Maison de la magie

YASUNARI KAWABATA « LES BELLES ENDORMIES » Dans une étrange maison de prostitution, les « Belles Endormies », parées de leurs charmes, attendent des « clients de tout repos », des hommes dans leur grand âge. Ainsi Eguchi y passera des nuits inoubliables, admirant les splendeurs offertes et évoquant en de longues méditations coupées de rêves les femmes qui ont marqué sa vie. Mais ces « Belles » ne seraient elles pas, comme dans certaines légendes, « des avatars de qq Boudha »? Comme cette courtisane

Etonnement des Perses, tournure intensif → on insiste Ligne 6 : « astrologue » : Référence a la Perse . Ligne 6 : « tu juge bien » : Renvoi au destinataire , tutoyement → implique le destinataire . Ligne 7 : «Maison les unes sur les autres » : Périphrase Ligne 7 : « Six ou sept maisons » : Rica ridiculise la ville . Paragraphe 3 : « tu ne le croirais peut-être pas » : L'étonnement . → Vis à vis de ce qu'il voit a Paris . Ligne 10 : «depuis un mois que je suis içi je n'y ai encore vu personne

de nombreux palais dont les toits ou les coupoles étaient recouverts d'ardoises et d'or, avec de très hautes et belles maisons, qui semblaient toutes pareils, quelque peu difformes, elles étaient très serrées les unes contre les autres et possédaient plusieurs étages de sortes qu'elles montaient très haut vers le ciel, l'ardoise de leur toit était bleu nuit et rendait ces maisons encore plus inquiétantes quelles ne l'étaient déjà. Au centre de la ville, on retrouvait une gigantesque cathédrale dans

un certain monsieur Piekielny… ». Chapitre 8 Le sort semble meilleur. Mina ouvre une boutique appelée sans vergogne : « Maison Nouvelle, Haute Couture de Paris ». Pour en assurer la publicité, Romain n’hésite pas à organiser, avec la complicité d’un ami acteur, une visite du grand couturier parisien du moment : Paul Poiret. Chapitre 9 Les bénéfices de la « maison de haute couture » sont en majeure partie destinés au perfectionnement de l’éducation princière de Romain. Il reçoit une formation

passe autour des années soixante dans le sud de la France. Mondo est un petit garçon d’une dizaine d’années qui est arrivé en ville (à Nice ?) avant l’été, on ne sait comment. Il ne sait ni lire ni écrire et on ne sait « rien de sa famille ni de sa maison ». Tout seul, il apprend à survivre, va rencontrer des personnes étonnantes et se faire quelques amis. Il aide les maraîchers à décharger leurs cageots, la boulangère, Ida, à livrer son pain. Il aime bien aller lire un illustré au bord de la mer

art qui désire être vu et reconnu. Par contre, cette théorie ne tiens pas la route puisque les hommes préhistoriques peignaient dans le fonds des grottes, où il n’y a pas de lumière et où il était difficile d’accéder. La seconde théorie concerne la magie. Selon L’Abbé Breuil, les hommes des cavernes se servaient de l’Art pour représenter des scènes de chasse pour aider leur quête de nourriture. «En attribuant aux images un pouvoir surnaturel, les hommes préhistoriques pouvaient ainsi exorciser leurs

leurs achats. Cela va permettre de déclencher la magie de noël chez les enfants et permettra aux parents de trouver des cadeaux facilement. Ma deuxième proposition est d’installer une vitrine qui met en avant des livres de noël avec une décoration de lutins qui permettra d’attirer l’œil de l’enfant et suscitera l’envi des parents de rentrer dans le magasin pour acheter des livres qui pourrons permettre de continuer les rêve des enfants à la maison. Ma troisième proposition est de mettre en avant

Carole à ses amis. Il nous faut une table, des chaises, ça sera quand même plus confortable là-haut... Une nappe blanche et de la vaisselle. -Mais aucune de ces choses ne vole! Et où les trouverons-nous? s'écrièrent les papillons de nuit. -Et la magie? Qu'en faites-vous, les amis? répondit Carole. Ding-dong, dong-ding! C'est ainsi que sonnait la sonnette de Mireille et c'est ainsi qu'elle sonna en pleine nuit. Une petite abeille à demi endormie ouvrit enfin la porte et dit en bâillant: -Quelle

Yves Bonnefoy dans son recueil Les Planches courtes, « La Maison natale ». Nous nous demanderons ici quels sentiments du poète la maison d’enfance permet-elle d’exprimer ou d’éveiller. Nous traiterons ce sujet dans l’ordre des textes, les un après les autres. Le premier texte, « Milly ou la terre natale », est un poème d’Alphonse de Lamartine, publié en 1830 dans les Harmonies poétiques et religieuses. Nous pouvons observer que la maison d’enfance qui y est décrite révèle un sentiment de tristesse

héros de leurs aventures, chacun muni d'un glaive en bois. Un soir, le pére en colére décide que Wendy doit grandir. Au moment de se coucher, Wendy annonce à sa mère qu'elle ne souhaite pas grandir. Une fois les parents partis, Peter Pan entre dans la maison. Peter Pan s’inquiète du fait que Wendy doit grandir. Il lui propose alors d’aller au Pays imaginaire. Pour aller au Pays imaginaire, il faut voler et Peter Pan se rappelle que pour voler, il faut rêver d’aventure. Les enfants vont vivre de nombreuses