Main invisible

Travail sur les textes des classiques La « main invisible » Les motifs qui guident le comportement des individus sont: - le profit - la production et donc la richesse (par le revenu) L' intérêt de tout particulier reste le maximum de gain dans son industrie. L'individu est alors guidé par une main invisible dans le choix de ses intentions.Par conséquent, le profit de l'individu peut donc contribuer à augmenter le revenu annuel de la société. Ces intérêts sont forcément d'une

stationnaire de l’économie, que Smith avoir une vision dynamique permettant un accroissement du capital. L’œuvre d’Adam Smith « La recherches … » se trouve des aspects un peu anciens mais se trouvent aussi des aspects encore d’actualité (EX : La main invisible …) a) Le thème de la division du travail Le livre I de la richesse des Nations s’ouvre sur une discutions des avantages de la division du travail entendue comme spécialisation des taches dans une branche industrielle. Mais il faut distinguer

poursuit le père putatif du libéralisme économique, il vaut mieux pour l’intérêt général que les hommes ne le recherchent pas : il est satisfait plus efficacement quand les individus n’en ont pas la visée. Les individus sont conduits par une « Main invisible », dit A. Smith, à réaliser une fin qui n’entre nullement dans leurs intentions. Le marché satisfait donc efficacement les intérêts de chacun et les intérêts de tous, ou encore l’intérêt général. Cette intuition smithienne s’est prolongée dans

caisses de Sécurité Sociale. L’Etat est donc entendu dans son sens générique et non dans le sens habituellement retenu par les Juristes. Mon exposé se fera en trois temps. Tout d’abord, j’expliquerai la portée et la logique de la théorie de la « main invisible » chère à Adam Smith. Les développements de l’Economie mathématique dans les années 50 et 60 ont donné à ce résultat le statut de « premier théorème de l’économie du bien-être ». Je donnerai l’intuition de ce théorème dont une lecture trop rapide

c'est-à-dire qu’on présume une situation de concurrence pure et parfaite. (Atomicité, Homogénéité, Libre entrée et sortie, Mobilité, Transparence). B. Les principes de la théorie Cette théorie reprend les principes des classiques comme la main invisible, la non intervention de l’Etat. Cependant elle se distingue largement des classiques en avançant de nouveaux principes dont les principaux sont : - La valeur utilité - Le concept de marginalisme avec l’utilité marginale et la productivité marginale

en particulier Smith, y adhèrent plus modérément. Dans Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations, il examine également longuement les fonctions que l’Etats doit assumer dans les économies. En ce sens, la métaphore de la main invisible de Smith se retrouve dans les théories néoclassiques. Pour autant, il n’est pas le maître à penser du néolibéralisme, bien que certains s’en réclament. Cette métaphore repose sur l’idée selon laquelle la recherche de l’intérêt personnel concoure

règles pour le bon fonctionnement de l’économie, essayant de créer une situation économique de la concurrence pure et parfaite. D’un autre coté, est-ce vrai en réalité ? Est-ce que la concurrence a besoin d’une intervention ou à l’aide de la « main invisible » on obtiendra l’optimum de la bien être collectif. D’ici on se pose la question « est-il nécessaire de réglementer la concurrence sur les marchés ? ». Tout d’abord nous verrons les effets positifs de la réglementation de la concurrence. Cependant

publication de son deuxième ouvrage « Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations ». En 1778, il est nommé commissaire des douanes à Edimbourg. Dans « Théorie des sentiments moraux » (en 1759), il parle du principe de la main invisible. Réflexion sur l’intérêt personnel et sur les comportements égoïstes (approche individualiste) Il y a un lien entre organisation du travail et croissance économique, d’où l’importance du marché. A.Smith est un des fondateurs du libéralisme économique

enregistrées sur l'un des marchés se répercutent sur les autres. Cette interdépendance des marchés permet l'adaptation au changement de l'activité économique. Sur le marché, l'élément essentiel est le prix, qui oriente les décisions des agents comme une main invisible (Adam Smith), de telle façon que producteurs et consommateurs, par la poursuite de leurs intérêts, favorisent l'intérêt général. Léon Walras puis Arrow et Debreu ont montré que les mécanismes d'ajustement du marché permettent à l'ensemble des

Elle s'exprime dans la croyance en l'existence d'un ordre naturel qui implique la formulation de lois économiques supposées certaines et constantes parce qu'inscrites dans la nature des choses, dans la nature de l'homme. La métaphore de « la main invisible » de Smith manifeste la pérennité des lois naturelles : le comportement égoïste de chaque individu conduit au bien commun de la société toute entière. Le corollaire est que la concurrence sur les marchés est supposée apporter l'équilibre, car