Madrigal

recueil La Guirlande de Julie ici présenté par une périphrase comme « la couronne plus durable que celles que l’on met sur la tête des rois » est consacré à Julie – « une nymphe adorable dont les cœurs reçoivent les lois ». Le recueil contient des madrigaux célébrant la beauté de Julie, chacun sous le symbole d’une fleur - d’ici se passe la comparaison du recueil comme la couronne des fleurs. Couronner quelqu’un signifie approuver cet homme d’être exceptionnel et Julie, célébrée comme un être divine-

d’être soi-même interprète. La révolution technique de l’enregistrement engendre donc de profondes mutations de la diffusion musicale. Voici un bref aperçu l’évolution de la transcription musicale : Au XVIe siècle la musique vocale (musique sacrée, madrigaux, chansons) était fréquemment exécutée sur des instruments et les pièces de musique instrumentale étaient transcrites d’un instrument à l’autre (du clavecin au luth par exemple). Ces transcriptions ne variaient que très peu de la version originale

significative d'un point de vue économique. Les deux premiers groupes d'édition représentent 35% de la vente de livres et 12 sociétés se répartissent 80% du marché. Les structures éditoriales les plus importantes sont : - Hachette - Editis - Groupe Madrigall (Gallimard, Flammarion) - Editions Lefebvre Sarrut - Médias-Participations - France Loisir Nous retiendrons que ce secteur est très inégal, les chiffres d'affaires de Hachette, première maison d'édition est de 2 066 millions d'euros et celui

poétique illusionniste du baroque. MUSIQUE La Renaissance se situe du XVe s. au début du XVIIe s. et correspond à l'âge d'or de la polyphonie. Les musiciens italiens, anglais, bourguignons et franco-flamands s'expriment dans la messe, le motet, le madrigal, la chanson. Leur maître, Josquin Des Prés, représente l'aboutissement d'un style et l'ouverture d'une période marquée par la Réforme, qui apportera de nouvelles formes (psaume, choral) et la prédominance de la chanson française (Janequin). Cette

un siècle de fermentation littéraire, et l'on y voit revivre tous les genres antiques. En effet, au xvie (période dite baroque), un certain « chauvinisme culturel » avait conduit les poètes à se servir de formes moyenâgeuses (rondeaux, triolets, madrigaux, chansons, sonnets), en réaction contre le recours systématique aux genres anciens… Le xviie siècle, lui, verra paraître des odes (genre déjà utilisé par Ronsard il est vrai), comme celle sur la prise de Namur de Boileau, ou celles, moins connues

Pierre Joseph Bernard surnomme Gentil-Bernard (1710-1775) etc. L’esthétique rococo impose la dimension réduite, ils cultivent les petits genres, le vers et le poème courts, toua genre d’intérieur. Se distingue l’épitre, un grand nombre d’épigrammes, madrigaux, charades, épitaphes, chansons, romances. Le vers se trouve libre, les coupes irrégulières se multiplient à mesure qu’on avance dans le siècle. Les auteurs des épigrammes sont Voltaires, J.-B.rousseau, Echouchard-LEBRUN ET Alexis Piron (1689-1773)

.....7 3 - Exemple 1.................................................7 4 - Exemple 2 ................................................8 ➢ Sonnet Irrégulier..................................8 1 – Correspondances Ch -Baudelaire ............9 2 –Madrigal F. de Malherbe ........................10 3 - A un fondateur de ville J-M de Heredia . 10 4 - Le châtiment de Tartufe A. Rimbaud......11 ➢ Régulier / Irrégulier ...........................16 ➢ Règles à partir d'exemples (1)............19 1 -

Trissotin, un bel esprit. Chrysale en informe Ariste. L’action se corse par l’expression par Philaminte de sa volonté. Acte IIl Scène 1 : Philaminte, Armande et Bélise s'apprêtent à entendre Trissotin. Scène 2 : Trissotin lit un sonnet puis un madrigal, et on s'entretient de science. Scène 3 : Vadius, un savant et une connaiisance de Trissotin, échange avec lui des compliments bientôt transformés en injures. Scène 4 : Philaminte informe Henriette de son intention. Scène 5 : Armande se moque

public. L’édition musicale a un aspect fonctionnel, elle amène à partager le plaisir de faire de la musique ensemble. Au départ, les partitions étaient imprimées en parties séparées, la notion de conducteur n’existait pas. Ces différentes parties (de madrigaux, de danses…) indiquaient un registre sans fixer réellement le timbre ; ainsi, le compositeur laissait aux interprètes le choix de l’instrumentation. L’enregistrement musical L’enregistrement musical permet de graver (sur des supports qui ont

des moyens qu'a le poète courtisan de réussir socialement, Cyrano les dénigre, donc les condamne à travers un registre satirique et des métaphores péjoratives ("déjeuner d'un crapaud", "donneur de séné par désir de rhubarbe", "naviguer avec des madrigaux pour rames et / dans ses voiles, des soupirs de vieilles dames"). * Il recourt aussi à des périphrases méprisantes ("un ventre usé par la marche", "une peau /Qui plus vite, à l'endroit des genoux devient sale", "des tours de souplesse dorsale")