Lysis Platon

ENTURE AMBIGUË (l'). Roman de Cheikh Hamidou Kane (Sénégal, né en 1928), publié à Paris chez Julliard en 1961. "De manière significative, L'aventure ambiguë, histoire d'un itinéraire spirituel, porte en sous-titre récit. Ce qui frappe en effet le lecteur de ce livre, c'est le classicisme dû autant à la retenue du ton qu'à la portée universelle de la réflexion philosophique. Sans doute l'auteur oppose-t-il à la pensée technique de l'Occident, essentiellement tournée vers l'action, la pensée de

démocratie ? ≥> La première démocratie… « S’il faut délibérer sur le gouvernement de la Cité, alors chacun se lève pour donner son avis : charpentier, forgeron, cordonnier, marchand ou armateur, riche ou pauvre, noble ou roturier, indifféremment. » Platon (428-vers 348-347 av. J.-C.), Protagoras. La démocratie couronnant le peuple (Stèle de marbre portant le décret contre la tyrannie, 336 av. J.-C., Musée de l’Agora, Athènes.) 10 « Ô Demos [le peuple], tu possèdes en vérité un splendide

condamnation, il répondit que «depuis longtemps déjà, la Nature l'avait condamné à mort, ainsi que ses juges». Cependant, sauvé par Périclès[6], qui était son disciple, il paya une amende et dut s'exiler. Protagoras d'Abdère, illustre sophiste[7] contre qui Platon écrivit un dialogue (Protagoras), fut accusé à son tour d'impiété et chassé d'Athènes pour avoir dit que «des dieux, je ne peux savoir ni s'ils existent, ni s'ils n'existent pas, ni quel pourrait bien être leur aspect», et pour avoir écrit cette formule

l’a prise ».Dans quel mesure l’acquisition où la récupération de la parole révèle-t-elle la revendication légitime et nécessaire pour laquelle n’hésite pas à se mobiliser ? Afin d’analyser ces questions, on utilise les œuvres du programme Phèdre de Platon et « Les fausses confidences » de Marivaux. Certes, l’homme s’est battu pour « prendre » la parole, il n’a pas attendu qu’elle lui soit offerte. Cependant, l’homme ne tarde pas à la perdre constamment. Tout compte fait, l’homme poursuivra sa quête

Dans nos sociétés actuelles, l'argent est devenu quelque chose d'essentielle, qui nous permet de vivre et répondre à nos besoins et nos désirs. A tel point qu'aujourd'hui il est associé à la notion de bonheur. L'ancienne citation, « l'argent ne fait pas le bonheur » est maintenant suivie de « mais il y contribue ». Ce changement peut ainsi nous amenés à nos poser la question suivant : Le bonheur dépend-t-il de l'argent ? Afin d'y répondre nous nous interrogerons dans une première partie sur le rôle

LA CODIFICATION. Sujet : Les objectifs de la codification. Depuis une dizaine d'années, la loi connait une crise qui semble difficile à gérer. L'on peut en effet parler aujourd'hui d'inflation des règles de droit, elles ne présentent plus aujourd'hui les caractéristiques qui sont censées être le fondement même de leur existence. Les lois se veulent abstraite et générale, permanentes mais elles sont aujourd’hui trop nombreuses et souvent mal rédigées ou inapplicables. Plusieurs tentatives sont

capitaux et à la croissance des inégalités sociales entre ces marchands. Cf Braudel et le commerce au noir. => crise politique, sociale, morale et intellectuelle. LE débat politique et économique va s'organiser autout de Platon (428 avt J-C) et d'Aristote. → Platon dit : pas d'argent, les biens pour tous. (sauf esclaves et femmes) Aristote (384 avant J-C) Pour lui 'H est un animal politique : être social destiné à vivre en communauté dans la cité. - Economique : gestion du foyer

Utopia est vraiment splendide, je n’ai jamais rien vu de tel. Elle égale la perfection sur bien des domaines. Construite principalement en briques et en bois, elle s’étend sur plus de 5000 m² où règne le bonheur pour un total de cent mille âmes. Le système politique est le même depuis des temps immémoriaux. Un conseil d'administration formé d’un président et de dix ministres subalternes est en charge de la politique intérieure pour un an. En effet, tout les 11 aout, en hommage au créateur

ne peut être prouvé. (ex: on ne peut prouver ou refuter l'existence de Dieu) C'est donc le savoir qui délimite le domaine de la croyance, donc de la religion, mais elle ne s'y oppose pas. ** Références : Kant, critique de la raison pure Platon, Ménon Platon, La République (fin du livre VI et début du livre VII, Le soleil la ligne la caverne, pour bien situer la croyance ou conviction) Brochard, De l'erreur, pages 104 et 151. Alain, Définitions, 72 Positivisme

notion d'informe relèverait donc plus d'une dégradation de la forme, sa déformation, ou sa transformation plutôt que son absence pure et simple. La matière n'est pas la forme, elle est corrélée à une forme, elle est le « réceptacle de toute forme » (Platon, Timée), le non-encore informé. S'il n'y a pas de matière sans forme, la matière peut néanmoins prendre n'importe quelle forme. Elle n'a jamais une forme fixe et déterminé. C'est le cas par exemple du morceau de cire : il n'a pas une forme fixe, mais