Machiavel Humaniste Le Prince

précédent dans l'histoire littéraire et musicale.Cette forme poétique, toute d'élégance et de raffinement, s'articule essentiellement autour du Joi, de la Fin'amor, de l 'Amour Courtois, autrement dit de la "Cortezia"Le plus souvent châtelain, seigneur, prince, ou même roi, le "poète-trouveur" n'interprète que très rarement ses propres œuvres. C'est au ménestrel, au jongleur, qu'échoit cette tâche. C'est lui qui va transmettre ce répertoire de province en province, de la cour des Grands de ce monde aux

riche et complexe qui résiste à l’interprétation ? I. Une œuvre emblématique de son siècle 1. Dans Gargantua, Rabelais reprend les grands thèmes de son temps qui ont nourri la réflexion de tous les penseurs de la Renaissance, qu’ils soient érudits humanistes, hommes de lettres ou poètes. L’éducation La question de l’éducation est particulièrement développée dans la deuxième partie de Gargantua. Rabelais reprend un grand thème de son temps et le développe selon plusieurs perspectives :   Tout d’abord


  ce 
  fait, 
  s’offre 
  avec 
  facilité 
  aux 
   
  interprétations 
  personnelles, 
  licites1 
  ou 
  abusives. 
   Jusques 
  là, 
  on 
  connaissait 
  les 
  humanistes 
  et 
  le 
  mot 
   
  s’appliquait 
  à 
  un 
  groupe 
  d’hommes 
   précis 
  qui, 
  aux 
  XVe 
  et 
  XVIe 
  siècles 
  s’étaient 
  eux-­‐mêmes 
   
  donné

l’♂ indépendamt d’une réf au divin. On ne pense plus l’♂ comme créature de Dieu. On y retrouve la raison, la conscience, la liberté. Les humanistes disent qu’il faut encourager l’épanouissemt de la nature humaine. Une personne = présence de conscience. Notion de nature humaine implique manière universelle de penser l’♂. Confiance de la nature humaine chez humanistes. Tt ♂ peut devenir humain s’il reçoit une bonne éducation cad s’il est cultivé et a appris les humanités qui st la littérature, les lettres

conception initiale du phénomène étatique telle qu’elle apparait dans un ouvrage fondamental Le prince de Machiavel. Il parait en 1513 à une époque de véritable explosion intellectuelle de l’Occident. Il est le premier à dissocier la politique, la morale et la religion. Cet ouvrage commence par « Tous les Etats qui eurent et ont commandement sur les hommes furent et sont ou République ou principauté. » Machiavel évoque simultanément le pouvoir politique et l’objet de ce pouvoir, ce sur quoi il s’exerce

furent très contestés. Rabelais écrit «Gargantua» en 1534, où il conte les années d’apprentissage et les exploits guerriers du géant Gargantua. Paru la même année et du même auteur, «Pantagruel» raconte l'histoire du fils de gargantua. «Le prince» de Machiavel à été écrit en 1513 et publié en 1532, il expose l'art et la manière de gouverner au moyen d'une politique sachant faire usage aussi bien des lois que de la force et de la ruse. D'Aubigné publie en 1616 «Les tragiques» où il raconte les mal

croisades. Autre conséquence de la montée de l’Islam, l’exode des Grecs orthodoxes fuient l’Europe orientale et vont amener des manuscrits anciens, donnés aux Latins. Le système historique médiéval se retrouve remis en question, glose scolastique. Les humanistes redécouvrent les œuvres païennes. Un débat sur le terrain religieux. En France, on peut citer le cénacle de Meaux, cercle de savants, philosophes,… Autours de Jacques Le Febre, Jacques d’Etaples. On assiste à la volonté d’un retour vers l’Eglise

récente du genre : dès 1656, les devisantes du récit-cadre des Nouvelles françaises de Segrais avaient proposé de chercher des aventures « extrêmement naturelles, tendres et surprenantes », qui auraient pour protagonistes « des chevaliers ou des princes français » et qui seraient situées dans un passé récent. En 1662, La Princesse de Montpensier réalise les vœux de Segrais par un récit solidement centré sur une intrigue amoureuse, soucieux de la vraisemblance narrative et situé dans un cadre historique

l’invitation du philosophe David Hume. Rousseau et Thérèse s’installent à Chiswick, puis à Wootton. Bientôt il rompt avec Hume. Rousseau travaille à la première partie des Confessions.  En 1767, de retour en France, il séjour à Trye-Château chez le prince de Conti, sous le pseudonyme de Renou et publie le Dictionnaire de Musique.  En 1768, il voyage à Lyon, Grenoble, Chambéry, Bourgoin où Thérèse le rejoint. Ils se marient.  En 1769, Rousseau et Thérèse s’installent dans une ferme à Monquin. Il rédige

opprimé toute sa force d’action. Le peuple doit être acteur dans ce rapport de force. Même si le peuple accepte de subir un tel sort, la Boétie reste confiant en la nature humaine. Cela est tout à fait révélateur de l’optimisme qui vient du courant humaniste. Pour la Boétie, le simple fait de ne plus servir le tyran arrêtera la tyrannie. Il utilise l’injonction. Il incite le peuple non pas à se révolter mais à cesser de servir le tyran. L’auteur a prouvé que le peuple était le plus fort soutient du tyran