Magasin But

seule voix » Les nouvelles approches marketing commencèrent à causer problèmes Parker Pen utilise une présentation graphique et une photographie similaire ❖ La politique de distribution : La vente des stylos haut de gamme dans les grands magasins et les papeteries. La distribution aux Etats-Unis sur les produits était de masse ❖ Synthèse : L’idée de la globalisation n’était pas du tout la bonne solution dans ce cas la car pour l’adaptation de cette stratégie il faudrait y avoir

épiceries, les magasins de détail : bouchers, charcutiers, primeur, etc. A la ferme pour les produits du terroir : fromages, légumes, etc. Autre mode : Pour vous seul ? Pour un groupe ou votre famille de personnes ? Dans la zone du Pays Midi Quercy (Villes de Caylus, Caussade, Nègrepelisse, St Antonin, etc.) Autre : 3. Vous êtes résident, vous faites vos courses généralement : Sur les marchés Dans un supermarché, une supérette Dans les épiceries, les magasins de détail :

les Dieselphiles * Toucher une cible plus âgée et avec un revenu supérieur | Action | * Magasins Diesel : un espace est réservé aux costumes dans chacun des magasins de la marque * Grands Magasins (GL / Printemps / …) : la marque s’installe au rayon des costumes * Les multimarques Luxe Soulery, Orly, … | Justification | * Les Dieselphiles pourront donc continuer à fréquenter leur magasin Diesel sans risquer d’ignorer les costumes de la marque * Pour se faire connaitre des non consommateurs

soie à Paris, ami de Robineau -Mme Gras : nourrice de Pépé -Baron Hartmann: riche, président du Crédit Immobilier -Mouret Octave : patron du « Bonheur » -Thérèse : nièce du pâtissier, maîtresse puis femme de Jean Remarque: Le Bonheur est un magasin extrêmement bien organisé hiérarchiquement parlant:dans chaque rayon le grade le plus bas est "1er vendeur", ensuite oon passe "second" et enfin "premier", c'est-à-dire chef de rayon: 1er vendeur => second => premier En début d'octobre 1864,

distribution qui devra donc innover de nouveau concept avec le drive et le E-Commerce. La Grande Distribution Alimentaire • Définition, commerce de détail non spécialisé GDA, c’est un commerce en 4 types d’implantation de marché : hyper, super, magasin populaire et les maxi discounter. • Enjeux : invasion des discounts + stratégie de la grande distribution La logistique, un système de gestion permettant d’être plus carré au niveau sécurité, lifting des couts notamment avec des produit non

retrousseuses. - Les confectionneurs. - Journaux de mode CHAPITRE X LES GRANDS MAGASINS Les boyaudieres et les tablettiers. - Jurisprudence médicinale. - L'industrie du camelot. - Un article humoristique .- Les victimes de la concurrence. - Le système des primes. - Les premières annonces CHAPITRE XI A L'APOGEE Le champignon. - L'extension du parasite. - Une taie. - Carafe à mouches. - Les commodités du public. - L'orgueil du grand magasin. - La machinerie. - Réclame humanitaire CHAPITRE XII ROUAGES D'UNE MACHINE

seule voix » Les nouvelles approches marketing commencèrent à causer problèmes Parker Pen utilise une présentation graphique et une photographie similaire ❖ La politique de distribution : La vente des stylos haut de gamme dans les grands magasins et les papeteries. La distribution aux Etats-Unis sur les produits était de masse ❖ Synthèse : L’idée de la globalisation n’était pas du tout la bonne solution dans ce cas la car pour l’adaptation de cette stratégie il faudrait y avoir le

le secteur, il y a cinq grandes catégories d’opérateurs : - les pharmacies, - les chaînes de parapharmacie : Paraland, Parashop et Euro Santé Beauté, - les grandes surfaces alimentaires : Auchan, Carrefour et E. Leclerc, - les grands magasins et magasins populaires : Galeries Lafayette, Le Printemps et Monoprix, Les GSA (Grandes Surfaces Alimentaires) sont vraisemblablement les grands gagnants sur ce marché. Bénéficiant d’une offre captive sur l’alimentaire, elles bénéficient d’une clientèle

a 20 ans, on avait des fabricants qui voulaient à tout prix monter les standards vers le haut. Aujourd’hui, beaucoup veulent l’inverse et cherche les limites lucratives à court terme du bio. Il y a 20 ans, on trouvait ses produits uniquement en magasins bio spécialisés (meme le "Dior" du bio), et souvent de bonne facture. Mais aujourd’hui, vous pouvez trouver des produits bio de piètre qualité. Bio ne signifie plus, qualité. La faute a qui ? au manque d’éthique des grands distributeurs et de fabricants

commerciales pour le détail : Le commerce de détail est le fait de délivrer l’offre directement au consommateur. Chaque unités comm se distingue par sa taille et son type de vente. - superette : < 400m² → Boutique - supermarché : 400 à 2500m² → Magasin - hypermarché : > 2500m² → GSS (Grde Surface Spécialisée) Surface alimentaire / surface non-alimentaire Ces unités comm de commerce & de détail sont complétées par le maxi-discompte (maxi discount) correspondant à la vente de gros destinée