Maison de Médicis

fresque enfin nous terminons par une conclusion. Biographie du peintre Michel Angelo 1475-1564 est un grand peintre de la Renaissance. Précurseur baroque il est né en Toscane et a étudié à Florence. En 1489, il est accueilli dans le Palais des Medicis et s’installe à Rome en 1496. Il a composé la pietta en 1499. 9 ans plus tard le pape lui confie la décoration de la voute de la chapelle Sixtine, sur laquelle il peint des épisodes bibliques. Celui ci meurt sans avoir achevé la coupole de la Basilique

lorsque ses fils sont emprisonnés «Il faut nous délivrer des Médicis, Lorenzo » (III, sc.3). Ainsi, Lorenzo tend une perche aux florentins en tuant le tyran Alexandre de Médicis, ils leur permettent de se révolter mais au lieu de cela, ils vont jusqu’à le tuer à son tour seulement pour de l’argent. De plus, comme en 1830, la jeunesse se sacrifie inutilement dans l’acte V, car malgré leur révolte et la mort d’un d’entres eux, un Médicis sera élu pour remplacer Alexandre. On pourrait alors en conclure

1518 date à laquelle Raphaël quitta Florence pour peindre le pape et le mariage de Laurent de Medicis avec Madeleine de la Tour d'Auvergne. Sur ce tableau nous pouvons voir au centre le Pape Léon X assis sur le siège papal, à son bureau devant un livre de prières que son regard vient de délaisser. Il tourne le dos à deux personnages en habit de cardinal, Luigi de Rossi sur sa droite et Giulo de Medicis sur sa gauche qui deviendra plus tard Clément VII. Ce portrait de groupe est cependant centré

sur la pièce. Tout d’abord, nous avons la mort du Duc, acte IV scène 11, qui est l’élément central de la pièce. Toute l’histoire tourne autour de ce meurtre que Lorenzo, héros principal et cousin du Duc Alexandre, prépare. Supprimer Alexandre de Médicis est le but de Lorenzo, il se rapproche de lui par stratégie, et tombe lui-même dans la débauche pour parvenir à ses fins. On peut dire que cette mort est une sorte de dénouement pour l’histoire, d’ailleurs plusieurs représentations de la pièce, s’achèvent

les autres, bien qu’en réalité il porte les marques d’un véritable dénouement. Il a d’ailleurs souvent été supprimé des versions contemporaines de mise en scène, et atrophié voire dénaturé dans certaines rééditions modernes. Mais si Alexandre de Médicis est tué à la fin de l’Acte IV, Lorenzo, lui, meurt mis en pièces par le peuple durant cet acte. Le couple Cibo se reforme pour faire bonne figure, le cardinal tire, dans l’ombre, les ficelles secrètes qui lui permettront de s’assurer un contrôle du

scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain. Léonard est l'élève du célèbre peintre et sculpteur florentin Andrea del Verrocchio. Il aura pour mécènes Laurent de Médicis, Ludovic Sforza, et finira sa vie en France avec François Ier. C'est d'abord comme peintre que Léonard de Vinci est reconnu. Deux de ses œuvres, La Joconde et La Cène, sont des peintures très célèbres. Seules une quinzaine d'œuvres sont parvenues

des similitudes. L'époque est troublée par l'alternance rapide de régimes (répuplicain ou ducal) et par la résistance nationaliste à l'empire de Charles Quint. En 1527, les Florentins expulsent les Médicis et rétablissent la constitution républicaine. Mais en 1530 le pape Clément VII (Jules de Médicis), avec l'appui de Charles Quint nouvellement élu emprereur, impose Alexandre comme duc de Florence. Alexandre est officiellement fils de Laurent II, lui-même fils de Pierre II, cousin de Jules ; mais

d'Italie. C'est pourquoi il a choisit le régne des Médicis pour incarner la situation de la France en 1830. En effet l'Italie est asservit au duc Alexandre de Médicis, souverain tyrannique, privant les Florentins de toutes libertés. I) Une identité historique : Le personnage d'Alexandre de Médicis est emprunté à l'Histoire. Alexandre de Médicis est né à Florence le 22 juillet 1510 et mort à Florence le 6 janvier 1537. Laurent II de Médicis reconnut Alexandre comme son fils illégitime. Cependant

fêtes : « tous ces godelureaux de la cour » (I, 2). Julien Salviati, symbole de la déchéance, représente cette cour sans dignité et dépendante des faveurs du tyran : « valet de cour » (II, 1), « homme à moitié ruiné, vivant des générosités de ces Médicis » (I, 5).• La confusion des valeurs : sphère politique et sphère privée / les femmes et l'argent Musset présente également la tyrannie comme un espace de confusion des valeurs. - D’une part, il faut observer la critique de la confusion entre sphère

contre l’institution religieuse (ex : il insulte le Pape en disant « ventre bleu de pape ») * Il mélange le haut et le bas, le sublime comme le grotesque, Musset fait comme Shakespeare * Acte 1 scène : Portrait de Lorenzo par Alexandre de Médicis, comme la population le voix. Description extrêmement satirique et ironique. Alexandre voit clair dans le jeu de Lorenzaccio. * Pour la mère de Lorenzaccio, son fils est coupable de tout ce qui se passe à florence. * Lorsque qqun critique