Lésion Droit

Le cerveau et la pensée sont souvent liés, que ce soit par les scientifiques ou bien par l'opinion commune. Cependant diverses expériences et analyses ont pu démontrer que la pensée n'est pas produite par le cerveau. Certaines blessures, lésions cérébrales peuvent perturber la pensée, le cerveau est donc nécessaire à un homme pour qu'il puisse penser. Le cerveau est défini comme le sièges de toutes émotions, sentiments que nous pouvons éprouver. La pensée, elle, est plus difficile a définir. Descartes

Epilepsie: Le terme médical épilepsie est défini par l'Office Québécois de la Langue Française comme une "maladie nerveuse chronique caractérisée par de brusques attaques convulsives avec perte de connaissance." Lésion cérébrale: L'Institut Philippe Pinel de Montréal en 1991 définit la lésion cérébrale comme étant "tout dommage au tissu cérébral causé par une maladie ou un traumatisme.". (Recueilli sur le site de l'Office Québécois de la Langue Française) Sommaire: Introduction

2008 Plan 1. La lésion cérébrale acquise, le parcours du blessé 2. La notion de handicap 3. L’accompagnement médico-social Contexte politique : un problème de santé publique Loi du 11 février 2005 Le réseau médico-social L’Equipe Mobile, les missions du psychologue neuropsychologue L’intérêt du bilan neuropsychologique Les troubles neuropsychologiques, comportementaux et psychiques à distance de l’accident 4. Etude de cas 1. La lésion cérébrale acquise La lésion neurologique acquise

un espace homogène est un espace isotrope. Dans l’isotropie chaque point de l’espace est équivalent aux autres points, aucune orientation n’est négligée. La distance entre deux points situés à gauche est égale à la distance de deux points situés a droite. Piaget un psychologue, biologiste, logicien et épistémologue suisse connu pour ses travaux en psychologie du développement et en épistémologie avec ce qu'il a appelé l'épistémologie génétique a, en 1961, travaillé sur les mécanismes perceptifs

La neuropsychologie est une discipline scientifique de la psychologie cognitive qui étudie les fonctions mentales supérieures dans leurs rapports avec les structures cérébrales au moyen d'observations menées auprès de patients présentant des lésions cérébrales accidentelles, congénitales ou chirurgicales, et tout cela grâce à des applications médicales. Discipline neuroscientifique Discipline carrefour née principalement de l'interaction entre neurologie et psychologie, la neuropsychologie profite

dominant se développe : l’associationnisme, dû en partie à Carle Wernicke & Ludwige Lichtheim. En 1874, Wernicke décrit un patient présentant que des troubles de la compréhension du langage ainsi que des lésions temporale. Il en déduit qu’il existe plusieurs centres du langage & décrit aussi l’aphasie de conduction. Les théories associationistes décrivent

reconnaître ce qui est vu (gnosie = connaissance, agnosie= ignorance). L'acuité visuelle est normale : l'information visuelle a été bien reçue, mais l'information visuelle n'a pas été comprise. Lorsqu’une agnosie touche une seul hémichamp visuel (droite ougauche), il s’agit d’une hémi-agnosie. On distingue plusieurs types d'agnosies visuelles : TROUBLE RECONNAISSANCE OBJET : - Agnosie aperceptive: le patient ne copie pas correctement un dessin - Agnosie des formes :Incapacité à discriminer des figures

est une femme âgée de 43 ans. Elle est droitière, son oeil directeur est l'oeil droit, elle a une acuité visuelle normale. Elle dit se cogner parfois dans des objets et avoir de la difficulté à réaliser certains mouvements. A table on lui fait remarquer qu'elle ne mange qu'une partie de ce qui est dans son assiette Cette femme ne se maquille pas le côté gauche. Quand elle écrit, elle entasse les lignes dans le côté droit de la page. Par ailleurs, elle ne cherche pas l'information située sur sa gauche

résulte de lésions cérébrales précoces (de la conception à deux ans selon G. Tardieu), non héréditaires, stabilisées (non évolutives), responsables de déficiences motrices exclusives ou prédominantes. Le handicap moteur séquellaire associe à des degrés variables des troubles de la posture et du mouvement. Des troubles spécifiques des fonctions supérieures peuvent s'y associer. QU'EST CE QUE l'infirmité MOTRICE CÉRÉBRAL ?  L'infirmité motrice cérébrale (IMC) est liée à une lésion du cerveau

neurologiques dramatiques. Excédés par les pleurs ou fatigués, des parents ou des baby-sitters craquent nerveusement et agitent trop violemment l'enfant. Secoué, le cerveau va alors s'écraser contre la boite crânienne, créant des hémorragies, des lésions importantes aux tissus et un gonflement du cerveau. Loin d'être anodins, ces gestes peuvent conduire aux pires extrémités : perte de la vue, paralysie et autres formes d’invalidité, crises d’épilepsie, troubles mentaux… et parfois, la mort, dans 10%