Maintenant ou jamais

_________________________________*Alors qu'il ny a auccune chance _______________________________________*Esayer de sacrocher a un minuscule espoir _______________________*C'est comme avec la vie,quand on la détruit, ___________________________*On peut survivre,mais plus jamais vivre __________________________________*Et en amour c'est toujours pareil, _______________________________________*Aimer...soufrir...pleurer...mourir... ____________________________________*Ce que je ressent ? ___________________________________________________*La

-3- à ton arrivée dans la ville de Kadmos, nous affranchis du tribut payé à la cruelle divinatrice, n'étant averti de rien, ni renseigné par nous. En effet, c'est à l'aide d'un dieu que tu as sauvé notre vie. Tous le pensent et le croient. Or, maintenant, Oidipous, le plus puissant des hommes, nous sommes venus vers toi en suppliants, afin que tu trouves quelque remède pour nous, soit qu'un oracle divin t'instruise, soit qu'un homme te conseille, car je sais que les sages conseils amènent les événements

suis comme ça. Et des que je commence à avoir le cœur mît à trop rude épreuve je craque parce que certaines choses font que maintenant ma sensibilité n'a même pas de limite. Même moi j'me trouve pitoyable, j'me prends pour une conne. J'vois dans ma tête l'image que je donne. J'aimerais être forte mais malheureusement j'ai jamais réussi. C'est plus fort que moi, j'ai jamais rien compris à la vie. J'suis perdue comme fille je cherche juste quelqu'un qui pourrait me montrer un chemin qui me ferait aller

donné l' épreuve de l'anneau aujourd'hui - Vous savez, là où ils ont un anneau sur un bout de ficelle ... et balancent au-dessus de votre ventre ? Et devinez quoi? C'est un garçon . " Il n'y a absolument aucun doute à ce sujet , " dit-elle. Elle n'a jamais été mal encore dans toute sa vie . N'est-ce pas excitant? Patrick : Où allez-vous ? Mme Maloney : Pourquoi , dans le garage , pour obtenir de la viande du congélateur . Patrick : Asseyez-vous . Asseyez-vous une minute . Mme Maloney : Patrick

le coin où trouver de bons appâts. – J’ai gardé les miennes d’aujourd’hui, je les ai mises dans une caisse de sel. – Alors je t’en apporterai des fraîches, quatre. – Une seule, dit le vieil homme. L’espoir et la confiance ne l’avaient jamais quitté. Mais maintenant ils refroidissaient à mesure que la brise s’élevait. – Deux, dit le garçon. – Deux, accepta le vieil homme. Mais tu ne les as pas volées ? – J’aurais pu, dit le garçon. Mais je les ai achetées. – C’est bien, dit le vieil homme. Il était

d’essuyer la sueur de son front de Bugs Bunny avec sa patte, mais cela ne changea naturellement rien. « C’est beaucoup trop pour un pauvre lapin comme moi » pensa Tom. En plus, il fait vachement chaud. (On se demande pourquoi ?) « Je n’ai encore jamais connu un mois de mai aussi chaud de toute ma vie. » Il faisait, en effet, étrangement chaud pour le moi de mai. « Il vient « indiqua Deirdre. Tom éteignit sa lampe. Sami pinça dans la jambe de son ami, sans s’en rendre compte (Ouai, mon œil !)

soit Je ne suis plus vraiment moi ... Les souvenir qui font tant de mal Les marques sur mon corps toutes pales Les fantômes qui me hante jour et nuit Mais qui se sont enfuit... Je suis un peu perdu, juste inconsolable Tous ces souvenir a jamais incassables Mon cœur qui se referme en laissant les plaies De la haine, de la colère sans les soigner... ...le désepoir le plus profond est celui qui marque les premiers instants de notre première grande peine lorsque l'on ne sait pas encore ce

d’eaux, plaqués au sol, filent et se croisent se baignant les uns dans les autres. Plus besoin de source ? Les airs s’engouffrent dans les pierres recouvertes de semences et l’on peut se rappeler des vallées. L’oiseau qui est rené de ce chantier, maintenant grand, tout blanc, perce les nuées encore pleines de graines sauvées qui ont envies de s’en allées. Et les poussières dans l’air, soulevées par les bruits des dernières pierres éclatées, brillent dans la lumière venue du sol, lumière de pétrole

l'orge Sa tête ne pensait pas, ses bras ne bougeaient pas Sauf quand le vent soufflait fort Et les souris courraient partout sur le sol Il se tenait debout dans un champ où pousse l'orge L'épouvantail noir et vert est plus triste que moi Mais maintenant il a accepté son sort Parce que la vie n'est pas difficile, il s'en fout Il se tenait debout dans un champ où pousse l'orge Vélo J'ai un vélo, tu peux monter dessus si tu veux Il a un panier, une cloche qui sonne Et d'autres choses pour

était tombée le jour de leur rencontre. Une année, une année de sa vie, qu’il ne parvenait pas à oublier. Parce qu’il ne sait pas si elle a pleuré. En fait, il sait très bien qu’elle a pleuré, mais par lâcheté il a préféré l’ignorer. Et maintenant, après son départ, il devine qu’elle en est morte. Aujourd’hui, il est le seul passager en partance à Redstone 4. Il est trois heures dix-sept. Il peut lire l’heure distinctement sur la grosse horloge ronde. A chaque instant, il sent les souvenirs