Mademoiselle Perle

eLa Perle La Perle est un roman américain de John Steinbeck, publié en 1947. Dans le récit les personnages principaux sont : -Kino : Le mari de Juana et le Père de Coyotito -Juana : Femme de Kino et la mère Coyotito -Juan Tomas : frère de Kino - Le docteur qui refuse de soigner Coyotito car ils n’ont pas de sous. -Les acheteurs de perles qui ne sont dirigés que par une même personne qui fixe les prix au plus bas Le genre « La perle » est un roman d'aventure, car il arrive sans

sa respiration et détache la plus grosse perle jamais vu au monde. La perle des Dieux, même. Aussi grosse que… Pas de comparaison possible, je t'ai déjà dit que c'était du jamais-vu ! Kino est riche, extrêmement riche, l'homme le plus riche du monde. du moins le croit-il ! Les autres aussi d'ailleurs le croient. Mais cette perle ne fera pas de lui un homme heureux. Comme quoi la richesse ne semble pas tout faire dans la vie d'un homme. Encore moins une perle. Surtout si celle-ci te semble maudite

Commençons comme il se doit, c’est-à-dire par l’histoire des perles de culture commencée au Japon à la fin du XIXe siècle. Nous détaillerons ensuite les différentes étapes biologiques reparties sur près de 5 ans qui mèneront à la production d’une perle commercialisable. A) L’histoire de la perliculture : 1/ Les légendes et mythes sur l’origine des perles : Les légendes et les mythes sur les perles sont nombreux car depuis la nuit des temps, les perles sont considérées comme l’un des trésors

Fiche de lecture : La perle Titre du livre: La Perle Date de parution : 1945 Nom de l'auteur: John Steinbeck Présentation de l'œuvre : La Perle est un roman. Sa couverture représente une perle, belle, grosse, ronde et nacrée. Elle attire au premier coup d'oeil et brille sur un fond blanc. Les premières impressions que donne cette perle ne sont peut-être pas les bonnes. Sa clarté et sa pureté sont en fait un signe de mystère. DEVELOPPEMENT Le type de narrateur est externe et le point de vue

française en 1844. Puis, il se ralliera à l'Empire, deviendra historien , traduira la littérature russe et se réfugiera à Cannes où il mourra (1870). c) -Tamango -Le Fusil enchanté - Federigo -L'Occasion -Le Ban de Croatie -Le Heyduque mourant -La Perle de Tolède -L'Enlèvement de la redoute -Histoire de Rondino -Le Vase étrusque -Les Mécontents DEUXIEME PARTIE 1. GENRE DE L´OUVRAGE: a) Cette ouvrage est une nouvelle. b) C´est une histoire vecue mais elle releve du fantastique. 2. ETUDE

et lui témoignèrent leur volonté d'avoir une école libre. Celui-ci ne jugea pas le moment opportun et quelques années passèrent. C'est sous l'impulsion de Mademoiselle ..., sacristine et catéchiste volontaire au ... plus intimement appelée « ... » par les enfants que ce projet se réalisera. On est en 1950. Comme chaque année, Mademoiselle Gélébart surveille les garçons et les filles durant la retraite de communion et souffre de ne pas pouvoir les rassembler entre les exercices : »Oh ! S'il y avait

de la part de Katherine Kavanagh. — Un instant, mademoiselle Steele. J'aurais dû emprunter une veste de tailleur à Kate plutôt que d'enfiler mon caban marine. Je porte ma seule et unique jupe avec des bottes marron au genou et un pull bleu : c'est ma tenue la plus habillée. Je cale une mèche folle derrière mon oreille avec assurance, comme si l'hôtesse ne m'intimidait pas. — Mlle Kavanagh est attendue. Signez ici, s'il vous plaît, mademoiselle Steele. Dernier ascenseur à droite, vingtième étage

Steele, de la part de Katherine Kavanagh. — Un instant, mademoiselle Steele. J'aurais dû emprunter une veste de tailleur à Kate plutôt que d'enfiler mon caban marine. Je porte ma seule et unique jupe avec des bottes marron au genou et un pull bleu : c'est ma tenue la plus habillée. Je cale une mèche folle derrière mon oreille avec assurance, comme si l'hôtesse ne m'intimidait pas. — Mlle Kavanagh est attendue. Signez ici, s'il vous plaît, mademoiselle Steele. Dernier ascenseur à droite, vingtième étage

Steele, de la part de Katherine Kavanagh. — Un instant, mademoiselle Steele. J'aurais dû emprunter une veste de tailleur à Kate plutôt que d'enfiler mon caban marine. Je porte ma seule et unique jupe avec des bottes marron au genou et un pull bleu : c'est ma tenue la plus habillée. Je cale une mèche folle derrière mon oreille avec assurance, comme si l'hôtesse ne m'intimidait pas. — Mlle Kavanagh est attendue. Signez ici, s'il vous plaît, mademoiselle Steele. Dernier ascenseur à droite, vingtième étage

Mme Kampf recula de quelques pas et ouvrit une seconde fois la porte. Antoinette se dressa avec lenteur et une si évidente mauvaise grâce que sa mère demanda vivement en serrant les lèvres d’un air de menace : – Ça vous gêne, par hasard, mademoiselle ? – Non, maman, dit Antoinette à voix basse. – Alors, pourquoi fais-tu cette figure ? Antoinette sourit avec une sorte d’effort lâche et pénible qui déformait douloureusement ses traits. Par moments, elle haïssait tellement les grandes personnes