Mac Miller

s’agit de la crise du 16 mai 1877 résultant d’une lutte entre les républicains menés par Léon Gambetta et les conservateurs menés par Mac-Mahon élu président de la République en 1873. L’interprétation des lois constitutionnelles de 1875 est la véritable cause de cette crise. Ces trois lois résultent d’un compromis entre les monarchistes et les républicains. Cependant Mac-Mahon décide d’en faire une interprétation dualiste en se croyant investi d'une responsabilité spéciale devant la Nation qui fait

gouvernement de transition, loin d’être républicain, mais, en quoi ce régime n’était-il pas républicain de 1870 à 1879? Pour répondre à cette question, je suis allé consulter des biographies des deux chefs d’État de l’époque, deux royalistes, Thiers et Mac-Mahon, puis je suis aussi allé consulter des livres parlant de cette période, en plus de sources parlant du Comte de Chambord, un personnage influent à l’époque, qui prétendait au trône de France. Finalement, j’ai aussi cherché dans les archives parlementaires

la République, proposition qui recueille elle aussi la majorité. Il est aussitôt procédé à l’élection par l’AN d’un nouveau président, le Maréchal de Mac-Mahon, qui est non seulement conservateur, mais de surcroît, monarchiste. Le 30 novembre 1873 est adoptée la loi sur le septennat : « Le pouvoir exécutif est confié pour sept ans au Maréchal de Mac-Mahon, à partir de la promulgation de la présente loi ; ce pouvoir continuera d’être exercé avec le titre de président de la République et dans les conditions

conservatrice. Après la mort de Napoléon III en janvier 1873, les bonapartistes s'allient aux royalistes pour préserver les chances du prince impérial. Thiers démissionne en mai. Il est alors remplacé par le Maréchal de Mac Mahon, élu par 390 voix. Sous sa présidence d'obédience orléaniste, Mac Mahon, dont l'ambition politique semble se limiter au retour du roi, laisse la tâche de gouverner au duc de Broglie, qui entreprend une politique très conservatrice de retour à l'Ordre moral. Le duc de Broglie

est le gouvernement légal du pays. » Les droites s’unissent autour d’Albert de Broglie contre Thiers et le 24 mai 1873 une interpellation est adoptée par 360 voix contre 344. Thiers démissionne. La majorité royaliste le remplace par le Maréchal de Mac-Mahon, désigné par 390 voix sur 721 présents, compte tenu de l’abstention de toute la gauche ; il s’agit de préparer le rétablissement de la monarchie. Le Comte de Chambord, petit-fils de Charles X, qui aurait pu régner sous le nom d’Henri V, refuse

le drapeau tricolore. 24 mai 1873, Assemblée élit le maréchal de Mac Mahon, royaliste, au fil du temps on s’aperçoit que la majorité du 8 février 71 est artificiel, car favorable aux républicains désormais et pas aux royalistes. Alors les deux comtes se rencontrent pour assurer la monarchie et parviennent à un accord. La loi du septennat 1873 repose sur l’idée que d’ici 7 ans le conte de Chambord aura obtenu son âge de mourir et Mac Mahon pourra favoriser le retour à la monarchie. Le président

usage robuste mais délicat. Un écrivain de valeur pure, comme je voudrais l’avoir été, un écrivain peu intellectuel, mais en prise directe avec le mot humain : l’œuvre entière de Bernard Clavel est une victoire de la paysannerie lettrée. » Pierre Mac Orlan « Hugo, Giono : tels sont les deux repères, si l’on veut situer Clavel. » François Nourissier, de l’académie Goncourt « Dans la belle langue simple et dure qui est la sienne, Clavel ne ménage personne. Parce qu’il respecte ses personnages

tandis que le roi de Prusse proclame l’Empire allemand à Versailles (dans la Galerie des glaces) où il réside. Il conclut le traité de Francfort avec Bismarck en 1871. Il est élu 1er president de la 3e république de 1871 à 1873. Patrice de Mac Mahon, comte de Mac Mahon, duc de Magenta, est né le 13 juillet 1808 au château de Sully (Saône-et-Loire) près d'Autun, et mort le 17 octobre 1893 au château de la Forêt, à Montcresson (Loiret). En 1820, il entre au Petit Séminaire des Marbres à Autun. Il achève

Broglie Loi du 13 mars 1873 procédure complexe destinée à canaliser les interventions de Thiers devant l’assemblée ; l’Assemblée loyaliste cherche à contrôler THIERS Le 24 mai 1873, THIERS est renversé par l’Assemblée qui choisira le maréchal de Mac Mahon comme nouveau président de la République Para 3.La loi du septennat Loi du 20 novembre 1873 qui prévoit que le pouvoir du président de la république sera de 7 ans .Le titre de Président est attaché à la personne et non à la fonction ;

démission de ce dernier de la présidence de la République, suite à une déstabilisation stratégique des royalistes, le Maréchal de Mac Mahon est élu Président de la République par l’assemblée. Dans un premier temps, la fonction présidentielle est consolidée notamment avec la loi du 20 novembre 1873, qui prévoit que le pouvoir exécutif est confié pour sept ans au Maréchal de Mac Mahon, ce qui a pour suite de rendre le chef de l’Etat politiquement irresponsable devant l’assemblée. La durée de ce mandat convient