Maison de Médicis

Lorenzaccio est un drame romantique écrit par Alfred de Musset en 1834, sur une idée de George Sand, qui lui avait offert son manuscrit Une conspiration en 1537 lors de leur relation amoureuse. Il est question d’une tentative désespérée de Lorenzo de Médicis de changer le cours de l’Histoire en faisant triompher la cause républicaine en assassinant son cousin le Duc de Florence. L'intrigue de cette pièce est reprise d'événements réels racontés dans une chronique de la Renaissance sur la vie de Florence

certaines rééditions modernes. Pour répondre à la question qui est « en quoi ce choix de mise en scène modifie-t-il profondément le sens de la pièce de Musset? » on peut se demander quels sont les éléments importants de l’acte 5. Mais si Alexandre de Médicis est tué à la fin de l’Acte IV, Lorenzo, lui, meurt , tuépar le peuple durant cet acte. Le couple Cibo se reforme pour faire bonne figure, le cardinal tire, dans l’ombre met tout en œuvre pour s’assurer le pouvoir, et la vague républicaine qui aurait

milliers de Florentins. Aucune œuvre majeure n'est cependant détruite. Né à Ferrare en 1452, le frère dominicain Jérôme Savonarole professe un retour aux Évangiles. Il s'est emparé du pouvoir trois ans auparavant en profitant du renversement des Médicis par les troupes françaises. Aussitôt, il instaure une dictature théocratique à faire pâlir de jalousie les talibans d'Afghanistan. Tout signe de bonheur terrestre est éradiqué. On est sur Terre pour en chier... On s'habille tous comme des moines,

qu’«il n’est même plus beau» ! 1 Littérature Terminale - cours de M. Salomé! ! ! ! 1/5 (I,6)«Lorenzaccio», c’est «le mauvais Laurent», par opposition à «Laurent le Magnifique» (1449-1492), homme d’état florentin issu de la branche aînée des Médicis (issue de Côme l’Ancien), donc celui qui apparaît comme le contraire d’un modèle héroïque. Même sa parole semble controversée: quand il annonce qu’il va tuer le duc, il n’est pas cru (IV,7) - l’homme d’une action inutile: Lorenzo l’avoue: «J’étais

précédent, les artistes étant protégés et encouragés par la famille Médicis. Ce glorieux passé est évoqué durant la rencontre de Lorenzo avec le jeune peintre Tebaldeo qui mentionne ses modèles, les peintres Raphaël et Michel-Ange (II, 2). D) Mais l’aspect mythique de la ville ne doit pas faire oublier son aspect historique Florence constitue en effet un enjeu de l’intrigue car elle est au cœur de luttes de pouvoir. En 1527, les Médicis sont chassés du pouvoir par une révolte du peuple. Florence est

Le sculpteur veut créer une œuvre sans précédant , arracher une âme à la pierre . L'art de Michel-Ange impressionne Laurent de médicis , il est maître de Florence en Italie et « mécène »2 . Michel-Ange entre dans l'école d'art de Laurent en 1490 et y reste jusqu'en 1492 . Michel-Ange a accès à toute la collection de sculpture grecque et romaine obtenue par les médicis . A la mort du prince lui succède son fils Piero , il refuse de financer les travaux de Michel-Ange . Après un séjour de 4 ans à

Florence entre mars 1444 et mars 1445 et décédé le 17 mai 1510. Son surnom de Botticelli provient de « botticello », qui signifiait « petit tonneau ». C’est l’un des peintres les plus importants de la Renaissance italienne (qui est l’époque de Laurent Médicis) et de l’histoire de l’art. Placé en apprentissage chez un orfèvre en 1460, à l’âge de quinze ans il entre dans l’atelier de Filippo Lippi, puis dans celui de Verrocchio où il travailla au côté de Léonard Da Vinci. A cette époque, les artistes pratiquaient

des Médicis et la fin de la République constituent un tournant dans la vie de Machiavel, torturé puis exilé. Machiavel tente dès lors de rentrer en grâce par l’écriture, en 1513 du De principatibus, dédié à Laurent de Médicis et traduit improprement par Le prince, qui ne paraîtra qu’après sa mort, en 1532. Discours sur la première décade de Tite-Live, écrit en 1519, La mandragore, en 1520 et finalement L’art de la guerre, en 1521 lui permettront finalement de regagner les faveurs des Médicis et de

RESUME LORENZACCIO DE MUSSET : L'action se déroule à Florence en janvier 1537. Le patricien florentin Lorenzo de Médicis[1], âgé de dix-neuf ans, jeune homme studieux, admirateur des héros de l'Antiquité latine et grecque, se voue à la restauration de la République. Tâche difficile : son lointain cousin, le duc Alexandre de Médicis, règne sur Florence en tyran avec l'appui du Saint-Empire et du pape[2] ; une garnison allemande assurant sa protection. Lorenzo devient fidèle serviteur du duc, son

del Giocondo. A ce moment a commencé la peinture murale de la Bataille d'Anghiari. En 1513, Leonardo est allé à Rome avec son nouveau patron, Giuliano de Médicis. En 1514/1515 il a initié une série d'expériences scientifiques. Entre autres choses, prévu le drainage des marais Pontini, au sud de Rome. En 1516, après la mort de Julien de Médicis, est allé en France pour travailler à la cour de François Ier. Décédé à Cloux en 1519. Il a été enterré dans l'église de Saint-Florentin, à Ambroise, détruit