le malheur c’est aussi une perte de bien-être. Le stress, les problèmes économiques et le manque matériel due à la guerre ou au chômage provoque la perte de bien-être. L’injustice est une inégalité ou une différence entre de personnes qui n‘a pas lieu d’être. La justice

son réels, je suis donc bien amoureuse de lui et c'est une vérité, mais lorsque le temps passe il se peut que mes sentiments disparaissent, et je ne l'aimerai donc plus. Donc la vérité n'est pas absolu et définitif puisqu'elle varie avec le temps. Platon cite « Chacun de nous est la mesure de toutes choses, de celles qui sont comme de celles qui ne sont pas ». La vérité dépend donc aussi des personnes, d'où la célèbre expression « A chacun sa vérité ». La vérité dans ce cas est une sorte d'interprétation

et véritable essence, il ne l’attacherait pas à la condition des coutumes de cette contrée ou de celle-là : ce ne serait pas de la fantaisie des Perses ou des Indes que la vertu prendrait sa forme ». D’où la contradiction fondamentale que formule Platon : le sage doit à la fois réfléchir à l’idéal de la justice parfaite et obéir aux lois d’Athènes ou aux conventions du pays dont il est le citoyen. b. Preuve par la négative : transgression et tragédie, Œdipe et Antigone. Le héros tragique franchit

-I-Une scène d'exposition déroutante... 1°: Personnages: presque rien, noms, pas d'age, ils attendent « Godot »f « Godot » (titre) Mi-dieu mi-clodot « on portait beau alors » ligne 5 E+V n'ont pas toujours été clochards;ok mais quel est l'intérêt pour ton analyse? On ns donne qq infos sur les personnages.. « Gogo... » ligne 67 (Godot) réaction immédiate de Estr « Quoi? » ligne l.68 qui traduit son impatience de l'arrivée de Godot. 2°: Cadre... « Près d'un arbre » « dans un lieu

Hume nous expose l’idée de l’existence de Dieu. Son existence pose plusieurs questions, comment dire que Dieu existe ? A quoi ressemble-t-il ? En effet penser que Dieu existe, c’est penser que le monde a un sens et que les êtres vivants ont une fonction. Donc pourquoi avoir cette présence d’être humain ayant un début et une fin dans le monde ? Est-ce logique de dire que c’est Dieu ? L’enjeu est important sur ce sujet. Comment savoir si Dieu existe ? Alors comment explique-t-on notre existence ?

penser par lui-même) et, par conséquent, de devenir autonome et responsable. I) La voix de la conscience. 1) Le démon de Socrate (à travers Platon). « Connais-toi toi-même ». Le terme démon vient du grec daimôn qui signifie esprit donc une sorte d’ange-gardien. La philosophie nous demande de faire l’effort de nous connaitre nous-mêmes (PLATON). Elle présuppose donc que l’être humain est capable d’acquérir une certaine conscience de lui-même. Il a donc un rapport entre la connaissance de

s’agit d’Augustin, Alain, Kant et puis Reboul lui-même. Commençons par Saint Augustin. I.1. L’éducation chez Saint Augustin. Saint Augustin développe sa pensée éducative dans Le Maître. Cet ouvrage s’inscrit dans une tradition humaniste qui va de Platon jusqu’à Marie de Montessori, en passant par Port-Royal10. Notre auteur y fait entrevoir que la communication enseignante n’a aucun lien avec un quelconque transfert d’informations, moins encore un remplissage de connaissance11. Pour lui en effet,

                                                                         Oscar Wilde   Si le mot « utopie » apparaît pour la première fois en 1516 sous la plume de l’Anglais Thomas More (1478-1535) — qui voulait ainsi désigner son île imaginaire —, la construction par Platon (~428-~348) d’un modèle de cité idéale dans La République témoigne que le rêve et le plan d’une société meilleure ont, en quelque sorte, toujours existé.  Le dictionnaire Le Petit Robert définit en ces termes l’utopie : « pays imaginaire où un gouvernement

Grèce antique La peinture compte 58 personnages Platon et Aristote sont au centre et au point de fuite de la peinture. Ils portent la toge romaine et ont une attitude majestueuse. Platon tient à la main un des ses Dialogues, le Timée, tandis qu'Aristote à son Ethique à la main Platon idéaliste tend la main vers le ciel, le monde des idées Aristote empiriste désigne la terre Xénophon (en bleu) discute avec Socrate, le maître de Platon ;Euclide Socrate conversant avec des jeunes gens

sorte serait en quelque sorte faire abstraction des constats rendus par l’expérience vécue et le passé. Il semble difficile pour l’homme de penser sans préjugés si l’on s’appuie sur l’allégorie de la caverne mise en perspective par Platon. Dans cette optique, Platon montre que chaque individu fait partie d’un monde sensible où la doxa exerce une influence quasi incoercible sur les hommes dans la mesure où personne n’échappe au poids de l’éducation, aux habitudes courantes de penser, bref la culture