Main invisible

Anna, Joe ou encore Alexandra. St Rémy le jour, les quais la nuit, deux univers de la prostitution. Entrer dans la rue Saint Rémy, c'est comme découvrir un microcosme. On y croise une dizaine de femmes, sur leur chaise de fortune, un parapluie en main : "les putes de Saint Rémy". Elles sont presque célèbres dans le centre ville, ici tout le monde les connaît, "elles sont les symboles du quartier " nous confie un passant. La première , c'est Gislaine : " 30 ans de métier " nous dit-elle " et c'est

regardèrent aux alentours, scrutant la forêt qui les encerclait de toutes parts. Xavier se dirigea alors vers la gauche et Alexis vers la droite, tandis que la jeune fille restait au milieu, la lumière du soleil diminuant son angle de vue, elle mit sa main pour ombrer son regard. Tout à coup, l'un des deux adolescents vociféra une parole incompréhensible. Il s'agissait du jeune homme germanique, Alexis. Il désigna un endroit du sol ayant l'air sali de teintes rouges. Il bégaya en déclarant: "Re..regardez

TEXTE, ROMAN, FANFIC VOYAGE Je suis la, je suis celle dont vous ne voulez pas, je suis celle que vous rejetez, je suis celle que vous refuser de voir, d’écouter, celle qui est invisible pour vos sens. Ce n'est pas de votre faute et je ne vous en veux pas, mon existence dépasse votre capacité de perception, vos sens, votre vie. Dans un sens, c'est mieux ainsi, être en ma présence signifie la mort. Car c'est ce que je suis : La mort. Le passeur. Celui qui vous emmène dans l'autre monde. Me voir

chacun, dans l'écart du rideau, se demande ce que va faire le père. Qu'est-ce qu'on ferait, à sa place ? Mais on ne veut pas être à sa place, Dieu nous en garde ! Déjà que… Les fenêtres cancanent. Les regards tissent des fils qui se croisent en toile invisible. Qui enserrent les deux hommes, toujours muets, immobiles, sous la véranda aux glycines desséchées par le vent. Midi sonne au clocher. Le hameau, araignée monstrueuse, attend le dénouement. La toile d'araignée Elle patiente, fil après fil entrelacés

poings levés dans un geste de révolte aux Jeux Olympiques de Mexico en 1968... gants adjugé aux enchères pour 34 200 euros car porté par le roi de la « pop »... Par définition, le gant est une pièce de l'habillement qui recouvre et protège toute la main, au moins jusqu'au poignet, et qui, en général, épouse la forme de chaque doigt séparément. Il peut être réalisé en diverses matière : cuir ; tissus, métal… Son histoire est ancienne. Les premiers gants sont représentés sur les parois d’une grotte

quand il entendit le fondé de pouvoir – 16 – pousser un grand « oh ! » – on aurait dit le bruit du vent dans les arbres –, et Gregor le vit à son tour plus près de la porte que les autres, porter la main à sa bouche ouverte et reculer lentement, comme repoussé par une force invisible qui aurait agi continûment. La mère – elle était là, en dépit de la présence du fondé de pouvoir, avec les cheveux défaits comme pour la nuit, et qui se dressaient sur sa tête – commença par regarder le père

n’arrivent pas jusqu’à lui. » Il me semblait entendre ces paroles sur un rythme d’une douceur infinie, car son regard avait presque de la sonorité, et les phrases que ses yeux m’envoyaient retentissaient au fond de mon cœur comme si une bouche invisible les eût soufflées dans mon âme. Je me sentais prêt à renoncer à Dieu, et cependant mon cœur accomplissait machinalement les formalités de la cérémonie. La belle me jeta un second coup d’œil si suppliant, si désespéré, que des lames acérées me traversèrent

d'autre chose, quand il entendit le fondé de pouvoir pousser un grand « oh ! » - on aurait dit le bruit du vent dans les arbres -, et Gregor le vit à son tour plus près de la porte que les autres, porter la main à sa bouche ouverte et reculer lentement, comme repoussé par une force invisible qui aurait agi continûment. La mère - elle était là, en dépit de la présence du fondé de pouvoir, avec les cheveux défaits comme pour la nuit, et qui se dressaient sur sa tête - commença par regarder le père

chose, quand il entendit le fondé de pouvoir pousser un grand « oh ! » – on aurait dit le bruit du vent dans les arbres –, et Gregor le vit à son tour plus près de la porte que les - 15 - autres, porter la main à sa bouche ouverte et reculer lentement, comme repoussé par une force invisible qui aurait agi continûment. La mère – elle était là, en dépit de la présence du fondé de pouvoir, avec les cheveux défaits comme pour la nuit, et qui se dressaient sur sa tête – commença par regarder le père

lente (attention : pas molle, une énergie retenue bien faite est très éprouvante). L’acteur a une intention mais quelque chose l’empêche d’agir (ce n’est pas une action au ralenti !). Au niveau du déplacement, l’acteur peut se représenter une force invisible et constante, contrant ses mouvements et contre laquelle il lutte. Les épaules doivent malgré tout rester détendues. Les mots sortent difficilement, comme arrachés de la bouche. L’énergie retenue peut-être celle de la peur, de la haine, de l’hésitation