Machiavélisme

contemplation au détriment d'une vie plus utile à l'État et de la force des hommes. Au delà de laïciser l'État, il veut mettre la religion à son service, en faire un instrument de pouvoir. Sa position est donc plus anticléricale qu'antireligieux Le machiavélisme: On lui prête une réputation d'immoralisme, alors qu'il s'agit d'amoralisme. Il ne recherche pas de cité idéale. Il analyse la politique dans un soucis d'efficacité, de manière scientifique, a la différence des auteurs du Moyen-Age qui présentent

une fonction d’autorité, responsabilité et décision très importante). Il pense que le prince doit être fort, qui peut même être cruelle. Il veut que son prince soit le libérateur de l’Italie. Machiavel est beaucoup plus modéré que la théorie (machiavélisme : la fin justifie les moyens). Au Pays-Bas, on trouve un autre penseur : ERASME, il écrit pour l’empereur Charles QUINT en 1516, l’institution du prince chrétien. Pour lui, le prince chrétien doit être un réformateur (pour éviter la révolution)

comportement insensé de bêtes de zoo, comme si ça n’était pas à des humains qu’ils s’adressaient. C’est si blessant de s’enquérir de cela auprès de quelqu’un. Quelqu’un qui vit chaque jour dans des conditions horribles et qui devient la cible d’un machiavélisme immodéré. La sexualité, que ce soit celle des Noirs ou celle des Blancs, devrait être individuelle. Que si quelqu’un veuille le crier sur les toits, qu’il s’y prête, mais que personne ne l’y oblige ! Enfin, j’en viendrai au dernier thème :

devenu autoritaire, efficace, moderne, cynique, excellent négociateur, secret, redoutable au point d’être craint et n’avoir aucun amis. Il impose à sa mère son autorité, sa méchanceté, il sème sa malédiction autour de lui. La mère est confrontée au machiavélisme de son fils qui lui renvoie son image et le silence des femmes. Elle pense qu’il est devenu fou, un monstre destructeur et violent. Les rêves commencent à apparaître. Il est tiraillé entre sa liberté apparente et la prison de son corps, il a peur

devenir croyant → (l.14) ≪ je ne comprends pas ; mais quoi que cela puisse être, cela n'est pas capable ni de convaincre mon esprit, ni d'ébranler mon âme ≫ III : Mais il y a aussi dans DJ une noirceur qui fait peur 1) Le cynisme de DJ et son machiavélisme – Même le spectateur a été pris au piège de sa fausse conversation avec son père – Mais il revendique de n'agir que par calcul → ≪ stratagème utile ≫ (l.19), ≪ pure politique ≫, (l.18) ≪ prétexte commode ≫, (l.65) – Il est indifférent à son père

« volonté pure de pouvoir ». B- La justification Machiavélienne de la raison d’Etat. « La faim justifie les moyens » est très souvent associée à Machiavel mais ce n’est pas lui qui l’a utilisée. Elle est restée associée à ce qu’on appelle le « machiavélisme ». Cette maxime renvoie dans le champ politique à la notion de raison d’état : justification des actes illégaux par l’intérêt supérieur de l’Etat. En ce sens, lorsqu’on invoque la raison d’état, on veut dire que tous les moyens sont acceptables

d’alcôve, la marquise de Merteuil, de plus, est contrainte à la dissimulation. Son statut social (elle est marquise), matrimonial (elle est veuve) et son sexe (elle est une femme dans un monde dominé par les hommes) l’obligent à la duplicité et au machiavélisme. Si le vicomte use aussi de ces armes, ce n’est que pour séduire puis pour perdre, en les déshonorant, les femmes dont il fait la conquête. Il ne fait que courir sur une pente naturelle qui ne transgresse que la morale de son époque. Pour être

d'alcôve, la marquise de Merteuil, de plus, est contrainte à la dissimulation. Son statut social (elle est marquise), matrimonial (elle est veuve) et son sexe (elle est une femme dans un monde dominé par les hommes) l'obligent à la duplicité et au machiavélisme. Si le vicomte use aussi de ces armes, ce n'est que pour séduire puis pour perdre, en les déshonorant, les femmes dont il fait la conquête. Il ne fait que courir sur une pente naturelle qui ne transgresse que la morale de son époque. La marquise

n'est encore qu'une prophétie, nous en dit long sur ce que le cardinal pense de ces larmes féminines destinées à tromper des maris peu perspicaces. Le cardinal nous est présenté ensuite comme un masque vivant, peu crédible à la vérité, tant le machiavélisme florentin vire chez lui à la caricature grossière. Il appartient à la tradition romantique des âmes noires. Sa dignité ecclésiastique cache mal le parfait scélérat. Nous découvrons un homme d'église prêt à prostituer sa belle-sœur, à trahir son

le pouvoir. Normalement, ce n'est pas seulement en vue de l'intérêt particulier du prince que l'on recourt à ces moyens : on ne dit pas que le prince peut faire ce qu'il veut, n'a pas à obéir aux lois.Attention donc à ne pas confondre avec le "machiavélisme" : celui qui gouverne par la terreur et la ruse, qui fait le mal volontairement, et traite toujours autrui comme un moyen. Cf. dictature, totalitarisme, etc. : aucune référence à une bonne fin. Machiavel ne dit pas ça du tout.5- Politique et morale