Madeleine de Scudéry

du théâtre. La querelle du Cid : Lorsque Corneille fait jouer Le Cid, la pièce remporte un énorme succès. Effectivement, Richelieu protège Corneille et le fait anoblir par le roi dès 1637. Cependant, deux dramaturges - Jean Mairet et Madeleine de Scudéry - vont attaquer Corneille, l’accusant de ne pas respecter les règles du théâtre classique, entre autres la règle des trois unités (instaurée en 1630 à la demande de Richelieu). Cette tragi-comédie est à donc à l’origine de cette célèbre dispute

souvent dans les ruelles, c’est-à-dire l’espace entre le lit et le mur dans la chambre à coucher, puis par extension cela a désigné toute la chambre. Les plus grands salons au XVIIème siècle étaient ceux de la marquise de Rambouillet et de Madeleine de Scudéry. Ces salons ont beaucoup contribuaient à l’évolution du type et de la littérature et ont permis d’améliorer le vocabulaire français. Plus tard, au XVIIIème siècle, ils vont permettre de diffuser les idées des Lumières. Les salons au XVIIème

1659 et 1660 qu'il fait représenter par des amis sa pièce : Les Rieurs du Beau-Richard (Le Beau-Richard est un carrefour où l'on s'assemble pour bavarder à Château-Thierry et commenter la vie locale). A Vaux, La Fontaine retrouve Pellisson, Madeleine de Scudéry, Maucroix, Charles Perrault, Saint-Evremond, il se lie avec Brienne, fréquente les plus grands artistes, des financiers, parmi lesquels le banquier Herwarth. Le 17 août 1661, Fouquet donne une fête somptueuse en l'honneur du roi accompagné

avoir suivi des études de droit. Il a découvert le monde du théâtre grâce à la famille Béjart, dont l’une des filles, Madeleine, une comédienne devient sa maîtresse. En 1659, Molière récupérera la charge peu contraignante de tapissier du roi qu’il avait cédée à son frère cadet, mort cette année-là. Ses débuts au théâtre Molière (pseudonyme adopté en 1664) fonde avec Madeleine Béjart la compagnie de l’Illustre-théâtre en 1643, qui endettée, doit bientôt quitter Paris. De 1643, à 1658, la troupe

de Clèves témoigne à la fois de cet éclat et de cette exigence. Ce n’est pas un de ces romans baroques de plusieurs milliers de pages tels qu’en écrivaient Gomberville (Polexandre, 1637-1641), La Calprenède (Cassandre, 1642-1645), Georges et Madeleine de Scudéry (Ibrahim ou l’illustre Bassa, 1641-1644†; Artamène ou Le Grand Cyrus, 1649-1653†; Clélie, histoire romaine, 1654-1660). L’ouvrage est divisé en quatre tomes, reliés en deux volumes in-12 de quatre cents pages environ chacun. In-12 indique

permettait l'originalité. L'oeuvre de Madame de Lafayette reflète une école de pensée (mondaine), un mouvement (le classicisme), et une modernité (le roman moderne) à travers l'analyse psychologique des personnages. De son nom de naissance Marie-Madeleine Pioche de la Vergne, fille de Marc Pioche sieur de la Vergne, officier dans l'armée de Picardie, est née le 18 mars 1634. Elle est élevée à Paris. A 15 ans, elle devient demoiselle d'honneur de la reine Anne d'Autriche, puis se met à fréquenter les

poursuite du féminisme. Par exemple,deux symboles des écrivains salonnierère sont Mademoiselle de Scudéry et Mme Lafayette. La personne dont on parle première a écrit «Le Grand Gyrus »,le plus long roman de la littérature française. « Dans la société précieuse régnait la sensibilité féminine,c’était elle qui définissait les relations,le goût littéraire et même la structure de la langue »11Quant à Marie-Madeleine de La Fayette, « La Princesse de Clèves » passait pour le chef-d’œuvre. Elle était louée comme

principales sont l'Astrée d'Urfé et Clélie de Mlle de Scudéry. Les Précieux se retrouvent dans des salons littéraires. Ces organisations sont "fondées" par de grands aristocrates. Ils se développent initialement en Provence et à Paris. Pour y accéder, on doit avoir une noblesse de sang et une "noblesse de l'âme". Les femmes y sont actives. Les œuvres les plus importantes sont la "chambre bleue" de Catherine de Rambouillet et celui de Madeleine de Scudéry. On y discute dans un langage très appliqué,

classique : la littérature précieuse du début du XVIIème siècle représentait l'amour et ses dangers sous la forme d'un pays imaginaire figuré par la célèbre Carte du Tendre et imaginé par la romancière précieuse Madeleine de Scudéry : les "bords dangereux" que déplore Oenone renvoient à cette "Mer dangereuse" qui représente les passions sur la Carte du Tendre. II. Un tableau riche et complexe de la passion amoureuse La passion amoureuse, dans cet extrait, se

principales sont l'Astrée d'Urfé et Clélie de Mlle de Scudéry.  Les Précieux se retrouvent dans des salons littéraires. Ces organisations sont "fondées" par de grands aristocrates. Ils se développent initialement en Provence et à Paris. Pour y accéder, on doit avoir une noblesse de sang et une "noblesse de l'âme". Les femmes y sont actives.  Les œuvres les plus importantes sont la "chambre bleue" de Catherine de Rambouillet et celui de Madeleine de Scudéry. On y discute dans un langage très appliqué,