Madeleine Lemaire

Valère (La Grange) : amant de Mariane. Cléante (La Thorillière) : le beau-frère d’Orgon, donc le frère d’Elmire. C’est un personnage positif, calme, réfléchi, qui raisonne et tente de concilier. Tartuffe (Du Croisy) : le faux dévot. Dorine (Madeleine Béjart) : la servante de Marianne. Pleine de vie, de franchise et de bon sens. Monsieur Loyal (De Brie) : un sergent royal. Flipote (Phlipote) : la servante de Madame Pernelle. 3 - Le résumé de la pièce et les thèmes abordés par Molière 3.1 -

pièces de théâtre, comédies de cape et d'épée inspirées des comédies espagnoles en vogue à Paris. Scarron meurt à Paris en 1660, avant d'avoir pu rédiger la troisième partie de son 'Roman comique'. Mme de La Fayette : De son nom complet Marie-Madeleine Pioche de la Vergne comtesse de La Fayette, celle qui est plus connue sous le nom de Madame de Lafayette naît le 18 mars 1634 dans la petite noblesse parisienne. Au décès de son père, sa mère se remarie avec le Chevalier Renaud de Sévigné, l'oncle

Elle fut l'un des principaux ornement de l'hôtel. Vaugelas était un Grammairien d'origine savoyarde. A Paris il est un assidue de l'hôtel de Rambouillet dont il dirige beaucoup de conversation en instituant un certain modelée de langage. Madeleine de Scudery était une assidu de l'hôtel de Rambouillet elle crée d'ailleurs son propre salon dès la déclinaison de Rambouillet. Honoré d'Urfé était un écrivain français et savoisien, il est l'auteur du premier roman de la littérature française

dès l’âge de dix ans, son grand-père qui aimait le théâtre le menait régulièrement à l’Hôtel de Bourgogne où l’on jouait des farces ? Certaines biographies l’attestent. C’est en 1643 qu’il prend le nom de Molière et qu’il fonde, avec l’actrice Madeleine Béjart, la troupe de l’Illustre Théâtre. La troupe ne parvient pas à s’imposer à Paris. De 1645 à 1658, il parcourt alors la France. Il y apprend son métier : tour à tour directeur, metteur en scène, costumier, acteur, improvisateur, auteur enfin

littérature comme un espace de liberté. Néanmoins, les romans ne sont pas épargnés par les métamorphoses du XVIIe siècle. La « folie du romanesque », présente au début du XVIIe siècle, est marquée par le merveilleux, le spectaculaire et l’excessif. Madeleine de Scudéry (1607-1701) exploite la veine du roman héroïque avec ses écrits épiques : Artamène ou le grand Cyrus (1649-1653 ; cf. Artamene.org), Clélie (1656). Quant aux « histoires comiques », elles ont été inspirées par le goût des bourgeois. Charles

l'occiput et la mâchoire horriblement coupés ? » Il fut enterré au cimetière de la Madeleine, rue d'Anjou-Saint-Honoré, dans une fosse commune et recouvert de chaux vive. Les 18 et 19 janvier 1815, Louis XVIII fit exhumer ses restes et ceux de Marie-Antoinette pour les faire inhumer à labasilique Saint-Denis le 21 janvier. En outre, il fit édifier en leur mémoire la Chapelle expiatoire à l'emplacement du cimetière de la Madeleine.

Grand) et devient avocat en 1641. Rapidement, il renonce à la jouissance héréditaire de la charge paternelle à la possibilité de promotion sociale que lui offre ce diplôme et décide, contre l’avis de son père, de devenir comédien. Avec sa maîtresse Madeleine Béjart, comédienne elle-même, il fonde en 1943 la compagnie théâtrale l’Illustre-Théâtre et prend le nom de Molière. Il rejoint en 1945 la troupe de Charles Dufresne avec qui il parcourra l’ouest et le sud de la France pendant 13 ans. En 1950 Molière

«L’Illustre Théâtre». Or la compagnie connut rapidement des difficultés financières. Son succès ne fut pas assuré, et l’Illustre Théâtre fit faillite en mai 1645. 1646-1651 Après leur faillite, Molière et la famille Béjart quittèrent Paris en 1646. Madeleine Béjart avait déjà pour protecteur le duc d’Épernon, et celui-ci prêta son nom à la nouvelle troupe de Molière et de ses compagnons. La troupe du duc d’Épernon fut basée à Bordeaux. Elle faisait des tournées surtout en Languedoc, et prit une autre

initialement en Provence et à Paris. Pour y accéder, il faut appartenir à la noblesse de sang et à la « noblesse de l’âme ». Les femmes y sont toujours actives. Les plus importants sont la « chambre bleue » de Catherine de Rambouillet et celui de Madeleine de Scudéry. Les courtisans discutent dans un langage très appliqué tout en parlant principalement de littérature. Aussi ils écrivaient et faisaient certains récitaux de poésie, dont le sujet des poèmes était l’amour. Ces salons vont influencer

Jeunesse Orpheline dès l'âge de 6 ans, c'est son oncle, un ecclésiastique, qui élève Madeleine de Scudéry, lui fait découvrir les lettres la danse la musique et, qui par ses entrées à la Cour, lui fait rencontrer des personnes influentes et intégrer le salon de l'hôtel de Rambouillet, au milieu des années 1630. Elle s'installe définitivement à Paris en 1640[1], suivant son frère Georges. Elle apprend également la danse. Elle est presséntie pour être la gouvernante des nièces du cardinal Mazarin[2]