Macabre

Rimbaud. Derrière ce poème se murmure un cri de révolte contre l'horreur de la guerre , l'assassinat des jeunes soldats, le massacre de toute une jeunesse. Une lente approche dans un vallon ensoleillé conduit peu à peu le lecteur devant une découverte macabre qu'on assimilerait à un sommeil paisible. Une nature animée omniprésente C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse

chasseur arrive à temps pour découper le loup ; celle de la version italienne “La finta nonna“, où le petit Chaperon rouge demande au loup d’aller se soulager à l’extérieur et en profite pour fuir. Toutefois, Charles Perrault évite d’être dans le macabre. En effet, dans certaines versions plus anciennes, le loup prévoyait de faire manger un repas à la jeune fille avec des morceaux de sa grand- mère. D’autre part, la version de Perrault se termine avec une morale qui enseigne aux jeunes filles à se

« a tuée » est assez réaliste et l’effet de brutalité est renforcé par l’allitération en « t » (« t’a tuée »). Cependant, le deuxième hémistiche vient atténuer cet effet. On remarque d’abord la référence à la Parque, personnage mythologique moins macabre que certaines représentations de la mort comme le squelette à la faux du Moyen-Âge. Les trois parques, semblables aux Moires grecques, filaient, dévidaient et coupaient le fil de la vie des hommes. On remarque ici encore la rime batelée, « tuée »

exceptionnelle de l'homme et du monde. L'auteur a écrit une parfaite caricature de notre monde gangréné par une violence naturelle dirigée contre les faibles et soi-même. Vian, à travers ce roman, séduit, fascine, fait rire malgré un cynisme macabre. Un livre à recommander à tous ceux qui n'ont pas peur de la honte.

personnage, comme s’il avait dressé le portrait d’une personne en face de lui ou bien connue. Son personnage est comparé à une toile de Rembrandt, rejoignant ici Proust sur sa définition de la vieillesse. C’est un portrait qui impressionne par côté macabre, sortant le personnage de la réalité de son détail pour lui donner une dimension funèbre. Hugo pour sa part se contente de nous faire sentir l’aura du personnage. Son visage n’est décrit que par la présence d’un sourire qu’il veut mystérieux,

le judaisme et le christiannnisme. Il évoque une fascination pour le christianisme qui remonte sans doute à son passé d’enfant juif. II.Christian Boltanski son oeuvre 3.Il commence à peindre en 1958 des scènes d'histoire ou des personnages macabres. Boltanski s'éloigne de la peinture à partir de 1967 et expérimente l'écriture, par des lettres ou des dossiers qu'il envoie à des personnalités artistiques.Après avoir travaillé sur l'autobiographies :" il se débarrasse de son propre personnage

en évitant le tribunal. Dans les limite éthique réside aussi dans la déshumanisation et la souffrance. En effet Pierre DESPROGES ne rie pas de ces proches qui souffre ainsi que la foie en dieu. Cependant les nazis se servent de la mise en scène macabre comique pour déshumanisé et faire souffrir les déportés . Comme nous le constatons dans l’article de Sylvie CASTER la limite et aussi le sacré que la souffrance . En effet le père de l’enfant Trisomique n’a pas supporté qu’un humoriste blague sur

trois personnages qui jouent au cartes assis autour d'un table. Les journaux derrière eux sont allemands ( référence à la guerre 14-18). ~ L'atmophère de la scène : De morts-vivants : une tête de mort sur l'ampoule qui les éclaire ; une danse macabre sur une des prothèses. Les regards des 3 personnages sont vides. ~ La représentation des corps - description des 3 personnages : – à gauche : main en bois, jambe de bois, tuyau oreille... – au centre : 2 jambes de bois, prothèse de crâne et machoir

A l’instar du poème de Rimbaud Le Dormeur du Val (où le lecteur croit que le le poème d’Abel Meeropol est un texte qu’il faut savoir décoder. Evoquant une promenadu sud des Etats Unis, le poète oduisant des détails macabres. A) L’évocation du « vaillant Sud » -Les termes faisant référence aux états du sud du pays sont nombreux : « southern » (du sud) ouvre lenis, ceux où les lynchages étaient les plus répandus. -Le champ lexical de la nature apparaît à travers tout le poème

Oxymore = carcasse/ : renforce l’idée de l’horreur dans toute sa splendeur. → Comparaison = /fleur : Antithèse qui démontre que l’on peut extraire la beauté du mal.Dans ce mouvement, Baudelaire opère une sorte de gradation dans l’horreur et le macabre.