Macbett Tirade

Dialogue Les répliques = paroles prononcées par les personnages Leur volume de répartition indiquent l’importance du personnage (ex : Hélicon dans Caligula) Il existe 3 types -> La tirade : longue, adressée à un ou plusieurs personnages La répartie : réplique brève et cinglante (=qui fouettent) La stichomythie : succession de répliques brèves (d’1 vers ou hémistiche) La double énonciation Un personnage

répliques :  • Réplique : plusieurs personnes conversent. • Stichomythie : échange de répliques courtes. • Monologue : un personnage parle seul sur scène. • Un aparté : il s’exprime sans être entendu des autres personnages. • Une tirade : longue réplique Les didascalie ou indication scéniques :  Indications données par l’auteur en dehors du texte à dire. Elles précisent la liste des personnages, leurs particularités, les indications de lieu, de temps, de jeu.  Au théâtre

(comment… / pourquoi…), puis…, enfin… ? la première partie de notre commentaire montrera, la seconde…, la troisième… ? l’intérêt du texte tient avant tout à… / de plus, il est… développement : énoncer l’idée directrice d’une partie : ? la tirade de… est pour l’auteur l’occasion de faire le portrait d’un… ? dans ce texte, l’auteur se livre à une violente critique de… ? le poète a très souvent recours au registre … pour sensibiliser le lecteur à… ? dans tout le premier paragraphe, l’auteur

spectacle. La première représentation d'une pièce de théâtre s'appelle d'ailleurs une «création», soulignant l'importance de l'incarnation du texte. LES DIFFERENTES REPLIQUES - une tirade est une longue réplique; - une stichomythie, quand des répliques brèves s'enchaînent vers à vers;- un récit est une longue tirade rendant compte d'une action que l'on ne peut représenter sur scène (dans Phèdre de Racine, la mort d'Hippo-lyte est l'objet du récit de Théramène).Les formes qui jouent particulièrement

su inventer des situations originales et exprimer, dans des répliques éblouissantes, la diversité des sentiments humains. De même, on lit avec plaisir et émotion les échanges de Ruy Blas et de Doña Sol dans la pièce de Victor Hugo ou la longue « tirade du nez » de Cyrano dans la pièce d’Edmond Rostand. Et, au-delà de la versification, on savoure à la lecture la subtilité des textes de Marivaux, l’ironie et la satire de Beaumarchais ou les débats désespérés des personnages de Giraudoux pour empêcher

les méduses et les oursins Au sein d'une pièce, certaines tirades se présentent comme des « morceaux de bravoure » à la fois pour l'auteur qui les compose et pour les acteurs qui les interprètent, et sont attendues par le spectateur comme un sommet dramatique du spectacle. Dans le théâtre français, l'on peut citer, parmi d'autres, ces tirades fameuses, passées à la postérité du fait de leur virtuosité toute particulière : La tirade où Phèdre déclare son amour à Hippolyte, à l'acte II, scène

Lâchetés, la Sottise (v.2561, 2562, 2563) → a du se défendre avec son arme contre toutes ces entités car il est laid (sa défaveur envers Roxane) Son plus grand handicap → « mon nez » et en joue, le maltraite oralement, ironise sur ce point (cf la tirade du nez Acte I, scène 4) Termine sur la Sottise → grand mal humain car celle-ci ne voit pas plus loin que le paraître et l’apparence. Tous sont désignés sous le groupe nomina « vieux ennemis » + le pronom « vous » les présente comme un groupe

sur lui-même est très négatif et teinté, une dernière fois, d’une féroce autodérision. - Il a alors tout fait et n’a rien eu, un assortiment d’ironie et de pudeur sur ses souffrances, alternant l’énergie et la mélancolie #8 Scènes comiques : la tirade du nez (Acte I, scènes 4), la première confrontation avec Christian (acte II, scènes 9), la duperie de Roxane envers de Guiche (acte III, scènes 2), la scène du capucin (acte III, scènes 11), le récit des voyages sur la Lune (acte III, scènes 13)

loge grillée (p36) 4 idem Cyrano chasse Montfleury et lance sa bourse pour dédommagement (p47). On apprend page 64 que c’était la pension paternelle du mois. Dispute avec un fâcheux qui proteste (p48/53) Dispute contre Valvert (p53): tirade du nez (p 54/56) Duel : « A la fin de l’envoi, je touche » (p62) Repas de Cyrano Cyrano comédien. Dans le public Les mêmes + Bellerose = comédien de la troupe de l’Hôtel de Bourgogne + Jodelet = acteur de farces Page 47 : la foule

mots seuls peuvent rendre compte du dilemme et du déchirement du héros la passion de Phèdre n'est rien sans les mots « je le vis, je rougis, je palis à sa vue » la puissance verbale de Cyrano ne pourrait se contenter de gestes, d'expression : tirade du nez a tout sa place ds l'œuvre et ne peut être restituer sans le lg vbal = sans les mots, la parole, le théâtre devient du mime B- outil fondamental pour la mise en scène et le jeu, 1-rôle des didascalies : parfois très rares, sommaires