Maghreb central

 LES CRISES POLITIQUES DU XXIe SIECLE PLAN INTRODUCTION I. LES CRISES POLITIQUES EN AFRIQUE NOIRE 10) La crise ivoirienne 20) La crise malienne II. LES PAYS DU MAGHREB DANS LE PRINTEMPS ARABE 10) La Tunisie 20) L’Egypte 30) La Libye III. LES CRISES POLITIQUES DANS LE RESTE DU MONDE 10) La lutte contre le terrorisme en Irak 20) L’Ukraine : une crise sous influence CONCLUSION Noms des exposants HIS 113 Oumar Kebe Licence 1 Anna Badji 2014-2015

3. TERMINOLOGIE SPECIFIQUE A – Espace central Dans une définition générale de A. Zucchelli (37), le terme “ centre” ou “espace central ” identifie un lieu à la fois élément de référence spatiale et visuelle et point privilégié des échanges entre individus. Ce lieu d’usage éminemment collectif, se différencie de l’environnement par la nature des activités qui s’y déroulent et par la configuration du bâti et de l’espace ; ces deux éléments agissant avec un pouvoir en plus de la satisfaction

www.tabbourt.com/(Bibliographie du Maghreb antique et médiéval) MISSION SCIENTIFIOUE DU MAROC : ARCHIVES MAROCAINES Transférée de Tanger à Rabat, la section marocaine de la Mission scientifique a été rattachée, le 14 octobre 1919, à la Direction des Affaires indigènes de la Résidence générale de France au Maroc. A signaler des Tables de la Revue du Monde musulman pour la période 1906-1926. Archives marocaines, t.I(1904) Archives marocaines, t. II (1905) Fascicule 1 Fascicule_2

crédits et de commissions. Téléphone(s) : +212 5 22 22 41 69 - +212 5 22 29 88 88 Télécopie(s) : +212 5 22 29 41 25 - +212 5 22 20 24 76 Site Internet : www.attijariwafabank.com Le Groupe Attijariwafa bank est le premier groupe bancaire et financier du Maghreb et occupe le 7ème rang des banques africaines. Attijariwafa bank est basé au Maroc et opère dans 22 pays : en Afrique (Tunisie, Sénégal et Mali) et en Europe (Belgique, France, Allemagne, Pays bas, Italie et Espagne) à travers des filiales bancaires

Introduction L'ère de la colonisation française des pays du Maghreb (1830-1962) 1est sans doute la phase où l'ossature de l'identité collective des peuples de ces pays s'est violemment ébranlée pour donner lieu à des métamorphoses qui sillonnèrent profondément les représentations de toute une génération sur les questions majeures et alors actuelles d'une existence humaine sous l’étau de l'oppression. Le présent travail se veut pour objectif de traiter de la question de l'identité, caractérisée

complexe d’importance maghrébine et même plus, a été fondé au 14ème siècle par le Mérinide Abou El Hassan Ali (1331-1351). En effet, le Maghreb va connaitre à la fin du moyen âge un fait religieux nouveau, que représente son ouverture au mysticisme à travers le soufisme. « Ce fut là une importation orientale », dont le mouvement va prendre son essor au Maghreb dès le 12éme siècle. Ceci grâce à l’enseignement prodigué par le célèbre soufi Abou Mediène Choaïb mort en 1197. Sachant que les mérinides

contexte postcolonial. Les chapitres 2., 3. et 4. sont consacrés à l’analyse textuelle de trois auteurs femmes du Maghreb appartenant à la première et à la deuxième génération d’auteurs de littérature algérienne de langue française. Le corpus est limité à deux romans et à trois nouvelles et n’est pas sensé représenter la littérature francophone postcoloniale des auteurs femmes du Maghreb dans son ensemble. En même temps, les esthétiques d’écriture de ces auteurs étant distinctes, cela nous a permis

par l'existence de plusieurs langues (et variétés de langue) régies par des règles historiques, sociopolitiques et culturelles bien déterminées. Cette situation n'est pas propre au Maroc. Elle caractérise, à des degrés variables, certains pays du Maghreb, plus particulièrement l'Algérie et la Tunisie, les pays de l'Afrique subsaharienne et, d'une manière plus générale, les pays anciennement colonisés. La particularité du "marché linguistique" d'un pays comme le Maroc réside dans le fait qu'outre

des peuplements phéniciens, carthaginois, romains, vandales, byzantins avant d'être islamisé par les Arabes. C'est en 788, lors de son exil qu'Idris Ier, fuyant les persécutions du califat des Abbassides, a donné naissance à un État dans ce Maghreb el-Aqça (Maghreb extrême)1. Depuis, le Maroc a toujours gardé, si ce n'est une indépendance absolue, du moins une très forte autonomie2. L'attrait des richesses provenant du commerce du Sud (le Sahara) vers le Nord (l'Occident) va attirer les convoitises

le roi zeyanide Abou Hammou Moussa II. Suit alors une longue période Tragique marquée par les luttes intestines au sein du royaume de Tlemcen pour la succession au tronc jusqu’en 1425 lorsque le sultan hafcide Abou Farés, qui reprend tout le Maghreb central, désigne Abou El Abbés, dernier fils de Abou Hammou ll, à la succession. Mais la brouille zeyanide ne s’arrête pas pour autant le gouvernement de la ville d’Oran fait aussi l’objet de convoitise au sein de la famille zeyanide. De ce fait la