Macabre

quatre pièces poétiques, tous nommés « Spleen », sera à étudier avec soin pour comprendre l’écriture baudelairienne.   Le poème qui nous est ici donné à analyser, le quatrième et sûrement le plus célèbre de ces « Spleen », nous marque par le tableau macabre et par la série de comparaisons et d’allégories extrêmement efficaces qu’il propose. L’Idéal, le pendant positif du Spleen, aurait-il été ici vaincu tel l’Espoir du dernier vers ? Le Spleen régnerait-il donc enfin exclusivement sur le poète ? Ces

la poésie dans ce texte en prose Question de supplice romantisme frénétique, noirMélange macabre et désir, érotisme et fantastique romantisme gothique Macabre= fille pendue mais belle= érotisme Allusion au rêve= vaguement fantastique « Un rêve » vrai titre qui lève indétermination Romantisme frénétique= émotions incandescentes, joie, peur, désir, statut incertain du fantastique, macabre, mélange de macabre et érotisme Balzac né dans la bonne bourgeoisie de Tour, rue nationale, devait faire étude

ruelle, marché, Gènes Cadre temporel : en ce jour, le soleil d midi, l'air du matin, quatre ans + tôt Personnages : les femmes et les jeunes du quartiers, pêcheurs, foule, poissonier, Salvator Piracci (commandant, ne travail pas, solitude, idée macabre du marché, habitué de ce dernier, se sent épié, surpris, reconnu par son grade, seul,  fils de personne Début de l'intrigue : « sentit pour la première fois sa présence », « il en était certain », « avait la conviction qu'on l'épiait », « fixait

politiques et les religieux placent la guerre dans la logique dune intention divine elle est donc légitimée au nom de Dieu. Tableau horrible de la guerre : exagération macabre, la loi légitime ces meurtres. Détails atroces. Il y a déshumanisation de l'H par la guerre par le fait qu'il soit en petits morceaux. Au milieu de ces détails macabres on a un euphémisme comique « assouvir ses besoins naturels » Le viol est aussi légitimé. « le héros » = antiphrase, ce n'est pas héroïque de violer une femme. Parallélisme

c’est une thème cher à Ronsard. II- Un éloge funèbre et un hommage amoureux. a) Un chant macabre, une éloge discrète. Le thème élégiaque est représenté par l’emploie du pronom personnel sujet « je ». Le lyrisme est présent entre le « je » et le « tu ». Il y a une dialogue entre une interlocutrice et le poète « Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs » (vers 12). Face à un chant macabre et une registre élégiaque comme en témoigne le rythme du poème «Languissante elle meurt feuille à

une promenade en amoureux et une découverte macabre« rappelez vous »→ présent de l’impératif→ appel à un souvenir commun, lyrisme appel sans doute à la femme« mon âme » → apposition → idée romantique : discussion personnelle, intérieure« si doux »→ hyperbole → on s’attend à lire un poème lyrique traditionnel

Tristesse :  La mélancolie, la tristesse, le désespoir et la détresse sont exprimées par un choix de couleurs, entre autre, avec la dominance du noir tout le long du texte, et qui clôture même ce poème, en un mot final et sombre.  Dans ce tableau macabre, l'auteur évoque plus particulièrement la tristesse, qui est la traduction littérale du mot " Spleen ".  On relèvera des termes, un champ lexical de la tristesse, avec des mots comme " gémir, ennui, triste, affreux, corbillards, pleure ", . 

Le roi sait au moment de l'assassinat que ce geste est inutile et funeste. A la fin de la scène 7, il fait entrer toutes les personnes du palais en pleine lumière. En quoi avons nous à faire ici à un dénouement de tragédie? I. Un spectacle macabre 1. Scène spectaculaire * Esthétique du tableau L'auteur est très attaché à la mise en scène de ce passage: importance des didascalies. * Organisé en 2 temps: -Dialogue encadré par deux discours qui correspondent à l'agonie du roi. Puis

destructeur de la passion amoureuse qui, de la perte de soi, mène jusqu’à l’aliénation totale ? Nous répondrons à cette question en montrant d’abord un retournement de situation, ensuite le dénouement tragique de la pièce, et pour finir la mise en scène macabre de la folie. Tout d’abord, on constate qu'il y a un retournement de situation entre le début et la fin de la pièce. En effet, la première scène commence par l'adverbe "oui" v.1, un adverbe positif. De plus il y a un lexique positif dans

rugueux roulant par blocs, un âpre enfer », « Qu’un vent sinistre arrache à son clairon de fer », etc. Ensuite, nous remarquons que la description de Leconte de Lisle à un caractère dépréciatif et qu’il y a une ambiance assez étrange et macabre dans ce paysage. D’abord, la description du paysage polaire est dépréciative car l’auteur emploie des mots comme « amer », « rugueux », « âpre enfer », « monstrueux ». Cependant, il est difficile de trouver plus de remarques qui peuvent valider