Magdalénien

puis le “Magdalénien” (nombreux burins en silex associés au travail de l’os et du bois de renne, apogée de l’art paléolithique). En Provence le Solutréen et la première partie du Magdalénien sont remplacés par des industries qui semblent prolonger directement le Gravettien. ces industries “épigravettiennes”, (parfois appelées Aréniennes ou Salpétriennes) rappellent les industries connues en Italie et font perdurer tardivement les traditions du Paléolithique supérieur ancien. Le Magdalénien n’apparaît

sur éclats Aurignacien : 32-25 sur lames (grattoirs) sur os (pointes, poinçons, sagaies) Gravettien : 25-18 outillage sur lames (palette) sur os (bâton percé) Solutréen : 18-15 sud de la France, apogée de la taille (feuilles de laurier) Magdalénien : 15-10 : pointes harpons L’habitat consiste en grottes et abris sous roche qui sont largement utilisés et l’homme modèle son espace en fonction des occupations (sites de chasse, d’abri, de gravure) C’est au paléolithique supérieur que l’on

(d'eau douce dans ce cas)[9],[10]. D'autres indices sont les poissons sculptés ou gravés retrouvés presque partout dans le monde, et parfois de manière très réaliste[11],[12]. À titre d'exemple ; dans le sud-ouest de la France, pour la période magdalénienne, et d'après les découvertes archéologiques du XIXe et XXe siècles, ce sont les salmoninés qui ont été le plus souvent et le plus clairement figurés (58 figures de saumons (Salmo salar) et 6 truites dont 2 truites de mer (Salmo trutta trutta), devant

fins : disques, lames, burins, racloirs, grattoirs... Tous ces nouveaux outils apparaissent au détriment du simple biface qui se raréfie. Le paléolithique supérieur (- 35 000 à - 5 000 ans), Châtelperronien, Aurignacien, Gravettien, Solutréen, Magdalénien. Les Homo sapiens utilisent maintenant également l'os pour réaliser des outils de plus en plus petits. Grattoirs, couteaux, perçoirs, aiguilles, burins, harpons, propulseurs, arcs, hameçons... Tous ces nouveaux outils permettent de réelles avancées

antiquité de l’Homme. S’inspirant de la chronologie utilisée en Géologie, Édouard Lartet propose en 1861 une chronologie fondée sur les espèces successives de grands mammifères dominants. Seul l’Âge du Renne est encore parfois utilisé pour désigner le Magdalénien. En 1869, Gabriel de Mortillet propose une nouvelle chronologie de la Préhistoire, en 14 époques successives nommées d’après les sites où elles ont été décrites et où elles sont bien représentées ; si certaines ont été abandonnées, la plupart de

outil " creux, tel un roseau ou un os, sorte d'aérographe. Pour le remplissage des surfaces, l'artiste a également pu utiliser le procédé du badigeonnage. Dans ce cas, peau ou fourrure animale emmanchée ont été utilisées à cet office. Jusqu'au Magdalénien, l'art pariétal est essentiellement monochrome, composé de tons rougeâtres ou noirâtres. Puis il devient polychrome. Notons la capacité des artistes à tenir compte du relief des parois. Une peinture pariétale visualisée de l'endroit de la réalisation

la chauffe et la pression. Magdalénien : Réchauffement 15 milles Apogée de l'art des cavernes, peinture polychromes, travail e l'os, harpon, propulseur. A partir des années 35 milles nous avons les formes définitives qui sont acquises pour le crane dès cette époque. En gros on a la même chose qu'il y a 35 milles ans. Fin de l'évolution. Le paléolithique supérieur est formé de : Moustérien, Chatelpérronien, Aurignacien, Gravetien, Solutréen et Magdalénien. Ils sont Catégorisés selon les

couleurs ne pouvaient être obtenues qu'à partir d'éléments naturels. Les premiers colorants connus sont ceux utilisés dans les grottes de Lascaux (France) datant du Paléolithique (vers 15000 avant J-C) et dans celles d'Altamira (Espagne) datant du Magdalénien (vers XIII-XIIème siècle avant J-C). Ces colorants étaient des pigments minéraux : oxydes de fer pour les jaunes, les ocres et les rouges, oxydes de manganèse pour les bruns. Dès 1500 avant notre ère, les Égyptiens réalisent des teintures avec le

étonnant : il y a 32 000 ans, un homme a pris le temps ou avait pour mission d'enregistrer les phases lunaires. Les Hommes préhistoriques nous ont laissé d'autres témoignages remarquables comme les peintures et gravures des grottes ornées du magdalénien. Là encore, les préhistoriens sont catégoriques : la plupart de ces grottes ornées ont été choisies pour leur orientation particulière : des axes qui favorisent la prise en compte de la position du soleil au solstices d’hiver et d'été. Les chercheurs

concept de l’art n’est ni universel, ni applicable au sens stricte. Chacun s’adapte sur l’aspect beau ou non. Nos ancêtres avaient-ils la conscience du beau ? Besoin fonctionnel artisan ? Artistes ? Ils faisaient des productions hors du commun. Magdalénien : le plus affiné de l’art rupestre.