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s’exprimer librement à l’assemblée nationale. Tiers va rester président de la république jusqu’au 24 Mai 1873 ou il sera renversé. C’est le début d’une étape supplémentaire. 1- L’élection de Mac Mahon et la loi sur le septennat. La majorité monarchiste élit comme président de la république le maréchal de Mac Mahon. Mac Mahon est un monarchiste légitimiste. On est toujours dans le provisoire donc le titre de président n’a pas pour vocation de se transmettre à un successeur. Il n’y a toujours pas de constitution

1871, par la capitulation de Louis-Napoléon Bonaparte et la signature de l’armistice peu de temps après, l’invasion prussienne est stoppée et Adolphe Thiers est nommé par les Assemblées alors réunies. Succède ensuite à cet homme le maréchal Patrice de Mac Mahon en 1875 pour 7 ans ; il s’agit d’un septennat personnel à l’initiative des monarchistes, en attendant la mort du comte de Chambord, légitime héritier du trône français mais impossible à hisser au pouvoir. La promulgation des 3 lois constitutionnelles

ce siège, les adversaires s’affrontèrent dans les batailles de Balaklava - 25 octobre - et d’Inkerman - 5 novembre. Le 8 septembre 1855, la tour Malakoff, position clé de la ville, tombe aux mains des Français, dirigés par le maréchal Patrice de Mac-Mahon, devenu célèbre notamment pour cette victoire au cours de laquelle il prononça son fameux « J’y suis ! J’y reste ! », Entraînant la chute de la ville. Avec l’accession d’Alexandre II les pourparlers de paix commencèrent. Le traité de Paris, signé

une majorité de monarchistes divisés entre légitimistes (parti des Bourbons) et orléanistes (parti d’Orléans). Après l’amendement du député Wallon en 1875, le chef d’Etat prend alors le titre de Président qui sera assuré par Mac-Mahon jusqu’en 1879. Lors de sa démission, Mac-Mahon est remplacé par Jules Grévy, un Républicain. Les années qui suivirent fut marqués par d’importants bouleversements autant économiques que sociales. Sous le ministère de Jules Ferry, la liberté de la presse est reconnue

FICHE DE LECTURE Titre du livre : Les clients du Bon Chien Jaune Auteur : Pierre Mac Orlan Éditeur : Gallimard ; Collection : folio junior date d’édition : 2008 mais la première édition date de 1926; Nombre de pages : 138 L’auteur : Pierre Mac Orlan est née à Péronne en 1882 et il est mort à Saint-Cyr-sur-Morin en 1970 .Il est écrivain français .Il débuta par l'écriture de contes humoristiques, après avoir en vain tenté une carrière dans la peinture. Après la Première Guerre mondiale

de la chambre et donc doivent en choisir un autres mais les monarchistes sont diviser : - Les légitimistes sont partisants du comte de Chambord - les orléanistes sont partisant du cmtes de Paris Le pouvoir éxécutif est alors attribuer au général Mac Mahon pendant une periode transitoire de 7 ans ( le comte de Chambord étant vieux et sans héritier il sera décéder ). Les monarchiste ne parviendrons jamais a restaurer la monarchie. Le titre de Mc Mahon lui est confier par la loi de 1873 dit la loi

profil et la personnalité de l’aventurier. Le Roman d’Enéas met en avant l’aventurier au temps du Moyen-âge. Jean Mabire rappelle dans son entretien qu’il y a une distinction entre aventurier de l’action et aventurier de rêve. Au contraire, Pierre Mac Orlan met l’accent sur le paradoxe de l’aventurier c’est-à-dire qu’il n’existe pas et n’est que le fruit de l’imagination de la société bourgeoise même si ses actes sont cruels, nihilistes, cyniques voire même cupides. Jules Verne, dans le tour du monde

qui ne peut, dans les faits, durer : la IIIème république doit trouver sa majorité : A. La crise du 16 mai 1877 : La crise dite du 16 mai 1877 est une crise institutionnelle qui a opposé le Président de la République, Monarchiste, Patrice de Mac Mahon, à la chambre des députés élue en 1876, c’est-à-dire une moitié du parlement, à majorité républicaine. Si elle s’étend sur en fait plusieurs années, la date du 16 mai est la date à laquelle le président nomma à la tête du gouvernement une personnalité

m’endormais bercé par la haute musique de la mer bretonne. Certaines nuits cela miaulait si fort que mon père prêtait l’oreille : « Ecoute, écoute, Louis-Marie, Ecoute-les. Ils se plaignent, ils gémissent. Ils veulent quelque chose, mais quoi ? ». Pierre Mac Orlan, Les Clients du bon chien jaune, 1946. TEXTE 3 : Quant à D’Artagnan, il se trouva lancé contre Jussac lui même. Le cœur du jeune gascon battait à lui briser la poitrine, non pas de peur, Dieu merci ! l n’en avait pas l’ombre, mais d’émulation ;

assurer un minimum de continuité II. La séparation des pouvoirs n’assure pas a elle-même l’équilibre des pouvoirs A. La nécessité d’une influence équivalente des pouvoirs - La IIIème république : L’apogée du régime d’assemblée - Le maréchal Mac Mahon voulait un gouvernement n’est pas forcément les vœux de l’assemblée le gouvernement est renversés, et l’assemblée est dissoute. - 1879 : Election de Jules Grévy (Le président de la république renonce à son droit de dissolution). Le régime devient