Magritte Le Baiser

Petite analyse de ce poème Tableau liée au poème Texte B : ‘’Spleen (LXXVIII)’’ De Baudelaire Petite analyse de ce poème Tableau : Edvard MUNCH, Le cri, 1893 Texte C : ‘’Colloque sentimental’’ de Verlaine Petite analyse de ce poème Tableau : Magritte, colloque sentimental, 1947 Texte D : ‘’Le mal de vivre’’ de Barbara Petite analyse de ce poème Photographie : Self-destruct, anonyme Texte E : ‘’Rappelle-toi’’ d’Alfred De Musset Petit analyse de ce poème Tableau : Claude Monet, soleil levant

Analyse de Paroles par Jacques PrévertOct 11  Written By  Mia FelittiLa Grande Famille , René Magritte, 1947, huile sur toile, 40x50,5 cm René Magritte est un peintre surréaliste belge du XXe siècle. On remarque trois éléments distincts dans ce tableau : une mer, un ciel et un autre ciel de la forme d’un oiseau qui prend son envol. Le ciel dans l’oiseau est clair et paisible, on peut voir des nuages. Le ciel à l’arrière-plan , lui, est gris

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Poème Clair de lune ; page 5 * Pierrot, de Jean Antoine Watteau ; page 4 * Poème A la promenade ; page 7 * Pèlerinage à l'île de Cythère, de Jean Antoine Watteau ; page 6 * Poème En bateau ; page 9 La valse-hésitation, de René Magritte ; page 8 * Poème Mandoline ; page 11 * Homme jouant de la mandoline, de Carl Spitzweg ; page 10 * Poème L’amour par terre ; page 13 * La Fête d’Amour, de Jean Antoine Watteau ; page 12 Introduction Poète français et leader

page 66) Impression soleil levant de Monet (doc. 2 page 82) Les demoiselles d’Avignon de Picasso (doc. 1 page 92) Le cri de Munch (doc. 1 page 88) Composition en rouge, noir, bleu, jaune et gris de Mondrian (doc. 2 page 88) Au seuil de la Liberté de Magritte (doc. 5 page 87) Courant de peinture Académisme Thèmes - Antiquité - Nudité - Religion - Amour - Vie quotidienne des plus humbles - Réalité sociale - Paysage indust. et portuaire - Eclairage étrange - Portraits (ici de prostituées nues) - Pas forcément

géométrisation des formes, la cristallisation en une seule image de plusieurs points de vue sont considérés comme autant d’éléments annonçant le cubisme. » N. Laneyrie-Dagen, Lire l’art contemporain, Dans l’intimité des œuvres, Larousse Métamorphoses René Magritte (1898-1967) : Les marches de l’été, 1938, huile sur toile, 73x60cm, Centre G. Pompidou (à droite). L’évidence éternelle, 1930, cinq cadres, 160x29cm au total, huile sur toile, Houston (à gauche) Le peintre surréaliste belge utilise le corps féminin

et le matin du coeur.  Charmez l'enfant, extases inouïes !  Et quand le soir vient avec la douleur,  Charmez encor nos âmes éblouies,  Jeunes amours, si vite épanouies ! Mai 1843.   Victor Hugo. Le premier baiser – WILLIAM ADOLPHE BOUGUEREAU Il lui disait : Vois-tu... Il lui disait : « Vois-tu, si tous deux nous pouvions,  L'âme pleine de foi, le coeur plein de rayons,  Ivres de douce extase et de mélancolie,  Rompre les mille noeuds dont la ville nous

..............................................................................................................40 Man Ray...........................................................................................................................41 Magritte...........................................................................................................................41 Delvaux.................................................................................................................

chaleur des couleurs on la retrouve dans la lumière des fenêtres qui sorte de la pièce on accroit encore la lumière au centre avec une lumière très blanche, très crue. Le seul mouvement que l’on peut y trouver et peut-être cette femme en train de se baisser et le rideau laissé au vent. Hopper a peint beaucoup de toiles témoignant d’un instant précis. Certaine tristesse. Cette toile a servi au film d’Hitchcock > Fenêtre sur cour. Thème de la toile > voyeurisme. Un parallèle avec le clair-obscur :

Quand ils jouaient, c'était différent, Quand ils jouaient, c'était comme tout le monde,
 Comme vous et moi, vous et nous et tous les autres,
 Quand ils jouaient, c'était étonnant. Mais quand ils parlaient, c'était d'amour.
 Ils auraient pour un baiser
 Donné ce qui leur restait de sang L'amour sans trêve, Antonin Artaud Ce triangle d'eau qui a soif
cette route sans écriture
Madame, et le signe de vos mâtures
sur cette mer où je me noie Les messages de vos cheveux
le coup de fusil de vos lèvres
cet