Maintenant ou jamais

SOMME, 1916 Ma Chérie ; Nous sommes terrés dans les tranchées depuis trop longtemps, je n’en peux plus ! Constamment j’entends le bruit des éclats d’obus. Il ne s’arrête jamais, à croire que les stocks sont inépuisables. Et puis même s’il s’arrête, ce fracas sera à jamais dans ma tête. Comme tous ici, je me suis habitué à ne peux plus dormir. Et je me demande si les Allemands eux y arrivent. Je ne l’espère pas car il ne faudrait pas qu’ils aient plus de force que nous. J’espère que les rats les

tant, pourquoi les ai je laisser m’échapper. Tout était là-bas, mais aujourd'hui il ne me reste aucun point d’attache. Le temps passe, mon souvenir s'efface d'eux, de cet endroit ou pourtant j'avais ma place. Il a certains jours ou j'aurai aimé ne jamais tout quitter. Seulement certaines manquent terriblement ! Et la peur de vraiment les perdre me hante ... Mais le reste du temps, je m'épanouie ici ! Cherchant une nouvelle place pour faire mon trou. Je commence enfin a trouvé mon chemin. Grâce a

j’anticipe maintenant ce qui va se passé donc c’est encore du présent. Donc pour Augustin seule le présent existe mais selon 3 modalité , soit le présent regarde vers le passé et c’est la mémoire , soit le présent qui regarde vers le présent et c’est l’attention et enfin le présent qui regarde vers l’avenir , cela est une anticipation. Le présent c’est maintenant , premièrement ce ‘maintenant’ n’est jamais saisi en temps que présent mais en temps que passé (car quand on le dit ce ‘maintenant’ devient

efforts pour y réussir ont laissé place à un récit tronqué ou exagéré qui s’est propagé dans le public, et qui, présentant l’affaire sous les couleurs les plus désagréablement fausses, est naturellement devenu la source d’un grand discrédit. Il est maintenant devenu nécessaire que je donne les faits, autant du moins que je les comprends moi-même. Succinctement les voici : Mon attention, dans ces trois dernières années, avait été à plusieurs reprises attirée vers le magnétisme ; et, il y a environ neuf

le jardin et se dirigea vers l’imposante porte d’entrée en chêne massif. Il sortit son trombone, le plia d’une certaine façon dont lui seul avait le secret, il l’avait pliée tant de fois son cher trombone sans qui il n’aurait jamais commencé son hobby secret, que maintenant il le faisait les yeux fermés. il l’introduisit dans la serrure et de quelques mouvements précis la porte céda. Rien ne résiste au trombone, pas même la serrure d’un richissime entrepreneur ! Le hall, tout de marbre, était magnifique

ans maintenant et c’est à cet âge que je mourrai, l’année d’après, de nombreux mois déjà que j’attendais à ne rien faire, à tricher, à ne plus savoir, de nombreux mois que j’attendais d’en avoir fini, l’année d’après, comme on ose bouger parfois, à peine, devant un danger extrême, imperceptiblement, sans vouloir faire de bruit ou commettre un geste trop violent qui réveillerait l’ennemi et vous détruirait aussitôt, l’année d’après, malgré tout, la peur, prenant ce risque et sans espoir jamais de survivre

humeur ne vont jamais disparaître ou diminuer. Je t'aime tant. Tu fais partie de chacun de me.s moments, que tu sois tout près de moi ou si loin que je ne peux te toucher qu'en pensée et en rêve. Depuis que je te connais je fais juste rêvé… un rêve réveillé je ne peux espérer de meilleure relation qu’avec toi je t’aime tellement… et notre amour va toujours durer. Il me semble que c'est toi que j'attendais pour tout. Maintenant que tu es là, je veux que tu saches que je n'ai jamais connu autant de

lac. Ŕ Qui, mieux que toi, pouvait le savoir? répliquèrent les Oréades, surprises. C’était bien sur tes rives, tout de même, qu’il se penchait chaque jour! » Le lac resta un moment sans rien dire. Puis : « Je pleure pour Narcisse, mais je ne m’étais jamais aperçu que Narcisse était beau. Je pleure pour Narcisse parce que, chaque fois qu’il se penchait sur mes rives, je pouvais voir, au fond de ses yeux, le reflet de ma propre beauté. » « Voilà une bien belle histoire », dit l’Alchimiste. Ŕ3Ŕ Première

du roman. Son père était également content de le voir revenir à la maison et il ne fait plus juste crier contre lui. Au commencement de l’histoire, le père chialait constamment sur Antoine et il n’avait jamais l’air content de ce qu’il faisait. Quand il est revenu chez lui, son père avait maintenant l’air content de le voir et Antoine l’a immédiatement remarqué. Il le mentionne à maintes reprises quand il va parler à Lise : «Mon père n’est plus le même! Il doit m’aimer… Pas un cri, pas un gros mot…

que perdre son orgueil. Mr Loisel : Mr Loisel est le mari de Mathilde et employé au Ministère de Instruction Publique. Mr Loisel est un homme médiocre. Il n’a pas d’ambition de s’élever au-dessus de sa classe sociale et aussi avec sa femme il n’ose jamais la contredire. Mais il est un brave homme. Il aime sa femme aussi si elle est insupportable et il la veut rendre heureuse. Il n’est pas en colère avec elle, quand elle a perdu le collier et fait tout le possible pour la aider à repayer le bijou.